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Voici une rencontre avec Caroline Teissandier, animatrice Faber & Mazlish et mère de 3 enfants. On s’est vu au Festival pour l’Ecole de la Vie et elle nous parle de sa vision de la parentalité et des ateliers Faber & Mazlish.
Merci encore à Caroline Teissandier pour son témoignage.
Vous pouvez retrouver le résumé du livre de Faber & Mazlish ici.
Retrouvez les ateliers près de chez vous : http://www.ateliersfabermazlish.com/
Et pour suivre les ateliers de Caroline : https://latelierdeshakti.wixsite.com/latelierdeshakti
J’ai mis à disposition l’interview en podcast. Voici également une transcription texte pour ceux qui préfèrent lire :
– Bonjour Caroline.
– Bonjour Chang.
– Alors, est ce que tu peux te présenter et après on va parler de ton activité.
– Ok ça marche. Alors je suis Caroline Teissandier, on va dire que en priorité, je suis maman de trois enfants qui vont pas à l’école; et passionné par la parentalité qu’on dit bienveillante positive, que moi j’aime dire consciente, tu vois, par opposition je trouve que bienveillant tu aurais la malveillance, positive il y aurait la négative. Ça me met mal à l’aise. Depuis j’ai cherché quel était le mot qui me mettait le plus à l’aise et c’est finalement parentalité consciente, par opposition, avant que tu commences à te poser des questions, t’es un peu dans l’inconscience et du coup j’ai passé pas mal d’années a pas travaillé, à accompagner mes enfants et puis l’année dernière plein de choses, enfin dans les deux ans là, plein de choses se sont mises en place, se sont alignés et je me suis mis à travailler et à transmettre cette parentalité là principalement via la méthode Faber & Mazlish.
– Ok, alors du coup mais pour ceux qui connaissent pas, est-ce qu’on peut résumer quelques principes?
– Ouais carrément, alors on est sur une méthode américaine de techniques de communication entre adultes et enfants. Donc a priori plutôt utilisé dans la famille mais qu’on peut aussi utiliser en tant qu’enseignant. Moi je les transmets aux nounous, pareil on peut l’utiliser aussi. Et très souvent je m’amuse à dire qu’on peut l’utiliser entre adultes aussi. Ça marche avec votre conjoint ça marche avec la belle mère et on est en fait si tu veux sur un cycle, comme tu as lu le livre, toi, tu as l’idée. On est sur un cycle de six séquences, six grandes thématiques où on va parler de : qu’est ce qu’on fait avec les émotions de l’enfant, qu’est ce qu’on fait par rapport à la coopération, qu’est-ce qu’on fait par rapport à vivre sans punition, qu’est ce qu’on fait avec l’autonomie de l’enfant, qu’est ce qu’on fait avec l’estime de soi de l’enfant, comment est-ce qu’on soutient ça et puis comment au final, comment est-ce qu’on aide à retirer les étiquettes, les rôles, les enfants terribles, la petite fille trop sage, voilà. Et donc on va balayer tout ça et à chaque fois on va être sur un modèle qui est le modèle du bouquin, mes confrères en atelier en collectif avec donc un formateur, une formatrice qui est formée à la méthode et qui souvent amène sa propre patte aussi, sa propre lecture. On va balayer en fait, prise de conscience, par le jeu de rôle principalement. Comment ça se passe pour moi quand on n’accueille pas mes émotions? On va ensuite voir les outils en bande dessinée. On les voit ensemble en bande dessinée. On les lit on et décrypte ensemble en atelier et ensuite, exercices de mise en place, on retourne souvent sur des jeux de rôle on retourne sur la remodélisation de phrases, reformulation ainsi de suite et donc du coup voilà. C’est vraiment quand t’as lu le bouquin, t’as fait un atelier mais solo. T’as fait ça tout seul chez toi sauf que là bas, on va être une dizaine de parents autour de la table et c’est là où il va y avoir la puissance du groupe qui va se mettre en place. Des interactions, chacun va te donner des cas d’exemple. Puis déjà rien que ton ressenti quand tu as fait l’exercice sur les émotions. Tu te souviens l’exercice du patron, donc une journée compliquée et puis à la fin de la journée t’en parle à un ami et il y a différents types de réponses. Et bien ce que toi tu va ressentir à un type de réponse, ça sera pas la même chose que moi, ce sera pas la même chose que chacun de vous derrière la caméra.
– C’est en fonction du vécu de chacun.
– Exactement, de son vécu directement, de son histoire, de plein de choses, son degré de « est-ce que je suis quelqu’un de très émotif », « est-ce que je suis quelqu’un de plutôt cocotte minute, qui va garder qui va renfermé » et puis aussi ouais effectivement de son passé d’où je viens, comment j’ai été accompagné petit. Et en fait de découvrir que à une un type de réponse, à un type de réaction, de stimuli on va pas tous avoir la même réaction émotionnelle. Pour moi c’est hyper puissant parce que ça veut dire que quand je suis en dialogue avec mon enfant, même si j’essaye d’accueillir son émotion, quand je me dis « mais je comprends pas si je vivais qui vit moi je réitère en colère. » lui il était peut-être pas en colère, il est peut-être indignée, peut-être frustré, il est peut-être juste mal à l’aise, il est peut-être plein d’autres choses. Et là tu vois on va commencer à avoir la grande diversité qui se met en place dans le groupe. Pour moi c’est là que c’est puissant.
– Là on va pouvoir comprendre que se dans un groupe d’adultes y’a des réactions différentes, chez les enfants évidemment aussi
– Et que du coup si tu accompagnes un enfant, deux enfants, trois enfants, six enfants tu vas avoir six paysages émotionnels différents quoi. Et donc du coup ça commence à nuancer les choses, on commence à se dire « ok donc trouver ce que l’autre vit c’est peut-être pas que là dedans que ça se passe, c’est peut-être déjà dans comment je fais de la place pour le laisser vivre son truc quoi. » À quel moment j’arrive à juste l’accueillir en fait, nommer, ok c’est un truc génial et c’est super de pouvoir donner du vocabulaire pour accompagner les enfants à s’améliorer encore. Et nous parce que qu’est-ce qu’on est pauvre en vocabulaire d’émotion.
– C’est vrai que des fois on voit les enfants ils arrivent même pas exprimé qu’est-ce qu’il ressent mais parfois on n’y arrive pas nous même.
