L’imposition des mains a conclu notre étude sur les baptêmes. En effet, nous avons lu concernant les nouveaux croyants de Samarie que « Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit » (Actes 8 :17).

Nous abordons ici le sujet de l'imposition des mains en trois temps :

1. L’époque des patriarches
2. Sous la loi
3. Par Christ et en Christ.
    

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 Les baptêmes font suite à la prédication de l’Évangile, la repentance et la foi en Dieu dans cette série d’études. On parle de baptême au pluriel car il y a le baptême dans l’eau (ou baptême d’eau) et le baptême dans le Saint Esprit (ou baptême du Saint Esprit).

Cependant, les croyants ignorent parfois tout du baptême dans le Saint Esprit, comme on le voit en Actes 19...
 

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La foi en Dieu est importante parce qu’elle est à la base de toute relation avec Dieu comme Créateur et Sauveur. Ainsi, celui qui s’approche de Dieu doit croire deux vérités fondamentales et inséparables :

• Dieu existe.
• Dieu paye ceux qui le cherchent.

En effet, il n’est pas suffisant de croire que Dieu existe et, même, de croire qu’il y a un seul Dieu. « Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent », dit Jacques 2 :19.

En outre, la foi est importante parce qu’elle permet de recevoir ce que Dieu donne. 
 

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La repentance (du grec Metanoïa signifiant changement de mentalité) est le premier élément de la chaîne que produit la prédication de l’Évangile. En effet, Hébreux 6 :1-2 énonce « les éléments de la parole de Christ ». Cette expression désigne les commencements ou les bases de l’enseignement de Christ.

1. Le renoncement aux œuvres mortes
2. La foi en Dieu
3. Les baptêmes
4. L’imposition des mains
5. La résurrection des morts
6. Le jugement éternel.

Alors, après l’Évangile (Metanoïa 1), notre série Métanoïa ou Le parcours de changement de mentalité aborde ces six thèmes. Commençons donc par « le renoncement aux œuvres mortes ». 
 

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Corneille était un type bien mais il n'était pas sauvé. Un ange lui dit : « Envoie à Joppé, et fais venir Simon, surnommé Pierre, qui te dira des choses par lesquelles tu seras sauvé, toi et toute ta maison » (Actes 11 :13-14). Ces « choses » qu'il doit entendre pour être sauvé, c'est l'Évangile de Jésus Christ. Ouvrez votre bible en Actes 10 et suivez l'épisode.

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Après avoir répondu aux deux premières questions, vous devez choisir une direction en répondant à une troisième question : 

1. Qu’est-ce qu’il faut pour réussir à réaliser ce projet ?
2. Est-ce que j’ai ce qu’il faut pour réussir à réaliser ce projet ? 
3. Qu’est-ce que je fais maintenant ? 

Cette troisième étape vous permet d’explorer les possibilités d’action et de choisir votre direction. À cette étape comme aux deux premières, vous pouvez consulter le Seigneur, les saints et des spécialistes des besoins ou des domaines de projet concernés. 

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Le Seigneur Jésus dit que la seconde chose que fait le constructeur est de vérifier qu’il a de quoi achever son projet. Cette étape consiste à contrôler la mesure et la qualité des ressources disponibles par rapport aux besoins identifiés à l’étape du calcul. Elle répond à la question : Est-ce que j’ai ce qu’il faut pour réussir à réaliser ce projet ? 

La conséquence directe de ne pas se poser cette question et la première (Qu’est-ce qu’il faut…) est, selon Jésus, le risque d’une maison inachevée couverte des moqueries de tous ceux qui la verront. Cependant, il ne faut pas commettre l’erreur de renoncer à la construction ou au combat simplement parce qu’on n’a pas les ressources humaines, matérielles et financières. 

En fait, la raison pour laquelle « calculer » rime avec « manquer de foi » pour certains d’entre nous est que nous ne réalisons pas que la ressource appelée « foi » doit faire partie du calcul. Quand les autres ressources viennent à manquer, la bonne attitude est de faire appel à Dieu et d’être attentif à sa voix. Comme l'a fait le roi Josaphat en 2 Chroniques 20. 

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« Calculer » est, dans l’esprit de nombreux chrétiens, synonyme de « manquer de foi ». Alors, quand c’est Jésus lui-même qui nous parle de s’asseoir d’abord pour calculer la dépense, il y a de quoi s’asseoir pour y réfléchir. 

Tout a un coût. Tout engagement a un coût. La question n’est pas « Est-ce que ça va coûter ? » mais « Qu’est-ce que ça va coûter ? » Et on ne doit pas répondre à cette question sans réfléchir. 

Le Seigneur Jésus rappelle à ceux qui l’écoutent que chacun d’eux, avant de s’engager à construire ou à combattre, commencerait par s’asseoir pour calculer la dépense…  

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Promesse faite et honorée donc (en partie) pour la postérité. Mais voici venu le temps de l’épreuve. « Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai » (Genèse 22 :2).  

Manifestement, Dieu sait à quel point Isaac, l’enfant attendu pendant 25 ans, est précieux pour Abraham. Pour qu’il n’y ait aucun malentendu, Dieu lui enchaîne très précisément : « ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ». 

Or, qu’est-ce qu’un holocauste ? 

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Abraham avait 75 ans la première fois que Dieu lui a parlé de cette postérité (Genèse 12 :1-4) et sa femme était stérile (Genèse 11 :30). Dix ans sont passés depuis le jour où ils sont sortis de leur patrie, sans savoir où ils allaient, pour se retrouver dans ce pays de Canaan. Et toujours pas le moindre enfant. Mais Sara (alors encore appelée Saraï) a pensé à une solution…  

Entre-temps, Abraham avait aussi fait part de sa préoccupation à Dieu (Genèse 15 : 1-6) … 

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