Share Rayonne Ta Boîte, avec Nicole Gevrey
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By Nicole Gevrey
The podcast currently has 69 episodes available.
Le mois dernier, j’ai envoyé une newsletter qui s’intitulait « le pire que tu puisses faire, c’est rien ».
Et oui, le pire que tu puisses faire, ce n’est pas de te planter, de perdre qqch, ou même de te sentir jugé.
Le pire que tu puisses faire, c’est de ne rien faire.
Et c’est un message que j’ai envie de crier au monde !!!!
Alors à peine la newsletter envoyée que j’avais envie d’en parler au plus de personne possible,
j’ai donc commencé à prendre des notes pour cet épisode.
Parce que vraiment, le meilleur que je puisse te souhaiter, c’est d’oser faire un pas de plus.
Avant de parler de faire un pas de plus, on va prendre quelques secondes pour voir ce qu’il se passe si on ne fait aucun pas de plus.
On va rentrer illico dans le vif du sujet.
Je t’invite à prendre quelques secondes, là, pour te poser cette question :
si tu te projettes dans 3 ans,
et que ta vie n’a absolument pas changé, si tu es toujours exactement au même endroit, qu’est-ce ça te fait à l’intérieur ?
qu’est-ce ça t’a fait, de t’imaginer être restée sur place pendant toutes ces années ?
C’était quoi l’émotion la plus présente ?
Comment elle se manifeste cette émotion ? tu la sens à quel endroit ? elle est comment ?
Je vais te laisser quelques secondes, pour essayer de repenser à cette émotion là… et puis essayer de remonter jusqu’à la pensée qui a déclenchée cette émotion.
Si tu ne veux pas que ça arrive, de rester précisément là où tu es aujourd’hui,
un petit pas peut tout changer.
En théorie c’est simple :
pour sortir de l’inertie, il te faut activer un changement.
Voilà, ça c’est la théorie.
Par le passé, dans la saison 1 du podcast, on a parlé de la fameuse règle des 4P, du Plus Petit Pas Possible, qui permet en douceur de lancer la spirale positive du changement.
C’est l’épisode 8 de la saison 1, qui s’appelle « La rêgle des 4P pour changer en douceur son quotidien ».
Et on a aussi décortiqué en long en large et en travers la peur du changement, dans l’épisode qui s’appelle justement « dépasser la peur du changement ».
C’est l’épisode 26 de la 1ère saison.
Ce n’est pas toujours facile d’engager un changement, et ça peut même faire très peur.
Alors je t’invite à écouter ou réécouter cet épisode, si tu te reconnais là, dans cette peur du changement.
Ou si tu te sens statique, qu’il t’est difficile d’initier un mouvement.
Ces 2 épisodes peuvent vraiment t’aider.
Et dans l’épisode d’aujourd’hui, je voulais préciser qqch à propos de ce 1er pas.
Je voudrais que, au moment de faire ce premier pas là, tu te souviennes que :
Non pas pour te décourager, ou pour te donner des excuses pour ne pas le faire.
Mais pour que tu saches, qu’après ce 1er pas, ce sera plus facile.
Que ce qui te fait peut-être peur là, ce qui bloque, pour faire ce 1er pas,
ça sera très certainement un très bref moment.
Et que juste derrière, ça sera plus facile.
Déjà parce que, comme dirait Sénèque, le philosphe,
« Nous souffrons plus de l’imagination que de la réalité ».
Et qu’une fois qu’on est passé à l’action, on se rend compte que c’était finalement pas si dur que ça.
Et puis, pour t’aider à visualiser pourquoi ce premier pas, la suite est moins compliqué :
Imagine un système qui est coincé depuis très longtemps.
Un engrenage.
Par exemple, une roue en pierre d’un moulin. Tu sais c’est une roue super lourde ! Elle pèse je ne sais pas combien. et à elle est reliée tout un système, par exemple pour créer de la farine ou de l’huile… bref, pour créer quelque chose.
Quand cette roue est à l’arrêt, le système ne peut pas fonctionner.
