Melissa discute de différents projets web qui, en utilisant soit la satire ou les émotions, expliquent de manières différentes les concepts de racisme ordinaire et systémique, tout en donnant la parole à des gens qui ne l'ont pas souvent.

Melissa discute des recommandations préliminaires de la commission Laurent, en particulier celui de la prise en charge des enfants autochtones au sein de leur communauté d'origine, plutôt que de les déraciner de leur culture en les envoyant dans des familles d'accueil non autochtones.

Pour sa 200e chronique, Melissa explique l'importance de pouvoir discuter d'enjeux politiques, sociaux et culturels touchant les communautés autochtones et surtout de les expliquer au grand public, et ce, grâce à une tribune comme Parole autochtone.

À l'approcher du temps des Fêtes et du Salon du livre des Premières Nations, Melissa répond à une question du public. Pourquoi y a-t-il beaucoup d'auteurs innus au Québec? Bonne lecture!

Melissa revient sur l'importance d'utiliser les mots adéquats pour présenter une situation, en particulier lorsque celle-ci s'inscrit dans un contexte beaucoup plus large qu'un cas individuel.

Melissa parle du mouvement #rockurmocs, où des gens partagent sur les réseaux sociaux des photos d'eux portant leurs mocassins. Ces chaussures sont culturellement très importantes pour les différentes communautés autochtones, qui ont toutes des variations permettant d'en identifier les origines.

En utilisant l'exemple de Bébé Yoda, Melissa explique comment la culture populaire peut rapprocher les communautés autochtones et non autochtones.

Melissa revient surla situation tendue qui perdure sur certains quais en Nouvelle-Écosse. Elle parle entre autres des actes de vandalisme envers des pêcheurs de la communauté Sipekne'katik, qui revendiquent leurs droits traditionnels issus de traités négociés avec les autorités et de décisions juridiques.

Melissa explique les problèmes causés lorsque des gens – et même des politiciens – brandissent un ancêtre autochtone pour légitimer leur point de vue concernant des questions de racisme ou d'enjeux qui touchent les premiers peuples.

Melissa discute de la nomination surprenante de l'ancien policier Ian Lafrenière comme ministre responsable des Affaires autochtones au Québec, lui qui a longtemps été le porte-parole du SPVM, une institution qui a fréquemment été accusée de pratiquer du profilage racial.