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Or
La matière noire reste l’une des plus grandes énigmes de l’astrophysique moderne. Invisible, elle représente pourtant environ 25 % de l’univers, influençant la formation des galaxies et la structure cosmique. Depuis sa première détection indirecte en 1930 par Fritz Zwicky, puis confirmée par Vera Rubin en 1970 grâce aux courbes de rotation des galaxies, cette matière insaisissable défie toutes nos théories. Jusqu’ici, les hypothèses se concentraient sur des particules exotiques comme les WIMPs ou les axions, mais une nouvelle découverte pourrait tout changer. Au centre de la Voie Lactée, un nuage d’hydrogène ionisé de façon inexplicable intrigue les chercheurs. Aucune source d’énergie connue – ni supernovae, ni rayons cosmiques, ni Sagittarius A* – ne semble pouvoir expliquer ce phénomène. Une hypothèse fascinante émerge : et si cette ionisation était due à une nouvelle forme de matière noire ? Contrairement aux WIMPs, cette variante plus légère pourrait interagir différemment avec la matière ordinaire, s’annihilant et libérant de l’énergie sous forme de particules chargées. Si confirmé, ce scénario révolutionnerait notre compréhension de l’univers et nous rapprocherait peut-être enfin de l’identification de cette substance énigmatique.
La matière noire reste l’une des plus grandes énigmes de l’astrophysique moderne. Invisible, elle représente pourtant environ 25 % de l’univers, influençant la formation des galaxies et la structure cosmique. Depuis sa première détection indirecte en 1930 par Fritz Zwicky, puis confirmée par Vera Rubin en 1970 grâce aux courbes de rotation des galaxies, cette matière insaisissable défie toutes nos théories. Jusqu’ici, les hypothèses se concentraient sur des particules exotiques comme les WIMPs ou les axions, mais une nouvelle découverte pourrait tout changer. Au centre de la Voie Lactée, un nuage d’hydrogène ionisé de façon inexplicable intrigue les chercheurs. Aucune source d’énergie connue – ni supernovae, ni rayons cosmiques, ni Sagittarius A* – ne semble pouvoir expliquer ce phénomène. Une hypothèse fascinante émerge : et si cette ionisation était due à une nouvelle forme de matière noire ? Contrairement aux WIMPs, cette variante plus légère pourrait interagir différemment avec la matière ordinaire, s’annihilant et libérant de l’énergie sous forme de particules chargées. Si confirmé, ce scénario révolutionnerait notre compréhension de l’univers et nous rapprocherait peut-être enfin de l’identification de cette substance énigmatique.
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