Et quand il s’agit de la remettre en mouvement, ça demande beaucoup d’effort !
ça mobilise toutes les forces, pour lancer l’énergie.
En revanche les tours suivant, c’est beaucoup plus facile ! L’énergie est en route et s’auto-alimente.
Il se passe exactement la même chose avec ton vélo.
Le 1er coup de pédale est le plus dur. Ensuite, la succession de maillons de ta chaîne va faciliter les prochains coups de pédale.
Et c’est donc pareil avec tout type de système qui doit se (re)mettre en mouvement.
Comme toi donc.
Et c’est en ça qu’il n’y a pas de petit pas.
Peu importe le pas que tu choisis pour entamer ce changement en douceur, pour suivre la rêgle des 4P par exemple,
peu importe s’il te paraît riquiqui au regard de tout ce qu’il y a ensuite à faire pour réaliser ton projet.
Peu importe, parce que ce premier pas, il vient remettre le système en mouvement !
Et donc l’impact positif de ce pas là, il est immense.
Il vient rendre la suite beaucoup plus facile !
Et l’ancrer dans la réalité aussi.
Parce que ça permet de construire et développer son entreprise dans la « bonne » direction, c’est à dire en route vers là où TOI tu veux aller. Et non pas ce que l’extérieur ou des réponses immédiates pourraient te mener.
Tu vois par exemple, mon chat, quand on joue, si je lui mets le jouet à gauche, il va foncer à gauche, si je lui mets ensuite à droite, biiiiim il va courir à droite, etc. Il va passer de plaisir immédiat en plaisir immédiat, d’action urgente et action urgente, en réponse à ce que quelqu’un d’autre ou qqch d’autre lui présentera sous le nez.
Et quand on démarre dans l’entreprenariat, souvenr ce qu’il se passe, c’est comme mon chat, on a tendance à être un peu fou-fou, à vouloir tout tester, ) se jeter sur les propositions à droite, à gauche, à répondre aux urgences dictées par d’autres.
Comme tu peux l’imaginer, au bout de quelques minutes, mon chat, il est épuisé, il s’est un peu amusé, mais il n’a pas vraiment construit une stratégie pour remplir sa gamelle, et pourtant il file sur le fauteuil se mettre papattes en rond pour un gros roupillon.
Alors nous, comme on veut rayonner notre boîte sur le long terme, alors on va veiller à ne pas s’épuiser et à sauter de droite à gauche sans construire sur le long terme qqch qui NOUS convienne.
C’est celui qui crée le mouvement, qui change déjà tout.
ça peut être en douceur, selon le type de pas que tu as choisi de faire.
Mais rien que ça, tu auras fait le plus dur :
Tu auras décoincé ce rouage.
Tu auras mis le premier coup de pédale sur ton vélo.
Tu te seras mis en mouvement, et tu pourras ensuite t’appuyer sur cette énergie qui en découle pour que ce mouvement perdure
C’est la peur qui te maintient dans cette inertie là ?
Mais… que ferait l’amour ?
Comme on l’avait vu dans l’épisode 4 de la 1ère saison du podcast :
L’amour chasse la peur.
Alors je t’invite à sentir très fort ce que ferait l’amour, au moment de faire ce pas là,
en direction de ce qui te fait pétiller le cœur.
Et on va reprendre ce qu’on a vu au tout début de cet épisode, maintenant qu’on a quelques éléments supplémentaires.
Je t’invite donc à prendre quelques secondes, là, pour te poser cette question :
Quelle est l’émotion la plus présente en toi
si tu te projettes dans 10 ans, et que ta vie n’a absolument pas changé, si tu es toujours exactement au même endroit, qu’est-ce ça te fait à l’intérieur ?
(quelques secondes de silence pour laisser répondre intérieurement)
puis : qu’est-ce ça t’a fait, de t’imaginer être restée sur place pendant toutes ces années ?
C’était quoi l’émotion la plus présente ?
