By Radio Grenouille
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Justine Arnal est née en 1990 à Metz. Autrice et psychologue clinicienne, elle vit et travaille à Paris. Elle a publié deux livres aux Éditions du Chemin de Fer : un premier récit proche de la forme du conte, Les Corps ravis (illustré par Lola B. Deswarte) et un roman poétique, Finir l’autre (illustré par Anya Belyat-Giunta). Elle s’intéresse particulièrement aux croisements et frictions entre littérature et psychanalyse. Une question est au cœur de son travail : par quelles langues et quels corps sommes-nous habités ?
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
« La première chose que je peux vous dire… » est un titre inspiré par la première phrase de « La vie devant soi », le roman de Romain Gary / Émile Ajar.
Présentation : Pascal Jourdana et/ou Roxana Hashemi
Suivi de production : Fanny Pomarède (La Marelle), Jean-Baptiste Imbert (Radio Grenouille).
Réalisation technique : Jean-Baptiste Imbert, Alexandre Simonini, aka Papi ou Djilali Hammiche.
Emma Marsantes a grandi à Neuilly-sur-Seine. Elle suit des études de lettres modernes à la faculté de Nanterre, puis à la Sorbonne. Dans les années 1990, elle écrit de la poésie qu’elle publie en revue. Professeure de français, elle a principalement enseigné dans des collèges de la banlieue parisienne.
À partir de 2009, elle se consacre à la pratique de la photographie à travers des formations aux Beaux-Arts de Nantes et à l’EFET Paris. Elle est également diplômée de l’école d’art invisuel ENDA (session Soustraire, 2014-2016). Ses deux romans, Une mère éphémère (2022) et Les fous sont des joueurs de flûte (2024) sont publiés aux éditions Verdier. En résidence à La Marelle, elle poursuit l’écriture de Regarder ailleurs.
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
« La première chose que je peux vous dire… » est un titre inspiré par la première phrase de « La vie devant soi », le roman de Romain Gary / Émile Ajar.
Présentation : Pascal Jourdana et/ou Roxana Hashemi
Suivi de production : Fanny Pomarède (La Marelle), Jean-Baptiste Imbert (Radio Grenouille).
Réalisation technique : Jean-Baptiste Imbert, Alexandre Simonini, aka Papi ou Djilali Hammiche.
Virginie Gautier est écrivaine. Elle développe une pratique artistique autour de questions d’espace, de perception et de déplacement qui l’amène à inventer des modalités de création en contexte et à collaborer régulièrement avec d’autres artistes (danseurs, musiciens, plasticiens). Elle est publiée dans plusieurs maisons d’éditions dont les éditions du Chemin de Fer, Publie.net et Nous. Après avoir enseigné les arts visuels, elle est engagée dans la recherche-création en littérature. Chercheuse associée à Héritages (UMR 9022), elle enseigne la création littéraire à CY Cergy Paris Université et intervient dans différents lieux de formation. Elle est en résidence à La Marelle en mai 2024 pour le projet « Recours à la nuit ».
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
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Présentation : Pascal Jourdana et/ou Roxana Hashemi
Suivi de production : Fanny Pomarède (La Marelle), Jean-Baptiste Imbert (Radio Grenouille).
Réalisation technique : Jean-Baptiste Imbert, Alexandre Simonini, aka Papi ou Djilali Hammiche.
Joëlle Cattino, metteuse en scène, et Michel Bellier, scénariste, sont deux membres de la compagnie Dynamo Théâtre, en résidence pour un projet de recherche et d’écriture qui réunit un collège d’artistes constitué de quatre autrices et auteurs : Virginie Thirion (Bruxelles), Marie-Thérèse Picard (Pointe-à-Pitre), Pierre Yves Lemieux (Montréal), Michel Bellier (Marseille) et de deux metteuses en scène : Luce Pelletier (Montréal) et Joëlle Cattino (Marseille). L’hypothèse de travail était l’écriture d’une œuvre collective francophone pour la scène : ETHNOGENESE 6 (titre provisoire).
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
« La première chose que je peux vous dire… » est un titre inspiré par la première phrase de « La vie devant soi », le roman de Romain Gary / Émile Ajar.
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Réalisation technique : Jean-Baptiste Imbert, Alexandre Simonini, aka Papi ou Djilali Hammiche.
Noah Truong est né en 1992 à Paris. Jusqu’à ses 28 ans, il a eu une vie étrange : sciences po, journalisme, genre féminin. Et puis, comme les hommes japonais terrifiés ou épuisés par leur existence qui disparaissent dans un coin sombre de Tokyo pour en commencer une nouvelle, vierge et anonyme, il a tout changé. De nom, de genre, et de chemin. Depuis, il écrit de la poésie et de la non-fiction. Son travail aborde les thèmes de la transition de genre, de la métamorphose, de la solitude et de la vie queer. Il aime les petits objets, les collections de jouets et l’humour noir. Son premier recueil, Manuel pour changer de corps, a paru en janvier 2024 aux Éditions Cambourakis.