– C’est clair déjà savoir se dire « voilà je suis, je suis un petit peu tendu, en même je suis excité de faire cette vidéo et en même temps je suis comme tu vois je suis un peu comme planante, parce que on est au festival pour l’école de la vie, ça fait trois jours qu’on est dans un truc tous ensemble. On réfléchit tous et prendre le temps, d’arriver à se dire « comment je me sens? » ou « est-ce que j’en suis? » On n’a pas trop d’espace pour le faire et voilà dans l’atelier il y a aussi tout ça. Et du coup bah t’as tout ce que tu vas améliorer en parentalité et a aussi toutes les portes que tu va entrouvrir de « et moi alors? » « À quel moment j’ai pris soin de moi? » « À quel moment je reviens vers moi? »
– Ça amène une réflexion sur soi-même.
– Ah ouais, moi j’ai vu des parents en atelier tellement se retourner vers eux en disant « Mais en fait j’ai besoin de temps pour moi » « En fait j’ai envie de soutenir mon enfant dans son autonomie mais j’ai besoin d’autonomie aussi d’autonomie parental » « Je savais même pas que ça existait l’autonomie parentale » tu vois et plein de choses comme ça parce que y’a toute cette rencontre, toute cette diversité et aussi plein de moments où tu déculpabilises de te dire « Moi j’y arrive pas tout le temps, parfois je crie, ok je vais pouvoir faire du replay, je vais pouvoir revenir en arrière, je vais pouvoir ‘assurer le service après vente’ de mes émotions’. » J’adore cette notion là, je suis fan. Et en fait en atelier, bah de pouvoir te dire aussi « Je suis pas la seule » « Je suis pas le seul à vivre les choses comme ça, je suis pas la seule à arriver au bout de mes limites » ainsi de suite.
– C’est beaucoup plus stimulant de faire
– Il y a de la stimulation, il y’a effectivement du « tu va encore plus loin » et puis y’a « tenir le coup » parce que il est long quand même ce bouquin .Toi tu l’as lu, l’a dévoré mais il y’a des gens, ils l’attaquent et puis « ah ouais tellement de boulot à faire »
– Oui c’est super intéressant donc moi je trouvais que celui-là il était passionnant donc je l’ai lu rapidement. Mais après il y’a derrière, il y’a toute la mise en pratique.
– Il y’a toute la mise en pratique et là tu vois on se voit, première semaine où on se voit on travaille, donc on traite le sujet des émotions et puis après on se voit, soit une semaine plus tard soit même quinze jours plus tard. Moi j’aime bien l’idée de se voir tous les quinze jours parce que tu as vraiment le temps d’expérimenter. Donc chacun repart dans sa vie, chacun d’eux met en place, chacun le test et puis après on se retrouve et là bah on fait déjà un feedback quoi. Qu’est ce qui s’est passé pour chacun on voit les victoires, on voit les difficultés. Moi je suis là pour, en tant que formatrice, et tous les formatrices formateurs du réseau Faber & Mazlish on est là pour savoir où sont les pépites, où est-ce qu’il y’a déjà des choses qui ont bougé. Est-ce que c’est déjà en train de fleurir quoi? Est-ce que le lien est en train encore de s’améliorer parce que le but c’est ça. C’est pas être des parents corrects, avoir des enfants corrects c’est avoir du lien, c’est avoir des relations qui sont intéressantes parce que à la fin, à la fin du bout du bout, avoir un enfant bien élevé, est-ce que c’est ça le projet?
– Ouais voilà ça c’est une réflexion que tout le monde m’a pas, c’est une première réflexion qui est super intéressante.
– C’est déjà un chemin qui est intéressant et en tout cas ce que moi j’ai de lecture de Faber & Mazlish, c’est « comment je vais tisser du lien avec mon enfant » « Comment est-ce que voilà quand ils seront grands, quand ils seront des jeunes adultes, ou déjà des ados, comment est-ce que je plante des graines qui font qu’à un moment ben ils vont savoir qu’il y a le terrain pour venir parler de leurs émotions, de leurs besoins, de i de ça, d’autonomie ainsi de suite. Revenir au nid pour aussi pouvoir eux épaissir leur truc perso quoi.
– Donc voilà bon bah l’important voilà, est ce que on a envie de créer un lien, ou avoir un enfant bien élevé.
– Exactement.
– Du coup avec la vidéo, je laisserais tes coordonnées, donc toi c’est au tour de quelle région?
– Alors je suis actuellement en Auvergne et alors le mois prochain je déménage à la Réunion. Je serai dans quelques mois à la Réunion en présentiel et je travaille aussi à distance de toute façon, on fait aussi des choses via internet.
– D’accord. Bah merci pour ce témoignage.
– Avec plaisir, merci pour ton invitation.
– Et à bientôt peut-être.
– À bientôt avec plaisir
L’article [INTERVIEW] Caroline Teissandier, formatrice Faber & Mazlish est apparu en premier sur Parentalité Zen.
J’ai rencontré Edna, formatrice en Discipline Positive et également auteure du blog “La Famille Positive”. Elle nous parle aujourd’hui de la Discipline Positive, de l’association française qui en découle (cf. Jane Nelsen). Vous aurez également la liste des ressources que l’association propose et le fameux jeu de 52 cartes pour vous accompagner dans la bienveillance.
Voici la liste des ressources dont on parle dans la vidéo (vous pouvez aussi retrouvez le résumé du livre ici) :
– La Discipline Positive (best-seller de Jane Nelsen, +1M de ventes) : https://amzn.to/2DitMei
Pour suivre Edna (formatrice en Discipline Positive), vous pouvez la retrouvez sur son blog et sa chaîne Youtube : http://lafamillepositive.com/
Retrouvez le site de l’association avec les ateliers et la listes des outils : http://www.disciplinepositive.fr/
J’ai mis à disposition l’interview en podcast. Voici également une transcription texte pour ceux qui préfèrent lire :
– Bonjour Edna
– Ça va très bien. Du coup alors, est-ce tu peux te présenter et ensuite on va parler de l’association
– Oui alors moi je ont connaît sous le nom d’Edna de la famille positive puisque j’ai un blog s’appelle la famille positif. Voilà, une page facebook une chaîne youtube où je partage vraiment ces trucs et astuces sur la parentalité positive sur voilà la santé positive , l’éducation positive en général et tout ce qui est autour du mieux-être dans la famille et de façon personnelle.
– Et du coup alors tu peux nous parler de l’association?
– Oui aujourd’hui je suis là pour l’association discipline positive France. Je suis membre de cette association et cette association regroupe l’ensemble des formateurs de discipline positive en france aujourd’hui on est environ 250 et ce sont des formateurs, et bien qui proposent des conférences des ateliers des formations pour se mettre en chemin sur la discipline positive.
– Voilà sur le blog on en parle, pour ceux qui connaissent pas, est-ce qu’on peut résumer la discipline positive?