Je vais te laisser quelques secondes, pour essayer de repenser à cette émotion là… et puis essayer de remonter jusqu’à la pensée qui a déclenchée cette émotion.
(quelques secondes de silence pour laisser répondre intérieurement)
Et je vais terminer par quelques mots écris par Lise Bourbeau, dans son livre « Ecoute ton corps » :
Un désir devient un but au moment où tu poses une quelconque action pour réaliser ce désir. Si aucune action n’est réalisée pour y arriver, tout reste au niveau du rêve. Un rêve deviendra réalité si tu en fais un but.
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions.
Pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Bon, ça fait plusieurs épisodes que j’évoque la vision et que je te dis combien c’est important…
il était temps de lui consacrer un épisode complet !
La vision, c’est un exercice puissant, pour travailler sur le développement de son entreprise,
et qui a beaucoup d’impact sur notre développement personnel aussi, pour se donner la possibilité de se créer une vie qui nous convient.
C’est un exercice que j’utilise pas mal en coaching, selon les besoins de mes coachées bien sûr.
Que ce soit pendant les accompagnements ou les séjours inspirants.
Et j’ai encore vu la puissance du changement que ça peut provoquer chez une de mes coachées il y a quelques semaines, c’est juste ouf ce que ça peut provoquer comme prise de conscience et les barrières que ça peut aider à péter.
Alors j’avais super envie de te partager cet outil incroyable sans plus tarder !!!
Allez c’est parti, on se retrouve juste après l’intro 🙂
Bien alors, à force que tu entendes que c’est super important d’avoir et de travailler sa vision, tu dois avoir hâte qu’on rentre dans le vif du sujet.
Alors, d’abord,
C’est une image mentale de ce que l’on se propose de vivre dans quelques temps.
Une idée qui vibre fort en toi, un projet qui va te servir de boussole, un lifestyle en quelque sorte, la vie que tu te souhaites.
C’est une belle et grande ambition, que tu vas implémenter au fur et à mesure.
Ça se fait dans le temps, step by step, petit pas par petit pas.
Peut-être que ce n’est pas encore très clair pour toi cette vision, que tu n’as pas encore totalement affiné, ou même que tu n’es parvenu à te projeter au delà de l’heure qui vient.
Ne t’en fais pas, c’est pas parce que ça n’a pas été possible jusque là, que ça ne sera pas possible très bientôt. Et cet épisode est d’ailleurs justement là pour ça.
Je le vois aussi comme un cheminement qui s’affiner au fur et à mesure qu’on expérimente, qu’on se connaît aussi
Ne pas avoir de vision, c’est comme de monter dans ta voiture, de la démarrer, de passer la 1ère, d’appuyer sur la pédale d’accélérateur…. et goooooo !!!
Alors t’es sûrement parti pour un beau voyage, tu vas voir de jolis paysages, ressentir des jolis émotions, par moments.
Mais si tu n’as aucune idée de la direction à prendre, tu risques fort de galérer aux intersections pour choisir d’aller à droite ou à gauche,
tu risques de faire des détours, … pour arriver qq part… mais peut-être en Norvège alors que t’as chargé ta bouée et ton maillot de bain dans le coffre.
Et perdre beaucoup de temps et d’énergie.
Ou alors, t’as l’option GPS !
Qui va t’emmener dans la direction de la destination que tu as programmé !
T’as l’option petits chemins sur ton GPS, t’es pas obligée de prendre l’autoroute si t’as envie de longer la mer… mais t’es sûre que tu vas dans la bonne direction.
C’est pourquoi c’est si important de
et le mieux si tu ne l’as pas fait, c’est maintenant.
J’ai bien conscience que quand on démarre notre entreprise, on a surtout envie d’avoir des stratégies concrètes, des outils,
que c’est rassurant d’avoir des plans en étapes que d’autres pensent pour nous, etc.
Pour autant, l’un des éléments qui va le plus vous apporter dans votre business, c’est cette fameuse vision.
Alors je ne te cache pas que c’est pas évident.
