Les femmes sont encore trop rares dans le monde de l’auto. Mais mon invitée a fait encore plus fort : c’est l’une des rares femmes photographes spécialisées dans la bagnole ! Elle a réussi à s’imposer grâce à son regard très affûté, mais aussi par son côté bourreau de travail. Son truc à elle, ce sont plutôt les belles carrosseries d’antan, qu’elle magnifie de préférence en lumière naturelle et avec un minimum d’artifices. Une certaine idée de la photographie, authentique et sans filtre… un peu à l’image de mon invitée, Cathy Dubuisson.

La "Leçon n°40", photo de Cathy qui lui a valu le Grand Prix de la plus belle photo au Festival automobile international 2013.

Le book en ligne de Cathy.

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Photo : Vincent Frappreau

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Nouveau Backstage d'Histoires d'autos : le 8 novembre dernier, nous nous sommes retrouvés sur Twitter Spaces avec l'analyste Bertrand Rakoto (épisodes 21 et 27) et le journaliste de BFM Business Antoine Larigaudrie (épisode 15) pour échanger sur la voiture autonome.

"Après la frénésie des années 2010, le soufflé de la voiture autonome est retombé. Le rêve d’un véhicule capable d’aller du point A au point B sans aucune intervention de ses passagers s’éloigne alors que l’on mesure aujourd’hui l’aspect quasi insurmontable d’une tâche que nous humains pouvons pourtant accomplir sans difficulté. L’industrie de la voiture autonome, qui pensait ringardiser la voiture a papa, semble aujourd’hui au point mort, après avoir englouti entre 75 et 160 milliards de dollars en dix ans (selon les estimations). Après avoir pris le train en marche, les grands constructeurs tirent aujourd’hui le signal d’alarme. Ainsi, Ford et Volkswagen ont décidé d’un commun accord de fermer leur filiale Argo AI, après y avoir investi 3,6 milliards de dollars. Uber a quitté le secteur après l’accident dramatique qui a coûté la vie à Elaine Herzberg dans l’Arizona en 2018. Quant à Tesla et à son fameux “Full Self Driving”, ses progrès sont lents… pour ne pas dire nuls. On va donc faire le point sur l’actualité de la voiture autonome et surtout sur son avenir, avec nos experts."

Attention : la qualité audio de Twitter Spaces étant médiocre, vous n'aurez pas un son aussi bon que sur les épisodes habituels !

Vous voulez être tenus informés des prochaines éditions du Backstage d'Histoires d'autos, y participer et pouvoir poser vos question en direct ? Bonne idée ! Abonnez-vous au compte Twitter. ;)

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Mon invité dévorait la presse auto et moto dans sa jeunesse, et a fini par devenir journaliste à Moto Revue. Puis, un beau jour, il a décidé de faire ses valises et de partir au Québec ! Après avoir visité plusieurs rédactions, il s’est établi à celle du Guide de l’auto, un annuel publié depuis 1967. Dans cet épisode, nous allons donc parler de son parcours, de son ressenti d’expatrié, du jargon automobile, très différent au Québec, ou encore de la manière bien particulière qu’ont nos cousins de la Belle Province de vivre leur passion pour tout ce qui roule. Mon invité, c’est Julien Amado.

Le podcast de Julien : À la poursuite de Gilles Villeneuve.

Une vidéo de Julien pour le Guide de l'auto sur la Manic GT, la "Berlinette Québécoise".

Les articles de Julien sur le site du Guide de l'auto.

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Dans cet épisode un peu spécial, les rôles sont inversés : Géraldine Gaudy, invitée du tout premier épisode d'Histoires d'autos, soumet à Vincent ses questions ainsi que celles des internautes. Comment la passion du journalisme et de l'automobile lui sont venues ? Comment a-t-il débuté dans la profession ? Comment lui est venue l'idée du podcast ? Pourquoi Bertha ? D'où vient cette drôle de passion pour les avions ? Et, évidemment, Vincent n'échappe pas au supplice des quatre questions rituelles :)

Vincent est sur Twitter et sur Instagram.

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Mon invité dessine des voitures… mais il n’est pas designer automobile ! Sa spécialité, c’est d’illustrer les futurs modèles dans les pages de la rubrique nouveautés du magazine Auto Plus. Une tâche pas toujours évidente, les prototypes étant le plus souvent archi-camouflés, et les informations parfois rares ! Mais avec son sens aigu du design et son œil d’expert, mon invité arrive (presque !) toujours à viser juste, et esquisse les lignes des futurs modèles avec parfois plusieurs années d’avance. Mais comment devient-on illustrateur de projets secrets ? Quelles relations entretient-on avec les constructeurs ? Et est-ce que l’on rêve de dessiner un jour sa propre voiture ? Autant de questions que je vais poser à mon invité, René Demarets, illustrateur à Auto Plus.