– C’est une approche éducative qui est dans dans ce courant ce sillon d’éducation positive et c’est comment éduquer en conjuguant la fermeté il a bienveillance. Donc la fermeté c’est le respect du cadre le respect du monde de l’adulte la fermeté elle est indispensable pour aider l’enfant à se construire et puis il y a aussi cette bienveillance qui est le respect de l’enfant le respect des étapes de son développement et si on a ces deux maîtres mots là en fait y en a un troisième qui est l’encouragement.
– Ok super, donc pour ceux qui veulent plus de renseignements il y a le site
– Le site de l’association donc disciplinepositive.fr voilà et puis après il y a aussi des lectures. donc on a on a quatre livres qui ont été publiés enfrance. Donc le livre de référence la discipline positive et qui est sorti en septembre 2012, en septembre 2014 on a le livre la discipline positive pour les adolescents qui est sorti, en 2007 c’était la discipline positif pour les parents solos et puis le petit dernier c’est la discipline positif dans la classe voilà qui est sorti en février dernier.
– Celui là je ne l’ai pas encore lu, il va falloir que je me mette à jour. Merci beaucoup pour ses informations.
– Avec des grands plaisir
– Et du coup, pendant le festival pour l’école de la vie, où malgré la recherche, là, il y a eu trop de succès.Il y a un jeu de carte que je voulais me procurer mais qui est en rupture de stock, est-ce que tu peux nous en parler rapidement ?
– Oui, alors en fait les cartes existent en 2 versions et donc ça c’est la version pour les parents et puis on a aussi la version pour les enfants ont donc c’est des cartes qui sont en fait les cartes outils c’est un petit peu comme des comme des cartes mémo des différents outils qui sont abordés dans les livres et donc on a plusieurs façons de les utiliser ces cartes là en fait. On peut lorsqu’on se trouve face à une difficulté ou un défi Moi je m’appelle les défis d’éducation. On est face à un défi de l’éducation avec notre enfant, donc on peut prendre les cartes et se dire bah là voilà quelle carte et quel outil je peux utiliser pour résoudre ce problème là et donc on va on va s’inspirer après ce qu’on peut faire et moi j’aime bien le proposer aux parents qui suivent mes ateliers , c’est de dire, pour faire de de l’ancrage parce que quand on fait des ateliers on voit toute la démarche. On voit tous les outils on va s’imprégner de tout ça mais finalement on a besoin de pratiques. Il faut continuer à pratiquer et finalement de se dire : tient cette semaine je prends une carte, je me la colle si le frigo ou au dessus de mon bureau et puis je la garde en tête et je me dis un moment donné : voilà cette carte là je vais l’utiliser je vais essayer de la mettre en oeuvre cette semaine et semaine après semaine on va expérimenter les outils on va les mettre en oeuvre parce qu’on sait bien que finalement c’est en faisant qu’on apprend et donc voilà ça permet de faire de l’ancrage parce que c’est un chemin la discipline positive ou changer son approche éducative c’est aussi apprendre à prendre un chemin c’est comme apprendre une nouvelle langue ça demande de pratiquer et voilà c’est donc en pratiquant qu’on apprend
– On mettra le lien pour retrouver les cartes.
– Oui donc elles sont elles sont sur le site de l’association on les retrouve et puis elles sont aussi sur les sites des éditions du Toucan qui sont les éditeurs de ces cartes là.
– Ok merci beaucoup
L’article [INTERVIEW] Edna de La Famille Positive / formatrice en Discipline Positive est apparu en premier sur Parentalité Zen.
Mes sentiments mes besoins : le nouveau jeu outil autour des émotions ! Aidez vos enfants à décrypter leurs émotions, c’est les aider à comprendre ce qui se passe en eux. Plein d’émotions et de sentiments traversent vos enfants chaque jour. C’est parfois la colère, la tristesse, la joie, la déception ou bien l’enthousiasme. Quand ils sont heureux, tout va bien, mais quand ils boudent ou sont malheureux, c’est plus difficile pour eux. Comprendre ses propres émotions permet de dépasser plus facilement cet état dans lequel on est et mieux comprendre nos propres réactions.
Comment développer cela chez votre enfant ? Et si je vous disais qu’il existe des outils ludiques ?
Notre amie Christine nous avait offert le sac à sentiments. Clarence est fan, on l’utilise tous ensemble. Il n’a plus peur d’exprimer ce qu’il ressent. C’est même lui qui nous demande d’utiliser le sac à sentiments avant de dormir. Je vous en avais déjà parlé et cet outil est génial. D’ailleurs, dites-moi en commentaire si vous avez eu l’occasion d’essayer le sac à sentiments. Au festival, j’ai découvert un outil qui va encore plus loin : “Mes sentiments mes besoins” !
Ceux qui le suivent sur les réseaux sociaux savent que j’étais au Festival pour l’École de la Vie il y a pas longtemps (encore bravo aux gagnantes a qui j’ai offert des pass 3 jours !). Bref, j’y est rencontré pleins de gens et notamment Édith Marichal, psycho-pédagogue qui a créé “Mes sentiments mes besoins”, un jeu de carte sur les émotions. Le jeu est hyper simple, intuitif, et permet de sensibiliser les enfants aux différentes émotions que l’on peut ressentir. Quoi de mieux que de laisser Édith vous présenter ce jeu elle-même ?
Voici en vidéo une présentation directe par la créatrice du jeu “mes sentiments mes besoins”.
Retranscription texte :
Pour ceux qui ne peuvent pas regarder la vidéo, voici une transcription texte de l’interview :
ParentalitéZen : Bonjour Edith aujourd’hui on se retrouve sur Festival pour l’Ecole de la Vie et en fait j’ai adoré votre outil. Est-ce que vous pouvez vous présenter ?
Edith Marichal : Moi c’est Edith Maréchal, je suis psychopédagogue et voilà plus de 25 ans et 30 ans que je travaille dans le domaine de la relation d’aide. Donc j’accompagne vraiment des familles et des groupes et de milieux différents, plein d’environnements différents et des événements. On a été invité dans 9 pays différents, donc à que chaque fois je rencontre des personnes différentes et je peux, j’ai la chance de pouvoir exercer mon métier partout voilà.
ParentalitéZen : Voilà, et moi j’ai été attiré par l’outil parce que chez nous donc, on utilise un outil qui s’appelle le sac à sentiments pour que notre enfant puisse apprendre à parler de ses émotions et là on a un outil qui va encore plus loin.