Ça demande de se connaître un minimum,
de regarder plus loin que ses peurs,
d’oser voir l’impact qu’on peut avoir sur les autres, sur le monde.
Mais tu peux la travailler petit à petit.
Tu n’es pas obligée d’avoir une idée super limpide tout de suite.
Et je dois préciser tout de suite que travailler sa vision d’entreprise, c’est juste de savoir OU aller.
Pas COMMENT y aller !!!!
D’ailleurs, si tu focalises sur le comment, y’a fort à parier que le mental, l’égo, donc les peurs, les croyances, etc. vont venir saboter, égratigner, réduire ta vision.
Donc on va se concentrer sur OU aller, c’est à dire se demander :
« qu’est-ce que veux vivre et offrir au monde, à qui, de quelle manière, qu’est-ce que je ressens à ce moment là, je suis entourée de qui, on fait quoi ensemble, etc. ».
En faisant une projection dans l’avenir.
Bon, maintenant que tu commences à avoir une petite idée de ce qu’est la vision,
et des conséquences, de ne pas en avoir,
passons aux réjouissances.
la niak de dépasser les difficultés, de voir plus loin que les galères du jour, d’avancer malgré les peurs.
Parce que ça permet de construire et développer son entreprise dans la « bonne » direction, c’est à dire en route vers là où TOI tu veux aller. Et non pas ce que l’extérieur ou des réponses immédiates pourraient te mener.
Tu vois par exemple, mon chat, quand on joue, si je lui mets le jouet à gauche, il va foncer à gauche, si je lui mets ensuite à droite, biiiiim il va courir à droite, etc. Il va passer de plaisir immédiat en plaisir immédiat, d’action urgente et action urgente, en réponse à ce que quelqu’un d’autre ou qqch d’autre lui présentera sous le nez.
Et quand on démarre dans l’entreprenariat, souvenr ce qu’il se passe, c’est comme mon chat, on a tendance à être un peu fou-fou, à vouloir tout tester, ) se jeter sur les propositions à droite, à gauche, à répondre aux urgences dictées par d’autres.
Comme tu peux l’imaginer, au bout de quelques minutes, mon chat, il est épuisé, il s’est un peu amusé, mais il n’a pas vraiment construit une stratégie pour remplir sa gamelle, et pourtant il file sur le fauteuil se mettre papattes en rond pour un gros roupillon.
Alors nous, comme on veut rayonner notre boîte sur le long terme, alors on va veiller à ne pas s’épuiser et à sauter de droite à gauche sans construire sur le long terme qqch qui NOUS convienne.
comme on l’a vu dans l’épisode 6 qui s’intitule « Comment prendre des décisions facilement ? »
De connaître ses priorités, de les avoir clairement en tête, cela permet de prendre des décisions dans cette direction, et donc d’avoir conscience à quoi tu dis « oui » (à ta vision donc) quand par exemple tu dois dire « non » à qqch, pour pouvoir t’en rapprocher.
Moralement, c’est aussi un sacré appui, de ne pas tourner en rond 150 ans à chaque choix délicat à faire.
C’est donc un outil de filtrage et de prise de décision.
ex : pas un client idéal mais qui t’apporte de l’argent qui va te permettre d’investir pour ta vision
de savoir ce qui va réellement te faire avancer vers là où tu veux, ce qui va avoir un réel impact pour t’en rapprocher, le reste aura une bien moindre importance…
Un gain de temps et d’énergie au quotidien, parce qu’on a les yeux rivés sur le bout du tunnel, et notre cerveau n’a pas à se préoccuper de toooouuuut ce qu’il y a sur les bas-côtés et qui n’a pas ou trop peu d’intérêt pour nous.
Et si tu fais partie de la famille « grande sensibilité », comme la plupart de mes clientes et des personnes qui écoutent ce podcast, alors ça, c’est pas rien hein !
Parce qu’on a quand même une sacré faculté à être réceptif à tout, à détecter tous les éléments sur les bas côtés et à être hyperstimulés par ce qui nous entoure.
