L'Anjou blanc se réinvente ! Après plus de vingt ans de travail, des crus d'exception sont sur le point d'être reconnus, des Dénominations Géographiques Complémentaires, les DGC. Cette démarche valorise le potentiel du Chenin en vin blanc sec, autrefois éclipsé par les liquoreux. Des Crus comme Montchenin, Les Treilles, Les Bonnes Blanches, La Tuffière, Burnizellus ou La Haie Longue, aux terroirs uniques, témoigneront de cette renaissance. Un cahier des charges exigeant, axé sur le Chenin pur, l'interdiction de la chaptalisation et de la machine à vendanger, et un élevage prolongé, encadre cette production d'excellence. L'Anjou blanc écrit une nouvelle page de son histoire, célébrant la richesse de ses terroirs et la qualité de ses vins secs.

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L'Anjou blanc se réinvente ! Après plus de vingt ans de travail, des crus d'exception sont sur le point d'être reconnus, des Dénominations Géographiques Complémentaires, les DGC. Cette démarche valorise le potentiel du Chenin en vin blanc sec, autrefois éclipsé par les liquoreux. Des Crus comme Montchenin, Les Treilles, Les Bonnes Blanches, La Tuffière, Burnizellus ou La Haie Longue, aux terroirs uniques, témoigneront de cette renaissance. Un cahier des charges exigeant, axé sur le Chenin pur, l'interdiction de la chaptalisation et de la machine à vendanger, et un élevage prolongé, encadre cette production d'excellence. L'Anjou blanc écrit une nouvelle page de son histoire, célébrant la richesse de ses terroirs et la qualité de ses vins secs.

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L'Anjou blanc se réinvente ! Après plus de vingt ans de travail, des crus d'exception sont sur le point d'être reconnus, des Dénominations Géographiques Complémentaires, les DGC. Cette démarche valorise le potentiel du Chenin en vin blanc sec, autrefois éclipsé par les liquoreux. Des Crus comme Montchenin, Les Treilles, Les Bonnes Blanches, La Tuffière, Burnizellus ou La Haie Longue, aux terroirs uniques, témoigneront de cette renaissance. Un cahier des charges exigeant, axé sur le Chenin pur, l'interdiction de la chaptalisation et de la machine à vendanger, et un élevage prolongé, encadre cette production d'excellence. L'Anjou blanc écrit une nouvelle page de son histoire, célébrant la richesse de ses terroirs et la qualité de ses vins secs.

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Alors Marcelle, ça biche ?! Argotière sincère et cinéphile insatiable, Marcelle nous embarque dans les méandres féminins au cinoche... Et c'est pas la bamboche. 

Abonnées aux gifles, exclues des bons mots, du patrimoine rigolard, reléguées au second plan de films qu’on adore, éloignées des tables de “banquetteurs” professionnels, enfin invitées dans les émissions de radio mais côté cuisine plutôt que vin. Où sont les femmes de gouaille ? Quel est notre matrimoine cinématographique et oenophile ? Heureusement, Marcelle est là pour nous conseiller quelques perles. 

Et si une femme, ça aimait le rouge qui tache, dormir dans des châteaux en loucedé, parler argot et dézinguer gentiment le vin nature ? Au ciné comme au chai, quand un propos de femme dépasse ou dérange, on la ferait volontiers passer pour zinzin. Alors le droit à parler du pinard comme un gaillard, c'était forcément un épisode obligatoire !

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Longtemps écartées de l’intellect, les femmes arrivent parfois au monde par les sens. Comme chaque humaine, Marine a un rapport personnel au monde : elle le respire. 

Dans une époque de vampirisation du vin par l’olfaction, Marine nous réconcilie avec les odeurs en racontant une histoire évolutive et évolutionnaire. Une expérience sensorielle et empirique dont aucun progrès ne doit nous éloigner. 

Ingénieure, conférencière et pédagogue du goût, Marine intervient pour rappeler la richesse de notre environnement olfactif. Ressentir le monde est donc une affaire d’attention, sans limite d’accès culturel ni budgétaire. Sentir et ressentir la maison de l’autre, découvrir le mutisme olfactif de la neige, la richesse débordante des rues familières, célébrer encore et toujours le vivant et le subtil. 

Une frontière si ténue entre conscient et inconscient que l'agroalimentaire instrumentalise les odeurs pour détourner notre attention du manque d’intérêt gustatif, tactile ou nutritionnel de créations déshumanisées.

Marine nous rappelle que le vivant est la clé de notre inspiration et de nos expériences, dont l’intelligence artificielle ne doit jamais menacer les dimensions vitales. Une flânerie sensorielle à ressentir avec les oreilles - et les narines ! 

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Embrasser l’autre, être réellement inclusif, c’est déjà se connaître soi, se rencontrer, observer ses propres comportements et les aligner à ses valeurs. Stan propose des espaces de complicité et de tendresse pour toutes celles et ceux que la sommellerie classique ou l’emprise de l’alcool étouffent trop souvent. Un sujet de société et un vrai sujet dans le monde du vin, encore dominé par des normes phallocrates et un repli confinant au clonage. 

Et puisqu’on parle sommellerie, la vraie, Benoît nous rappelle que ce mot était à l’origine investi d’une mission bien plus inclusive que les seuls breuvages alcoolisés. A son contact, le vin se montre moins égocentrique, acceptant de partager le plaisir avec d’autres fermentations.