Edith Marichal : Alors oui c’est un jeu qui s’appelle « mes sentiments mes besoins ». C’est un outil qui permet d’allier assez facilement tout ce qui est besoin qui est liée au sentiment. Donc chaque sentiment vécu est l’enfant d’un besoin, c’est pas c’est pas moi qui le dit c’est Rogers. C’est Marshall Rosenberg également. J’ai conçu cet outil sur base de toutes ces recherches-là parce que j’avais besoin d’avoir quelque chose qui est directement parlé, directement au cœur de la personne j’avais vraiment envie d’être en empathie avec la personne et que ce soit même au niveau familial avec nos propres enfants. Nous avons deux enfants biologiques et deux enfants adoptés, c’est très difficile pour eux, ça été très difficile pour eux et donc cet outil était vraiment indispensable. C’est pour ça que je l’ai crée, pour avoir une communication dans mon travail mais également en famille et s’utilise très facilement avec les enfants on peut l’utiliser de différentes façons. C’est un chouette outil.
ParentalitéZen : Vous pouvez donner un exemple? Prenez une carte au hasard peut-être, là « je me sens étonné ». Et moi ce que j’avais bien aimé c’est que derrière vous on a plusieurs solutions donc « j’ai peut-être besoin de », « de comprendre ce qui m’arrive », « de contrôler la situation pour comprendre ce qu’on me dit », « que l’on m’explique ».
Edith Marichal : Et voilà et donc à partir du moment où on va comprendre le besoin qui est derrière on va pouvoir faire une action et donc on va pouvoir satisfaire ce besoin ou s’il est assouvi on va rester comme ça et continuer. Et donc on est vraiment au cœur de la personne, on permet à soi parce que c’est utilisable pour cela également on permet de s’aligner et de s’aligner avec l’autre aussi. Et donc après ça si j’ai besoin de telles choses, qu’est ce que je vais mettre en place moi pour devenir responsable, pour être acteur de ma vie, et je ne suis plus victimes de tout ce qui m’arrive. Ça permet donc, quand on commence à connaître ses émotions, de savoir comment on peut passer d’une à l’autre mais ne pas rester bloqué. Voilà.
ParentalitéZen : Pour ceux que ça intéresse, est-ce qu’on peut dire où trouver ce jeu?
Edith Marichal : Alors, sur le site items évolution mais maintenant nous avons fait un site mes sentiments mes besoins, parce que, pour avoir différentes pistes d’utilisation une que j’adore vraiment et qui donne très très bien c’est « la dernière fois où » et donc « la dernière fois où je me suis senti heureux » ou « rejeter » ou voilà et on parle de soi mais on met une distance d’accord voilà est donc là il y a vingt pistes sur le site, 20 pistes d’utilisation vous trouvez de jeux sur internet.
ParentalitéZen : Bon bah nickel. Merci beaucoup pour cette présentation.
Edith Marichal : Merci à vous.
Le jeu n’est pas disponible dans les grandes surfaces pour le moment. Vous le trouverez en exclusivité sur Internet et notamment sur la boutique Item-Evolution :
Ce que j’aime moins :
J’espère que cette présentation du jeu “Mes sentiments mes besoins” vous a convaincu. N’hésitez pas à le découvrir plus en détail sur leur boutique en ligne
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L’article Mes sentiments mes besoins : un jeu outils autour des émotions est apparu en premier sur Parentalité Zen.
J’ai la chance d’interviewer Valérie Roumanoff aujourd’hui. Elle est l’auteure d’un livre dont j’avais déjà parler récemment : “Et si on arrêtait de crier sur nos enfants?”. Le livre donne des méthodes concrètes pour ne plus entrer en conflits avec ses enfants (entre autres). L’originalité vient des séances d’hypnose fournit. Valérie Roumanoff est effectivement hypnothérapeute. Je vous laisse découvrir l’entrevue en vidéo. Vous avez également une transcription texte pour ceux qui préfèrent.
ParentaliteZen : Bonjour à tous ! Ici Chang du blog Parentalité Zen. Aujourd’hui je vous retrouve pour une entrevue avec Valérie Roumanoff auteure du blog drôle de maman et également auteure de deux livres dont « Et si on arrêtait de crier sur nos enfants ». Elle est hypnothérapeute et aujourd’hui on va discuter avec elle de son livre de l’hypnose et des méthodes pour arrêter de crier sur ses enfants je vous laisse découvrir notre échange. Bonjour Valérie Roumanoff : Donc, voilà on fait cette entrevue parce que j’ai lu votre livre récemment « Et si on arrêtait de crier sont nos enfants » donc qui est sortie en début d’année et je voulais qu’on échange pour discuter du coup de votre profession, de votre blog, parce que vous tenez un blog qui s’appelle drôle de maman. Donc alors comme je le disais tout à l’heure, moi c’est la première fois que je découvre les ouvrages d’une hypnothérapeute est-ce que vous pouvez vous présenter et parler de votre métier?
Valérie Roumanoff : Donc bah oui je suis hypnothérapeute donc ça consiste en fait à recevoir des gens et puis à les aider par le biais de l’hypnose à résoudre toutes sortes de problématiques donc ça peut aller de l’insomnie à l’anxiété en passant par les phobies le stress tous les problèmes un petit peu qu’on peut avoir peuvent être soit solutionné soit amoindri. Ça peut beaucoup s’améliorer grâce à l’hypnose donc l’hypnose, c’est quelque chose de naturel en fait tout le monde connait l’hypnose, mais on ne sait pas qu’on connaît déjà l’hypnose c’est-à-dire que c’est des moments dans la journée où on est… on rêve un petit peu on décroche où on a des moments comme ça peut-être d’absence on a l’impression de ne pas être concentré en fait que des moments d’hypnose donc on vit sans le savoir la journée des tas d’état d’hypnose donc tout le monde sait faire de l’hypnose.
ParentaliteZen : ok très bien effectivement parce que pour beaucoup quand on entend hypnose, la majorité des gens voilà imagine les spectacles justement d’hypnose qu’on verra sur scène où on va essayer d’endormir les gens et leur faire faire des choses contre leur volonté et ça c’est bien expliqué dans la première partie du livre justement l’hypnose c’est un état.
Valérie Roumanoff : C’est exactement le contraire en fait c’est-à-dire que la personne va pouvoir faire les choses qu’elle, elle veut et personne ne peut lui imposer quoi que ce soit ce moment-là c’est vraiment exactement contraire de ce qu’on voit d’habitude dans les médias. L’hypnose ça sert à se reconnecter à soi, ce qu’on veut vraiment à ses besoins, à ses envies, à ce qui est important pour nous et c’est grâce à cette communication entre soi et soi qu’on va pouvoir faire des choses justement intéressantes pour nous.
ParentaliteZen : D’accord. Du coup comme je le disais vous êtes aussi
Valérie Roumanoff : Oui.
