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Or
Indispensables petites mains des ménages romands, elles ont pourtant été les premières à se retrouver précarisées dès que la crise du coronavirus a éclaté. Ces femmes souvent invisibles pratiquent un des métiers les plus mal payés : impossible, le plus souvent, de cotiser suffisamment aux assurances sociales. Et quand sonne l’heure de la retraite, le constat est brutal : elles sont déracinées de leur pays d’origine, mais la Suisse est trop chère pour y rester. Nous avons vécu ce choix difficile avec des femmes de ménage portugaises, les plus nombreuses chez nous.
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Indispensables petites mains des ménages romands, elles ont pourtant été les premières à se retrouver précarisées dès que la crise du coronavirus a éclaté. Ces femmes souvent invisibles pratiquent un des métiers les plus mal payés : impossible, le plus souvent, de cotiser suffisamment aux assurances sociales. Et quand sonne l’heure de la retraite, le constat est brutal : elles sont déracinées de leur pays d’origine, mais la Suisse est trop chère pour y rester. Nous avons vécu ce choix difficile avec des femmes de ménage portugaises, les plus nombreuses chez nous.
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