Mais aussi, un gain de temps et d’énergie au long terme,
en mettant la bonne adresse dans le GPS, ça évite pas mal de détours, ça évite d’aller visiter Lille ou Brest pour arriver à Toulouse quoi.
Ça aussi, si tu as une belle et grande sensibilité, c’est sans doute quelque chose qui a beaucoup d’importance pour toi, de trouver du sens à ce que tu fais.
Tu sais que, même si c’est un tout petit riquiqui pas, il est raccroché à qqch de beaaauuucooouuup plus grand et qui s’appuie sur tes valeurs, tes désirs, tes aspirations, tes besoins, ta vie rêvée.
=> le bad-mood du dimanche soir ou du lundi matin n’existe plus !
Tu as hâte d’être au lundi et de bosser sur ce qui t’anime !!!
Ça, c’est vraiment un énorme changement !!!
en prendre conscience du pouvoir de chaque petit pas que tu fais, parce que ça fait sens, tu sais où ça te mène.
Même dans les moments difficiles donc. Même quand ça n’avance pas aussi vite que tu voudrais, même quand t’as trouvé un panneau « route barrée, tu sais dans quelle direction repartir pour arriver à la destination finale.
pour s’assurer que ce que l’on se propose de vivre au quotidien, les objectifs que l’on se fixe sont cohérents avec ce que l’on veut vivre vraiment au fond de soi.
Exemple : sans vision, tu peux sans t’en rendre compte t’enfermer dans une cage dorée, te planter dans tes objectifs.
C’est ce qu’il s’est passé pour une de mes coachées, qui s’était embarquée dans une spirale de course aux objectifs entrepreneuriaux – alors qu’en travaillant sa vision, elle a pris conscience que ce qu’elle souhaitait vraiment au fond d’elle c »était loin de ça …
Et si elle n’avait pas travaillé sa vision, elle aurait continué à courir dans la « mauvaise » direction au regard de ses réels besoins et ce qu’elle avait vraiment envie de vivre.
et ça va créer un lien très fort avec la communauté qui croit en ta vision,
ça fédère autour d’une vision commune, ça donne davantage de sens et une profondeur dans ta communication, ceux qui adhèrent à ton projet , à ta vision, à ta façon de voir la vie,
alors ça va créer une connexion avec eux.
Et puis ça « éjecte » aussi ceux qui ne la partagent pas, qui de toute façon ne continueront pas le chemin à tes côtés.
Donc voilà, tu l’auras compris je crois,
je suis convaincue de l’importance de cette fameuse vision,
à tous points de vue, on y gagne !
L’objectif, c’est d’avoir une clarté limpide sur ce que tu veux vivre, où, avec qui, tu travailles sur quoi, quand, comment. etc.
On va dire qu’il y a deux axes :
Par exemple, une photographe pourrait avoir comme vision d’entreprise, d’offrir aux enfants un souvenir de leurs racines, qu’il puissent s’appuyer sur cette réalité quand ils grandiront.
Une Community manager pourrait avoir comme vision de participer à un monde meilleur en permettant à des entreprises éco-responsables de se faire connaître davantage.
Une kiné pourrait avoir comme vision d’aider à égayer ce monde grâce aux soins qu’elle apporte chaque jour à ses patient, parce que moins les gens souffrent, et plus ils peuvent ressentir et partager de la joie. Ou alors d’avoir comme vision de permettre à d’autres de réaliser leurs rêves.
Je pense par exemple à un judoka de haut niveau qui est en course pour les JO, mais qui a eu un très grave accident de scooter il y a quelques mois. Il a à la fois rencontrer un chirurgien qui lui a fait comprendre que sa carrière était terminé… et il a à la fois été encouragé par des kinés, entre autre, qui avaient sans doute une vision très claire de pourquoi ils le levaient chaque matin : pour permettre à des talents comme Cyril Maret de continuer à s’exprimer, et donner leur maximum pour que des personnes comme lui puissent réaliser leur rêve.