ParentaliteZen : Vous y partagez des conseils. Est-ce que vous pouvez en parler?
Valérie Roumanoff : Alors ce blog il a été fait pour justement mais comme vous
ParentaliteZen : Justement moi ce que j’ai bien aimé dans la première partie du livre c’est que il y a vraiment un côté pratique donc la première partie c’est des méthodes qu’on peut mettre en place directement.
Valérie Roumanoff : Oui c’est ça, ouais, un côté très concret en fait.
ParentaliteZen : Ouais ça c’est appréciable et moi j’ai trouvé que sur la deuxième partie voilà il y a aussi un gros travail sur soi qui est proposé.
Valérie Roumanoff : Oui.
ParentaliteZen : Ça fait un peu développement personnel ça je j’ai beaucoup aimé je sais pas si ça se passe comme ça dans votre cabinet habituellement. Est-ce que c’est par rapport est-ce que c’est directement lié à votre expérience en tant qu’hypnothérapeute.
Valérie Roumanoff : Oui oui complètement l’idée c’est que ben par exemple quand on est confronté à la colère d’un enfant on a tendance à soi-même se mettre en colère d’autant que nous-mêmes on est en colère on va avoir du mal à calmer notre enfant si on est soi-même énervé, donc l’idée c’est de pouvoir se dire bon d’accord je peux peut-être aider mon enfant d’une certaine façon, peut-être que je peux m’aider moi aussi et comme ça ce sera plus facile et pour moi et pour mon enfant et pour tout le monde donc c’est vraiment une idée de pouvoir faire globalement toute la famille des choses qui peuvent être intéressantes.
ParentaliteZen : Ouais effectivement. Bon on a tendance à se dire assez c’est eux qui nous poussent à crier mais en fait bon ça peut venir des deux côtés.
Valérie Roumanoff : Mais c’est ça c’est ça moi aussi si on a quelque chose qui nous pousse ça veut dire que on rejette un peu la faute sur eux donc l’idée c’est de se dire bon ben on est si on est deux, un enfant un parent ou trois des enfants, mais quel que soit le nombre qu’on soit chacun sa part de responsabilité et on peut chacun à agir sur soi donc c’est pas l’idée de se sentir coupable en disant c’est ma faute s’il dit se sentir responsable en disant donc je peux faire quelque chose si je suis responsable ça veut dire que je peux agir. C’est dans cette idée. Et donc dans le livre il y a des séances d’hypnose qui sont à télécharger. Y’en a une pour l’enfant pour pouvoir l’aider à calmer ses crises de colère si il en fait et il y en a trois pour les parents de façon à pouvoir les aider justement à être plus apaisée plus tranquille plus de bonne humeur au quotidien.
ParentaliteZen : Ouais effectivement ça c’est vraiment un des côtés originaux du livre c’est qu’il y a comme vous dites quatre séances d’hypnose à télécharger.
Valérie Roumanoff : C’est ça c’est.
ParentaliteZen : Pour en revenir au livre, justement moi je me demandais voilà comment était né ce projet si c’est un truc que vous vouliez faire depuis longtemps et comment ça s’est passé.
Valérie Roumanoff : Alors oui, j’ai toujours voulu écrire des choses pour justement pouvoir communiquer au plus grand nombre c’est ça l’idée donc j’ai commencé par le blog est en fait suite à ce blog j’ai une éditrice qui m’a appelé pour d’abord en fait un premier livre que j’ai écrit qui s’appelle » Le marchand de sable va passer » qui sont des histoires hypnotiques qui sont qui aident l’enfant à s’endormir donc c’est des histoires que le parent lit d’une certaine façon. C’est expliquer dans livre comment on peut faire pour que ce soit plus facile pour que l’enfant se détende et trouve le sommeil et il y a 2 histoires qui permettent selon les âges de l’enfant de l’accompagner dans le sommeil. Et puis suite à ce livre-là cette éditrice, elle a continué à s’intéresser à mon blog est donc a vu qu’il y avait beaucoup d’astuces et elle a pensé que ce serait une bonne idée d’en faire un livre pour pouvoir justement partager au plus grand c’est comme ça que le livre est né.
ParentaliteZen : Ce que je disais tout à l’heure aussi c’était que moi j’ai bien aimé les citations qui sont vraiment parsemées à travers le livre donc voilà qui appuie finalement ce qui est dit et à la fin même également voilà pour permettre une réflexion poussée une compilation de deux citations vraiment pertinentes.
Valérie Roumanoff : C’est ça oui, c’est des citations qui montrent un peu les dommages que peuvent faire les châtiments corporels sur les enfants et comment le fait de vouloir punir ou voilà c’est pas forcément recommandé pour toutes sortes de raisons et pour toutes sortes de conséquences qu’il peut y avoir plus tard donc je m’appuie sur des ouvrages qui ont été écrits par des psychologues et psychiatres aux états unis en France un peu partout qui expliquent comment ces choses se passent.
ParentaliteZen : D’accord et du coup tout à l’heure j’ai découvert, vous m’avez dit qu’il y avait d’autres projets en cours.
Valérie Roumanoff : oui c’est ça donc d’autres livres dont il y en a un qu’il va plus tout traiter de la monoparentalité comment on peut trouver des astuces quand on est papa ou maman solo et puis après un autre livre qui traitera plus là de développement personnel de tout ce qu’on peut faire avec l’hypnose justement avec tout ce que l’hypnose nous apporte sur soi même sans avoir forcément besoin d’aller voir un thérapeute.
ParentaliteZen : OK très bien et du coup ouais on a oublié d’en parler vous êtes mère de2 filles si j’ai bien compris.
Valérie Roumanoff : C’est ça, j’ai 2 enfants, une grande qui a ans et une petite-fille qui a dix mois.
ParentaliteZen : Ah oui d’accord ça fait un sacré écart. OK j’espère que ça se passe bien.
Valérie Roumanoff : Oui tout va bien.
ParentaliteZen : Voilà je pense qu’on a fait le tour, mais j’avais écrit un article un peu pour parler de deux de ce livre et pour partager une astuce parce que bon en fait moi je trouve ce qui est important c’est vraiment le côté concret je pense que ce que veulent les gens c’est voilà ils ont des problèmes au quotidien ils essaient de savoir comment les résoudre de manière concrète. Ils cherchent des choses à appliquer.
Valérie Roumanoff : C’est ça donc l’idée c’est vraiment donner des choses tout à fait concrètes et immédiatement utilisables pour faciliter le quotidien.
ParentaliteZen : Ok très bien bah du coup et j’ai hâte j’ai hâte de voir les livres qui vont arriver.
Valérie Roumanoff : Merci.