Peut-on marier une terrine de sanglier avec un “sobreuvage” ? Peut-on picoler tranquille avec un homme ? Peut-on élargir la réflexion (plutôt que supprimer l’alcool) avec des produits vrais, authentiques et de qualité ou sommes-nous condamnés aux ersatz industriels manipulés à outrance ? 

Avec eux, on se reconnecte à un ensemble, on y trouve sa place, on se libère des normes, on respire plus facilement et plutôt que de tolérer uniquement le familier, on embrasse l’étranger. Un épisode intime avec deux humains qui prouvent qu’on peut être ivres de connexion, exaltés de tolérance et saouls de liberté.   

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Beaucoup la décrivent comme un roc, une boussole, une grande sœur au grand cœur, une lanceuse d’alerte à grande gueule. Bref, ce que certains appellent une emmerdeuse. 

Quelle responsabilité et quel poids porte la “femme forte”... 

Pour moi, Isabelle est un mouvement. Une symphonie humaniste dont les accélérations s'éveillent par nécessité, au contact de l'injustice, à l'écoute d'un trajet de vie heurté, de l'influence de quelques-uns sur nous autres.

Au centre d’un énième “procès-bâillon”, le collectif “Paye ton pinard” tente d’inverser (ou au moins d’équilibrer) parole, soutien et impunité entre agressées et agresseurs. Une initiative qui prône la prise de conscience collective et en paie parfois le tribut sociétal. 

Si “on ne naît pas femme”, Isabelle est bien née militante. Aux récits de femmes et parfois d’hommes autour d’elle, aux étiquettes sexistes dans le monde du vin, sa réponse est toujours la même : l’action. 

A la question du modèle féminin, Isabelle propose la sororité et nous amène à réfléchir à nos expériences personnelles et à rester à l'écoute du parcours des autres. 

On ne naît pas féministe - mais tôt ou tard, on le devient. 

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Quel rapport entre un verre de vin et l’esquisse d’une vulve ? Voyage et connexions entre femme et nature, énergie et couleurs... Dégustatrice synesthète, Charlène nous interroge aussi sur des sentiments dont la valeur sociale nous empêche de tirer le meilleur profit. La colère est-elle un empêchement, un monstre bouffeur de lumière ou au contraire un catalyseur de lucidité, de bravoure et de détermination ? Culturellement occultée, la colère est pourtant fondamentale dans la transcendance. 

Une femme peut-elle s’autoriser à sortir de la sommellerie classique ronronnante, élitiste et souvent bridée ? Conversation avec une sommelière qui vit son métier comme elle vit le vin : de façon unique, immersive, émouvante. Le retour de sa clientèle est sans appel : c’est cette approche que nous voulons, que nous réclamons, qui nous emmène vers le partage sans lassitude. Peu en sont capables et peut-être est-ce une piste de réflexion pour toute une profession. Une réflexion qui s’étire jusque dans les accords qu’elle propose entre vins et cuisine. Au-delà de la texture et de l’aromatique, Charlie partage sa quête de l’accord de résonance. Bienvenue dans cet épisode où on expose et explose les carcans de la dégustation, des accords et de la légitimité dans les métiers du vin. 

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Mille routes mènent à Ghita : la fermentation millénaire, le vin naturel, le respect et la collaboration avec le vivant, la réflexion sur un féminisme plus inclusif et social… 

Cette femme est un peu toutes les femmes. Chevelure libertaire, cervelle ubiquiste, un timbre de voix qui vient du cœur et un rire à réconcilier les peuples ! 

Née à Genève, élevée entre la France et le Maroc, entre athéisme et foi pratiquante… Peut-on venir d’ailleurs et aller partout ? Avocate puis oenophile, entrepreneuse et serial-fermentatrice, le parcours de Ghita gravite depuis toujours autour des origines de l’Humanité. La langue, le goût, la transformation. Mais sa passion c’est le vin, qu’aucune culpabilité n’a pu enrayer. Une rencontre qui l’a emmenée de la joyeuse démesure à la sagesse d’une vraie connexion. Au contact de Ghita, il se pourrait bien qu’une joie et une vitalité indomptables deviennent les meilleurs instruments pour penser le monde de demain.

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La Salonnière saison 1 : Femmes DeVin (par Mademoiselle Jaja)

Dans son livre Mangeuses, Lauren croque nos habitudes, nos rapports, nos enfermements - tout ce qui caractérise l’obéissance ou la rébellion féminine à travers la nourriture. Les femmes et la gourmandise, c’est une longue fabrique de conformité et de soumission. Coller à une image, ne pas faire de vague - encore moins de bourrelet. Digérer une norme patriarcale au point de devenir sa propre police. 

Dès le 13è siècle, l’homme “de plaisir” se sert tandis que la femme de plaisir se donne.

Exclue des tables de la réflexion, des banquets de l’analyse mais aussi des excès et de la camaraderie ; écervelée invitée en bout de course lorsqu’il s’agit de dépenser les calories plutôt que de les penser ; la Femme est pourtant Groumette (courtière en vin) plusieurs siècles avant l’apparition du mot groom et le sacre du gourmet. 

Lauren confie ce qui vibrera en chacune : son rapport à la colère, parfois aveuglante, difficile à dompter mais dont l’amitié peut amener à nous transcender. 

Face à la culture dominante, Lauren propose une contre-soirée et c’est bien la première fois qu’on accepterait de se cantonner à la cuisine - avec elle - pour y refaire le monde à notre sauce !

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