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
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Réalisation technique : Jean-Baptiste Imbert, Alexandre Simonini, aka Papi ou Djilali Hammiche
Née en 1986, Laura Vazquez est poétesse et romancière. Prix de la vocation en 2014 pour son recueil La Main de la main, publié au Cheyne, ses autres recueils ont paru à L’arbre à parole, Plaine Page, Maison Dagoit. Son premier roman, La semaine perpétuelle, ainsi que l’épopée versifiée Le livre du large et du long sont publiés aux Éditions du Sous-Sol. On peut aussi retrouver ses textes au sommaire de nombreuses revues. Ses poèmes ont été traduits dans différentes langues, et elle en donne régulièrement des lectures publiques en France ou à l’étranger. Elle co-dirige par ailleurs la revue littéraire Muscle. Elle vit à Marseille. En 2023, elle a reçu le Prix Goncourt de la poésie pour l’ensemble de son oeuvre.
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
« La première chose que je peux vous dire… » est un titre inspiré par la première phrase de « La vie devant soi », le roman de Romain Gary / Émile Ajar.
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Maxim Cain écrit et dessine des bandes dessinées l’hiver et garde des troupeaux de brebis dans les Pyrénées Ariégeoises l’été.
Il publie régulièrement des pages dans des fanzines et a été édité dans la revue Bento (Prix de la bande dessinée alternative, Angoulême 2022) et avec Léo Duquesne, dans le bimensuel La Disparition. Il travaille aujourd’hui sur Démontagner, un récit pastoral entre témoignage et fiction qui raconte son ultime saison sur l’estive du Mont Roche. Ce livre paraîtra aux éditions Actes Sud.
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« La première chose que je peux vous dire… », c’est une revue. Sur papier et sur les ondes, un·e écrivain·e, accueilli·e en résidence à La Marelle, se prête au jeu de l’autoportrait ludique. Un questionnaire artistique, une invitation à prolonger la phrase « La première chose que je peux vous dire… », une conversation sur le projet d’écriture en cours, une carte blanche sonore. La partie radiophonique, enregistrée habituellement à la Librairie Maupetit, sinon à la radio, permet au public de découvrir le travail des auteur·trice·s et leurs projets. Pour découvrir la revue papier, c'est sur le site de La Marelle : https://www.la-marelle.org/
« La première chose que je peux vous dire… » est un titre inspiré par la première phrase de « La vie devant soi », le roman de Romain Gary / Émile Ajar.
Présentation : Pascal Jourdana et/ou Roxana Hashemi
Suivi de production : Fanny Pomarède (La Marelle), Jean-Baptiste Imbert (Radio Grenouille).
Réalisation technique : Jean-Baptiste Imbert, Alexandre Simonini, aka Papi ou Djilali Hammiche
Née en 1995, Zoé Cosson est autrice, scénariste et vidéaste. Après l’obtention d’un DNSEP à l’ESAD de Reims en 2018, sa vidéo Salle d’attente est exposée au Frac Champagne-Ardennes. La même année, elle intègre le Master de Création Littéraire du Havre où elle travaille à l’écriture de son premier roman Aulus, publié dans la collection l’Arbalète aux Editions Gallimard. Son travail, intimement lié à l’image et à des terrains de recherche circonscrits, émerge in situ, en réaction à des lieux spécifiques : au Centre de Cosmologie de Paris, à Providenza en Corse, ou encore à Ota pour Création en cours avec les Ateliers Médicis. Elle est la lauréate 2024 de l'appel à projets pour une résidence de création à destination des auteur·rices émergent·es proposée par la Collectivité de Corse et La Marelle.
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Sarah-Louise Pelletier Morin et Ann Gaspe sont deux des écrivaines en résidence à l’Hôtel des autrices 2023. L’Hôtel des Autrices est un dispositif qui explore de nouvelles façons d’écrire et de diffuser l’écriture. Il est tout à la fois un sujet littéraire, un espace de création, un objet artistique et une proposition politique. C’est un lieu de retrait, de rencontres et de transmission. Conçu par des autrices francophones à Berlin, l’Hôtel des Autrices est bilingue (français et allemand) et entièrement numérique. Les résidences sont organisées en partenariat avec Rhizome (Québec), le Centre Wallonie-Bruxelles Paris, La Marelle et le Fonds Citoyen franco-allemand.
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Philosophe et artiste, Dénètem Touam Bona s’attache à repenser la question du refuge à la lumière de l’expérience historique du marronnage (les arts de la fugue des esclavisé.es). Face à l’abolition en cours du droit d’asile, face à l’extinction des espèces vivantes, face à l’empire croissant des algorithmes sur nos vies, il appelle à la réactivation des arts marrons du camouflage. Il est notamment l’auteur de Cosmopoéticas do réfugio (Cultura e barbarie, 2020), de Sagesse des lianes (Post Editions, 2021) et de Fugitive, where are you running ? (Polity press, 2023).
Lors de sa résidence à La Marelle, Dénètem Touam Bona poursuit l’écriture d’un recueil expérimental de contes philosophiques S-F, intitulé Zones d’Incertitude Offensive. Cosmopoétique du refuge 2. Il s’inscrit dans la continuité de Sagesse des lianes. Cosmopoétique du refuge 1.
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