Et si aujourd’hui Cyril Maret, il est à nouveau sur les tatamis à se préparer pour le JO, c’est parce qu’il a rencontré des gens sur sa route qui y croyaient, qui se sont donnés pour l’aider. Et que lui même, sa vision était tellement limpide, que quand on lui a dit « Monsieur, vous ne pourrez plus jamais combattre », il ne s’est pas arrêté là, et il a remonté ses manches.
Cette vision, elle te ressemble.
Tu n’as pas besoin de vouloir sauver le monde pour que cette vision soit suffisamment forte pour t’aider chaque jour à avancer vers elle.
Mais elle doit te prendre aux tripes.
Par exemple, ta vision d’entreprise, ça peut-être : je veux gagner suffisamment d’argent pour que mes parents n’aient plus à trimer au travail, que je puisse les aider et les installer confortablement dans une maison super cocoon.
Ça peut être aussi de te faire un tour du monde dans 5 ans pour découvrir des cultures différentes et t’en enrichir et montrer au monde combien chacune a sa place et est inspirante.
C’est important qu’elle soit ambitieuse, pour te porter suffisamment haut.
Si elle n’est pas suffisamment ambitieuse pour te foutre un peu les chocottes (un peu hein, pas te paralyser de peur), alors c’est que ce n’est pas une vision, mais peut-être un petit objectif.
Une vision, elle nous élève.
C’est une succession d’étapes une vision, c’est loin !
Et donc, quand tu travailles ta vision, garde en tête qu’elle est à la fois tournée vers toi, et vers les autres.
L’objectif finalement, c’est de trouver le point qui relie les deux.
Par exemple, ma vision, c’est de créer ce que j’appelle ma maison d’artiste,
c’est un lieu ressourçant et inspirant,
pensé pour se reconnecter, se former, créer, s’autoriser, lâcher le mental et revenir au cœur …
qui permettra à la fois de s’offrir des temps pour soi, des temps de coaching, des temps bien-être, des temps pour apprendre… selon les besoins. Qui réunira des espaces d’hébergements, de convivialité, de travail, de découverte, etc.
Ma vision, elle est tellement claire, que je peux te dessiner le lieu, je sais qui y viendra, dans quelles conditions, qui m’accompagne au quotidien pour la faire vivre, j’entends déjà le chant des oiseaux et le son de la rivière.
Je la vibre très très fort en moi, et ça me donne la niak chaque jour de m’en rapprocher.
C’est un projet ambitieux, qui me demande pas mal de péter des barrières, notamment à propos de l’argent, et c’est aussi en ça, et en plein d’autres points, que c’est un puissant outil de développement personnel. Parce que je n’aurais jamais autant avancé sur moi, si je ne sentais pas à quel point c’est nécessaire pour donner vie à ce rêve.
Et si j’ai pensé cet espace de travail de la sorte, c’est aussi pour qu’il corresponde pleinement à ma vision pour moi, mes besoins d’être au plus près de la nature, mon envie que mes enfants grandissent au cœur d’un environnement inspirant et bienveillant, de travailler en famille, et l’envie de donner vie à un rêve d’enfant.
L’un a nourrit l’autre, ma vision pour moi, et celle pour les autres.
Pour l’affiner, j’ai fait des allers-retours.
Par exemple, quand j’imaginais par exemple mon rythme de vie, je me rendais compte que ce qui pouvait être le mieux pour mes clients, ne l’était pas pour mon équilibre perso,
donc ces allers-retours m’ont permis d’affiner.
Ah et du coup, ça me permet aussi de te dire que :
Par exemple, pour ma maison d’artiste,
je ne l’imaginais pas forcément comme ça y’a quelques années, mais d’avoir rencontré mon chéri, d’en avoir pleinement discuté avec lui, finalement il sera pleinement intégré à ce projet. Et d’en discuter, il m’aide aussi à voir des points auxquels je n’avais pas pensé.
Et de faire des expériences avec mes coachées, ça m’aide à voir les outils les plus puissants que je pourrais intégrer, etc.