ParentaliteZen : Et donc voilà en lien de la vidéo je mettrais pour ceux que ça intéresse le lien vers le livre est vers votre blog.
Valérie Roumanoff : Ok super, très bien.
ParentaliteZen : Merci à vous tous cas pour l’interview.
Valérie Roumanoff : Et bien merci à vous.
ParentaliteZen : Et ouais peut-être que peut-être qu’on se recontactera du coup j’essaierai de suivre l’évolution de vos projets.
Valérie Roumanoff : D’accord, super bien merci beaucoup
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Pour améliorer la communication avec vos enfants, je conseille également le classique de Faber et Mazlish : Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent.
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L’hypnose des parents? vraiment? « Et si on arrêtait de crier sur nos enfants » est un livre de Valérie Roumanoff, hypnothérapeute. Quand je pense à l’hypnose, j’ai en tête l’idée d’un homme sur scène qui endort un spectateur. J’avais vu ça une fois au gala de mon école quand j’étais étudiant et je ne savais pas trop quoi en penser. Maintenant je me rends compte que l’hypnose ne se résume pas à ça. J’ai même une amie en ce moment qui voit une hypnothérapeute pour arrêter de fumer. C’est plus courant qu’on ne le croit. Et si l’hypnose sur les parents pouvait aider à être plus zen?
En fait l’hypnose, c’est un peu comme reprogrammer son cerveau. On est programmé au fur et à mesure de notre enfance, notre éducation, nos expériences. On a des réflexes, des à priori et des manières de réagir qui nous sont propres, qui ont été programmé durant toutes nos années. L’hypnose des parents dans ce livre va surtout nous servir à se ressourcer (repos en 10 minutes équivalent à une sieste plus longue) ou encore retrouver le calme.
En plus de cet article, vous pouvez découvrir d’autres chroniques de livres et des résumés entiers.
L’hypnose est très utilisée en France à des fins médicales. On compte plus de 4277 pratiquants formés par l’Institut Français d’Hypnose (IFH). Vous trouverez plus de détails sur les différentes utilisations dans ce rapport de l’inserm.
Je viens de lire un livre récent de Valérie Roumanoff qui s’appelle « Et si on arrêtait de crier sur nos enfants« . J’ai eu la chance de recevoir un exemplaire par l’éditeur. Ça ne m’empêchera pas de vous donner un avis objectif L’auteure est donc hypnothérapeute. Elle dévoile plusieurs astuces pour ne plus crier sur ces enfants. En complément du livre, vous avez des séances d’hypnose des parents et aussi pour les enfants à télécharger.
Ce que j’ai apprécié dans ce livre c’est qu’il commence par des techniques concrètes pour arrêter de crier sur son enfant, ou plutôt comment désamorcer les colères et/ou garder son calme. J’en donnerais une concrète juste après !
La deuxième partie du livre explique comment on peut améliorer sa relation avec ses enfants. C’est un peu la base, autant traiter le problème à la source On y parle de notre communication avec nos enfants, les émotions qu’on arrive à leur transmettre. On y apprend les comportements qui engendrent les colères et comment les éviter. Le livre analyse aussi les besoins de l’enfant. Tout ça parsemé de séance d’hypnose des parents (et une pour enfant).
Le livre va encore plus loin et prends selon moi une dimension supplémentaire. On attaque ce qui se rapproche du développement personnel. Le but de la dernière partie est de prendre soin de soi et de visualiser nos objectifs (en tant que parents). Valérie Roumanoff nous offre une méthode claire pour se rapprocher de notre idéal qu’on vient de définir
Je vais prendre un des exemples du livre que j’aime bien. C’est une phrase simple à appliquer pour pousser votre enfant à adopter le bon comportement. Tout ça en respectant vos besoins
Exemple : « J’aimerais beaucoup que tu arrêtes de te rouler par terre, mais si tu n’y arrives pas, fais-le quand même ». Et vous terminez votre phrase avec un bisou sur le front avant de quitter la pièce.
Cette technique simple permet :
Et voilà, souvent, l’enfant un peu confus se demandera se qu’il est censé faire… La plupart du temps il s’arrêtera et tentera un autre moyen de communication.
Valérie Roumanoff, hypnothérapeute, propose dans son livre des méthodes pratiques pour ne plus crier sur nos enfants. Le livre est accompagné par des séances d’hynpose des parents qui est vraiment un plus je trouve. Il y a 4 séances, dont une pour calmer son enfant et une pour se ressourcer en moins de 10 minutes ! C’est très original et permet de continuer sur le chemin de la parentalité positive avec une approche différente.
Ce que j’ai apprécié, vous l’avez compris, c’est le côté pratique du livre ! Voici tous les avantages en fait :
Ce que j’ai moins aimé :
J’espère en tout cas que cet avis vous donnera envie d’en découvrir plus. Je proposerais sans doute un résumé du livre comme je l’ai fait pour d’autres. Ça permet toujours à ceux qui n’ont pas le temps de lire (car ils ont 4 enfants par exemple) à apprendre des méthodes pour être plus efficace. Ça reste pour moi une belle découverte. En regardant la biographie de l’auteure, je découvre qu’elle a déjà sorti un autre livre. Ce dernier est plutôt un recueil d’histoires pour aider les petits à s’endormir : « Le marchant de sable va passer« . Il est décrit comme « La méthode infaillible pour endormir vos enfants« . C’est clair que ça attise ma curiosité. Je vous laisse le lien pour juger vous même. J’ai pour ma part un nouveau livre d’histoire pour le rituel du soir avec Clarence. Mais ça, je vous en parlerai très bientôt.
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Cuisiner c’est devenu notre nouveau passe-temps, notre moment de plaisir. Donc pourquoi pas vous? Je sais que ce n’est pas toujours facile de confier une recette à un enfant. Selon son âge, un enfant ne pourra pas forcément faire une recette entière, c’est pourquoi aujourd’hui je propose la recette des SHORTBREAD (la recette selon moi la plus simple du monde) !
En fait, c’est des sablés écossais. Le truc cool c’est qu’on peut vraiment es faire à sa sauce : forme carrée, forme ronde, épais, fin, etc. Dans cette recette pour enfant on va littéralement mettre la main à la pâte.
Donc comme je le disais, c’est pour moi la recette pour enfant idéal. C’est la plus simple du monde. Je vous mets au défi de trouver une recette plus simple : ici, on a besoin de seulement 3 ingrédients.