René n'est pas sur les réseaux sociaux, mais vous pouvez retrouver ses travaux une semaine sur deux en une d'Auto Plus.

Mon invité est passionné par l’automobile - et le design automobile en particulier - ainsi que par la presse. Lecteur assidu d’Auto Hebdo, il finira par quitter son Morvan natal pour y travailler et se découvrir une spécialité : les scoops automobiles ! Projets secrets, chasse aux prototypes, jeu du chat et de la souris avec les constructeurs : mon invité a connu une vie trépidante, aux relents de film d’espionnage. Après avoir travaillé de l’autre côté de la barrière - chez un grand groupe automobile français - il est revenu à ses premières amours et est devenu éditeur d’un magazine dédié au design automobile. Mais il vient également de publier un ouvrage où il se remémore les moments forts de sa carrière de chasseur de scoops ! Mon invité, c’est Christophe Bonnaud, rédacteur en chef de LIGNES/auto.

Le site de LIGNES/auto
Le site de LIGNES/auto Éditions
Commandez le livre "Scoops automobiles, l'envers du décor"

Christophe est sur Twitter, Facebook et LinkedIn.

Mon invité a littéralement l’automobile dans le sang, puisque ses ancêtres étaient des pionniers de l’industrie, dès le début du XXe siècle. Des décennies plus tard, il a décidé de marcher dans leur pas en créant ses propres autos, inspirées des légendaires Bugatti Type 55 ou 57. Des répliques ? Lui préfère parler “d’évocations”. Des évocations sublimes qui ont marqué les années 80 et 90, avec leurs lignes somptueuses, leur réalisation soignée… et leurs moteurs BMW. Mon invité a ensuite dirigé les automobiles Venturi avant de s’intéresser à la voiture autonome. Mais aujourd’hui, il a décidé de renouer avec les “évocations” de Bugatti : un nouveau modèle doit sortir en 2023 ! On va aborder tous ces sujets avec Xavier de La Chapelle.

Dans ce deuxième épisode, on parle de l'aventure Venturi, de Navya et de la voiture autonome, mais aussi de l'Atalante V8, le futur modèle De La Chapelle !

Le site des Automobiles De La Chapelle.

Photo © Benjamin Asket / Virage Agency

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Mon invité a littéralement l’automobile dans le sang, puisque ses ancêtres étaient des pionniers de l’industrie, dès le début du XXe siècle. Des décennies plus tard, il a décidé de marcher dans leur pas en créant ses propres autos, inspirées des légendaires Bugatti Type 55 ou 57. Des répliques ? Lui préfère parler “d’évocations”. Des évocations sublimes qui ont marqué les années 80 et 90, avec leurs lignes somptueuses, leur réalisation soignée… et leurs moteurs BMW. Mon invité a ensuite dirigé les automobiles Venturi avant de s’intéresser à la voiture autonome. Mais aujourd’hui, il a décidé de renouer avec les “évocations” de Bugatti : un nouveau modèle doit sortir en 2023 ! On va aborder tous ces sujets avec Xavier de La Chapelle.

Dans ce premier épisode, on revient sur l'histoire de la marque de La Chapelle, des premiers prototypes à moteur Opel au Roadster moderne, en passant par le monospace de luxe Parcours. Suite le 15 juillet :)

Le site des Automobiles De La Chapelle.

Photo © Benjamin Asket / Virage Agency

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Mon invité se qualifie lui-même de, je cite "pilote au prénom inconnu". Pour être honnête, il exagère un tout petit peu, puisqu’il a effectué une carrière loin d’être ridicule en Europe et surtout en Amérique du Nord. Mais il a fini par revenir en France pour se reconvertir dans le journalisme auto et moto. Vous avez sans doute lu sa prose dans Auto Live, Moto Revue ou plus récemment Top Gear Magazine. En parallèle, il s’est récemment lancé dans le monitorat de pilotage. On va aborder tous ces sujets avec mon invité, Loïc Depailler !

Dans ce deuxième épisode, on se penche sur sa carrière de journaliste automobile... et je lui pose les fameuses quatre questions !

Loïc est sur Twitter et sur Instagram.

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Mon invité se qualifie lui-même de, je cite "pilote au prénom inconnu". Pour être honnête, il exagère un tout petit peu, puisqu’il a effectué une carrière loin d’être ridicule en Europe et surtout en Amérique du Nord. Mais il a fini par revenir en France pour se reconvertir dans le journalisme auto et moto. Vous avez sans doute lu sa prose dans Auto Live, Moto Revue ou plus récemment Top Gear Magazine. En parallèle, il s’est récemment lancé dans le monitorat de pilotage. On va aborder tous ces sujets avec mon invité, Loïc Depailler !

Dans ce premier épisode, on s'intéresse à sa carrière dans le sport automobile, à ses aventures "pistesques"... et aux souvenirs qu'il conserve de son père, tragiquement disparu en 1980.

Loïc est sur Twitter et sur Instagram.

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