Donc voilà, c’est bien de la retravailler de temps en temps notre vision.
Pour s’assurer qu’elle est toujours alignée avec soi,
et la transformation que l’on veut permettre autour de nous.
Et de passer à côté de super opportunités, qui se présenteraient sous une forme à laquelle tu n’as pas pensé.
D’où l’importance de se demander régulièrement si on est toujours aligné avec sa vision, si on peut l’affiner…
Et si un projet se présente ⇒ est-ce qu’il va me rapprocher de ma vision ? Oui/Non
Si non, question ouverte : COMMENT il peut m’aider à me rapprocher de ma vision ?
S’il n’y a pas de lien ou de raccourcis à faire, alors ce projet n’est sûrement pas une réelle opportunité pour toi.
Rien de plus simple dans le concept, puisque tu vas jouer…
Tu sais comme les enfants, on va jouer à « on fait comme si… » ou « on dirait que t’es… »
Si c’est compliqué d’imaginer la vision d’entreprise,
et si tu écoutes ce podcast, y’a fort à parier que ton entreprise et toi êtes fortement liés….
alors pars de toi.
Imagine toi dans 3 ans par exemple, ou plus ou moins loin selon ce qui est confort pour toi.
de tes émotions, comment tu veux te sentir,
qui tu vois dans ta journée, comment est rythmée ta journée ?
tu es avec qui, tu es où, tu le fais quoi, tu te sens comment ?
Si le cerveau voit qqch comme étant déjà réalisé, il pense que tu l’as déjà fait,
et donc notre cerveau reptilien, son rôle, c’est de veiller à ce que l’on ne sorte pas trop de notre zone de connu, pour être sûre que
comme il ne fait pas la différence entre l’imaginaire et la réalité, il croit que tu as déjà fait ce chemin… alors il est pas contre du tout quand tu vas vouloir y aller dans la réalité.
D’avoir éclaircit ça, ça change la nature de nos pensées.
On réagit plus tout à fait comme nous au moment présent, mais comme la personne qu’on a envie d’être.
C’est pour ça que, la vision, c’est finalement jouer à « on dirait que tu es… »
Bon alors, la vision, c’est pas juste faire bosser l’imagination et se poser sur le canapé en attendant que ça arrive hein !!!
Le seul moyen d’y arriver, de la faire vivre, c’est de passer à l’action… et donc de savoir quelles actions, par lesquelles commencer, etc.
Ça, ça va s’éclaircir une fois que tu auras ta vision.
C’est important de prendre les choses dans cet ordre :
la vision… et de cette vision, on découle les objectifs, les actions qui permettront d’y arriver.
Sinon, c’est comme pour le chaton ou le gps sans destination, tu risques fort de ne pas arriver à une vie que tu souhaites, et d’être complètement KO à force de tourner en rond.
Bon, je pourrais en parler encore des heures…
Mais là, ce qui compte, ce qui aura vraiment de l’impact dans ta vie, c’est que tu te mettes au boulot, et que tu la travailles cette vision,
ou que tu l’affines si t’as déjà une petite ou grande idée de là où tu veux aller.
Et pour ça, tu peux jouer à « on dirait que… »
un workbook, entièrement consacré à cette fameuse vision, que j’ai créé spécialement pour toi en vue de cet épisode,
et dans lequel je te propose différents ateliers pour t’aider, pour débloquer peut-être, pour pousser ton inspiration.
Et surtout pour éviter que ce soit le mental qui cherche des réponses, qu’elle vienne du cœur ta vision, de tes tripes !!!
Parce que c’est ça qui va te donner vraiment vraiment vraiment envie d’y aller !!!
De te lever tous les matins !!!
Et de rayonner fooooort !!!!
Encore une fois, je t’encourage à travailler ta vision,
et si tu as besoin de quelques piste pour le faire,
je t’invite vivement à télécharger le workbook,
qui détaille les étapes pour y parvenir et les différents ateliers / exercices que tu peux faire pour rendre ce travail ludique.