Pour 8 personnes, il vous faudra :
ET C’EST TOUT
Note : il est important d’avoir du beurre à température ambiante, il se mélangera beaucoup plus facilement. Coupez-le même en petit cube avant de commencer pour que ce soit plus facile. Et pour les quantités, n’hésitez pas à diviser par deux si vous souhaitez juste vous faire un goûter
En plus de n’avoir que 3 ingrédients, il n’y a que 3 étapes de cuisine (sans compter le four) :
– Etape 1 : préchauffer le four à 150°
ET VOILÀ ! Sortez du four, il faut que ce soit encore doré. Puis laisser refroidir, ils vont se durcir à ce moment-là
Il ne reste plus qu’à déguster. En général c’est là que votre enfant a le grand sourire, tout fier de sa création. Chez nous c’est Clarence qui propose de cuisiner. La dernière fois il était super heureux de nous faire ses gâteaux pour qu’on se régale tous ensemble devant un bon film héhé.
J’espère que cette recette pour enfant vous à inspirer. Elle est vraiment à portée de tous donc idéale. N’hésitez pas à me partager en commentaire vos propres recettes pour enfant et idées de cuisine. Si ça vous plaît je pense que je continuerai à publier d’autres recettes car la cuisine avec les enfants c’est vraiment top
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Comment dire Non autrement aux enfants? Aujourd’hui j’ai envie de donner des méthodes et des alternatives concrètes et bienveillantes. Quand j’étais petit, j’ai beaucoup de souvenirs où on me disait « non » pour beaucoup de choses. « Non, ne touche pas à ceci », « Non, on ne peut pas jouer aux jeux vidéo aujourd’hui », « Non, pas de glace ce soir », etc., etc. Je pense que c’est arrivé à beaucoup de monde et avec du recul on comprend facilement toutes ses réponses de parents. Mais, et si on repensait à ce que l’on a vécu ? Ça donne juste l’impression de ne pouvoir rien faire. En tant qu’enfant, on peut avoir le sentiment qu’on a juste le droit d’être sage et de ne pas bouger… bouh, alors qu’on a juste envie de courir partout, de toucher à tout, d’expérimenter et de découvrir !
En fait pour un parent, c’est un peu comme faire pousser une plante. Si à chaque fois que la plante fait pousser une tige dans la mauvaise direction, on la coupe, alors elle ne risque pas de grandir. Alors oui on n’a pas envie de laisser pousser notre plante n’importe comment ! Mais une solution est de la laisser pousser tout en la guidant dans la bonne direction. L’enfant c’est comme une plante qu’on va laisser grandir à son rythme en essayant de lui montrant la bonne voie et pas juste en lui coupant sa liberté quand il va dans le mauvais sens.
Si cet article vous intéresse, vous aimeriez surement découvrir :
À mon avis, il peut facilement nous arriver de dire « non » à un enfant 15 fois par jour (voire plus selon son âge). Imaginez-vous si au bureau, on vous disait « non » à chaque fois. Comment vous vous sentiriez ? Pour un enfant ça doit être au moins aussi dur. Par contre, ça ne veut pas dire qu’on va dire « oui » à tout ! Je le dis souvent sur ce blog, la parentalité positive n’est pas une parentalité permissive. Le but est de tenter une approche gagnant-gagnant : lui montrer la voie sans lui dire « non » de manière impulsive Comment dire Non autrement du coup?
Souvent on se doit d’aller à l’encontre des désirs de nos enfants. Mais dire « non » peut être vécu comme une atteinte à leur autonomie.
Pour ceux qui préfèrent écouter les conseils en vidéo, cliquez juste ici (profitez en pour vous abonner à la chaîne si vous souhaitez en apprendre plus)
Tous ces conseils sont issus de best-seller de Faber & Mazlish : “Écouter pour que les enfants parlent, parler pour que les enfants écoutent”. Ce livre est plein de ressources pour améliorer votre communication avec vos enfants (mais pas que, ça marche aussi entre adultes et pour ma part mes communications sont beaucoup plus saines et bienveillantes depuis que j’ai lu ce livre).
Comment dire non autrement ? Voici une 1ere méthode, au lieu de dire « Non » directement, donner des renseignements permet à l’enfant de comprendre lui-même que ce n’est pas possible. Au lieu de se sentir frustré, il se dira juste de lui-même que ce n’est pas possible ou raisonnable.
Exemple :
Ce qui marche beaucoup c’est l’empathie. En montrant qu’on comprend nos enfants, ils acceptent beaucoup mieux les choses raisonnables.
Exemple :
Souvent, on aimerait dire oui mais on a des contraintes qui ne nous le permettent pas. Ce n’est pas forcément clair dans la tête de nos enfants. Mais ils sont malins, en leur expliquant simplement, ils auront leurs réponses.
Exemple :
Comment dire non, 4ème méthode. Bien sûr quand c’est possible, autant leur dire « oui ». Profitez-en pour lui dire s’il y a une condition. Il sera ravi de terminer son assiette pour aller jouer au foot ou bien de finir ses devoirs pour pouvoir faire un jeu de société avec vous ».
Exemple :
Un enfant n’a pas forcément besoin qu’on lui dise toujours « oui ». Au même titre que pour un adulte, on a avant tout besoin de savoir qu’on est écouté. Et en tant que parent, vous n’avez pas envie d’élever un enfant roi non plus (c’est un peu la grosse crainte des parents qui sont contre la parentalité positive). Donc si vous avez envie de dire oui mais que vous n’êtes pas encore sûr, vous avez tout à fait le droit et la possibilité de vous laisser un temps de réflexion. L’enfant comprendra, du moment que vous écoutez ce qu’il a à dire
Exemple :
Il y a plein de façon de dire « non ». Même si on aimerait faire plaisir à nos enfants en disant toujours « oui », on est souvent obligé d’aller à l’encontre de leurs envies si on écoute aussi nos besoins. Le frein à leurs envies peut être vécu comme un frein à leur autonomie. Par contre en le présentant de la bonne manière et en montrant qu’on les écoute, les enfants peuvent facilement comprendre nos choix et être plus raisonnables (pfiou :))
Si vous avez vous-mêmes des astuces sur comment dire non autrement, n’hésitez pas à les partager en commentaires. Pour plus de conseils, vous avez le livre de Faber & Mazlish dont je parlais plus haut (Pour les plus curieux, je vous mets le lien à la fin de l’article)
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Aujourd’hui on discute avec Marine Duvouldy : auteure du blog « Vers une parentalité positive » et auteure de 2 livres pour les enfants.
Je vous poste directement la vidéo. Elle fait partie de mon défi 30 jours. N’hésitez pas à vous abonner à la chaîne pour suivre les vidéos quotidiennes.
En fin d’article, je vous mets également le lien vers son blog “Vers une parentalité positive” ainsi que ses 2 livres.
