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Or
Cette semaine, Jean Leonetti réagit à la version provisoire du texte du gouvernement sur la fin de vie, qu'Emmanuel Macron devrait présenter en février prochain.
Dans ce huitième épisode, Laurent Neumann reçoit Jean Leonetti, maire LR d’Antibes, cardiologue et ancien ministre des Affaires européennes, qui a donné son nom aux lois de 2005 et de 2016 sur les droits des malades en fin de vie, ces dernières proscrivant notamment l’acharnement thérapeutique. Il commente la version provisoire du texte sur la fin de vie sur lequel planche le gouvernement, dans lequel l'exécutif ouvrirait la porte au suicide assisté et à l'euthanasie.
Jean Leonetti met en lumière le paradoxe d'envisager ces options alors même que l'accès aux soins palliatifs est très difficile dans le pays, avec 26 départements français ne disposant pas d'unités de soins pour les malades en fin de vie. Il analyse par ailleurs le conflit intrinsèque entre liberté individuelle et protection de la société et souligne les carences juridiques d'un avant-projet de loi qui risque fort de faire face à la réticence de nombreux médecins à administrer la mort.
Bonne écoute !
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, Jean Leonetti réagit à la version provisoire du texte du gouvernement sur la fin de vie, qu'Emmanuel Macron devrait présenter en février prochain.
Dans ce huitième épisode, Laurent Neumann reçoit Jean Leonetti, maire LR d’Antibes, cardiologue et ancien ministre des Affaires européennes, qui a donné son nom aux lois de 2005 et de 2016 sur les droits des malades en fin de vie, ces dernières proscrivant notamment l’acharnement thérapeutique. Il commente la version provisoire du texte sur la fin de vie sur lequel planche le gouvernement, dans lequel l'exécutif ouvrirait la porte au suicide assisté et à l'euthanasie.
Jean Leonetti met en lumière le paradoxe d'envisager ces options alors même que l'accès aux soins palliatifs est très difficile dans le pays, avec 26 départements français ne disposant pas d'unités de soins pour les malades en fin de vie. Il analyse par ailleurs le conflit intrinsèque entre liberté individuelle et protection de la société et souligne les carences juridiques d'un avant-projet de loi qui risque fort de faire face à la réticence de nombreux médecins à administrer la mort.
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