Bon visionnage
Lien de la vidéo : https://youtu.be/lfl0P-PcA4w
Chang ParentaliteZen : Bonjour à tous ici Chang du blog ParentaliteZen. Aujourd’hui je vous retrouve pour un interview de Marine Duvouldy, qui est l’auteur du blog « Vers une
Marine Duvouldy : Donc moi je suis éducatrice spécialisée de formation initiale et puis là y’a quatre ans je me suis formé en psychologie positive et aujourd’hui j’allie un petit peu on va dire mes compétences pratiques d’éducatrice à mes connaissances théoriques de la psychologie positive pour accompagner les familles vers la parentalité positive.
Chang ParentalitZen : Ok nickel et du coup, ouais on avait communiqué voilà on avait échangé pas mal et donc il me disait que tu allais sortir deux livres, dont un que j’ai précommandé comme je te disais tout à l’heure.
Marine Duvouldy : Oui eh ben du coup alors je tiens un blog qui s’appelle vers une parentalité positive et c’est grâce à lui entre guillemets qu’une éditrice de chez Larousse m’a contacté pour me proposer l’écriture de deux ouvrages : donc un ouvrage pour aider les enfants à mieux mémoriser et un autre pour les aider à mieux se concentrer et du coup bah ils sortent effectivement aujourd’hui donc le 21 février et voilà à l’intérieur les enfants retrouveront dans chacun des livres 50 activités pour les aider soit à mieux mémoriser soit à mieux se concentrer et c’est des petites activités qui sont assez courtes pas ce que je sais dans le quotidien on n’a pas toujours le temps voilà de consacrer beaucoup de temps justement à ces activités là donc c’est des activités qui sont relativement courtes avec peu de matériel et voilà qu’ils vont permettre aux enfants qu’ils développer leurs compétences
Chang ParentaliteZen : D’accord bah ouais j’essaierais ça et j’en parlerais sur mon blog, de
Marine Duvouldy : Oui, alors bas concernant mon blog en fait c’est un blog sur la parentalité
Chang ParentaliteZen : Alors, on est de retour, après deux problèmes techniques. Du coup on parlait de ton blog.
Marine Duvouldy : Ok du coup effectivement j’ai créé un blog qui s’appelle vers une parentalité positive sur lequel je mets à disposition des familles les parents grands parents tous les intervenants autour de l’enfant même les professionnels je mets à disposition des ressources des articles de blog pour justement sensibiliser les gens au concept de la parentalité positive mettre en avant toutes les dernières recherches qui ont été faites par les neurosciences affectives et puis parler de manière plus générale de l’éducation et de la parentalité positive.
Chang ParentaliteZen : D’accord on parlait également des accompagnements que tu faisais
Marine Duvouldy : Du coup comme je suis éducatrice spécialisée de formation
Chang ParentaliteZen : oui comme on le disait aussi donc ça c’est des accompagnements soit en présentiel du côté d’Annecy, soit des accompagnements via skype pour ceux qui sont dans d’autres régions.
Marine Duvouldy : Voilà c’est ça, pour les personnes qui ne vivent pas sur Annecy je propose
Chang ParentalitZen : ok merci encore une fois. Voilà, sur la vidéo je mettrais tous les liens vers tes deux livres qui sont sortis et vers ton blog.
Marine Duvouldy : ok merci merci !
► Le blog de Marine :
► Son livre » 50 activités bienveillantes pour mieux se concentrer » :
► Son livre « 50 activités bienveillantes pour mieux mémoriser » :
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Bonjour à tous, aujourd’hui je vous annonce mon défi vidéo ! Je vais vous livrer 30 astuces positives et bienveillantes pour améliorer vos relations en famille. Tout ça sera distiller sous forme de 30 vidéos que je posterais chaque jour. Ça fait un moment que j’ai envie de faire des vidéos de manière plus sérieuse (j’en parlais lors de mes résolutions).
Je me dis que c’est comme le sport, si je veux y arriver il faut faire un petit pas de plus chaque jour C’est donc parti pour un marathon de 30 jours. Et les premiers bénéficiaires de ce défi, c’est VOUS !
Du j’ai déjà publier ma première vidéo pour annoncer le début des hostilités ! Et chaque jour je publierais un vidéo supplémentaire. Dans chaque vidéo, je vous donnerai entre autres :
Pour ne pas faire un article par vidéo, je vous propose de suivre le défi vidéo directement sur Youtube.
Je vous dis donc à demain pour la prochaine vidéo ! On fait le plein d’astuces positives et bienveillantes ce mois-ci
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Que penser de la pédagogie Freinet à l’école? Est-ce mieux pour les enfants? Aujourd’hui c’est Alice qui répond : institutrice à Saint-Denis, elle applique la pédagogie Freinet au quotidien avec sa classe.
On peut se poser plusieurs questions :
Toutes les réponses sont en vidéo. Pour ceux qui préfèrent, j’ai fait également un résumé juste en dessous
ParentaliteZen : Est-ce une école spécialisée?
Alice : Non, c’est une école publique, pas spécifiquement Freinet
PZ : La pédagogie Freinet c’est quoi ?
Alice : Déjà il faut se demander qui est Célestin Freinet. Il est diplômé instituteur juste avant la 1ere guerre mondiale.
Après avoir eu son diplôme, il a dû partir au front, il a été blessé et ne pouvait plus exercer son métier comme avant. Les enfants ont donc dû plus actifs pour combler au fait que leur instituteur était moins mobile.
Après la guerre, beaucoup d’alternatives sont apparues dans le but de sensibiliser les nouvelles générations.
Exemple : les conseils de classe pour discuter de nouvelles idées.
PZ : As-tu déjà travaillé sans pédagogie Freinet et quelles différences remarquent-tu?
Alice : En tant que professeur, j’ai l’impression de plus respecter les élèves, respecter leur choix et leur rythme.
Il y a beaucoup plus d’activités libres (peinture, expressions, etc.) et plus seulement des matières scolaires (maths, français, etc.)
Le développement de l’enfant est mis en avant en redonnant une place à tous les moyens d’expression, le théâtre, les activités manuelles.
La régulation des conflits est aussi différente, ce n’est plus forcément l’adulte qui tranche. Les enfants apprennent à s’exprimer “quand tu m’en fais …, je me sens..”
L’instituteur apprend aux enfants à identifier leurs émotions (via la poésie, les chansons, etc.)
La pédagogie Freinet développe surtout leur esprit critique.
PZ : comment savoir si une école applique la pédagogie Freinet?
Alice : Cela n’est pas forcément écrit en gros sur l’école, mais on le sent vite lors de visite, de portes ouvertes
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Regarder la dernière vidéo ici sur les punitions ici.
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