Et puis, dans ce worbook, je te partage également mes points de vigilance pour te donner toutes les chances d’aller vers cette vision.
J’ai choisi de le partager par écrit,
d’une part pour ne pas faire un épisode de 4h
mais aussi parce que je voudrais t’inviter d’abord à travailler sur cette vision, avant de découvrir ces points de vigilance… histoire que ton cerveau ne commence pas l’exercice en voyant tout petit petit petit, au cas où …
(…)
Bref, je vais essayer de te le glisser partout où c’est possible pour être sûre que tu ne passes pas à côté.
Parce qu’un des éléments de ma vision, c’est de permettre à un maximum de monde d’avoir conscience de sa vision et entamer un chemin dans cette direction.
Je suis convaincue que c’est là que se trouver le merveilleux équilibre professionnel et personnel qui mène à l’épanouissement.
Et c’est tout ce que je te souhaite !!!
Alors bonne vision !!!
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions.
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Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
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Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
« En une respiration tu peux changer le monde » 💛
Cindy nous partage son changement de vie, de salariée « bien rangée » à auto-entrepreneuse qui déchire 🎉
et les étapes qui lui permettent aujourd’hui d’être en équilibre dans les différentes sphères de sa vie personnelle, familiale et professionnelle 🤗
Cindy Wogenstahl est photographe en Alsace.
Et elle distille de l’amour, de la magie et de la folie autour d’elle,
pour changer le monde, une respiration à la fois 💗
(Cette interview inclut pas mal de bonne humeur… Et quelques larmes… La vie à l’état brut 🤗)
Pour profiter de l’univers plein d’amour de Cindy :
https://cindywogenstahl.fr/
@cindywogenstahlphotographe (Instagram)
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Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Tu te souviens de ce jeu pour enfant, la boîte à formes, dans lequel faire rentrer des formes rondes, carrées, étoiles, .. dans des trous découpés aux mêmes formes.
Dans ce jeu, l’enfant cherche à mettre la forme ronde dans le trou rond…
et il essaie encore et encore et encore, il la fait glisser, la tourne encore un peu, ça frictionne… ça ne veut pas rentrer… c’est frustrant, rageant.
La forme reste encore au bord, il la fait glisser glisser…
et tout d’un coup, hop, ça rentre d’un coup.
C’est de ce petit pas de côté dont on va parler,
celui qui fait toute la différence entre les heures, les jours, à tourner autour du trou… et qui fait que tout d’un coup bim, ça s’emboîte parfaitement !!!
La forme n’a pas changé, le trou n’a pas changé. C’est la manière de positionner la forme dans le trou qui a permis l’emboîtement.
Et j’ai donc à cœur de te parler de ça, de comment on peut utiliser des moyens que l’on connaît bien, qu’on tient entre nos mains depuis un moment, qui nous font galérer depuis un moment, pour qu’ils s’emboîtent tout d’un coup parfaitement dans notre alignement.
On a une chance incroyable à cette période d’avoir accès à tout un tas d’infos de qualité, parfois gratuites, ou dans le cadre de formations,
des infos sur tout un tas de sujets, et notamment sur l’entreprenariat, le sujet qui nous anime tous ici.
Alors on le sait, ce qu’il « faudrait » faire,
on les connaît les stratégies qui fonctionnent, suffit de taper sur google et y’a une multitude de contenus accessibles,
on sait de quoi a besoin notre business, quelque soit le stade de développement de notre entreprise…
Mais on a beau savoir tout ça, c’est souvent compliqué de les transposer à notre réalité.
De les intégrer
Alors parfois, c’est parce qu’elles ne sont pas adaptées.
D’autres fois, c’est parce qu’on a tout un tas de croyances, de peurs, de blocages qui ne nous permettent pas encore d’utiliser ces éléments et d’en tirer partie.
Et puis, ce que je vois chez mes clientes la plupart du temps,
c’est que, on a beau savoir ce qu’il FAUDRAIT faire,
on a beau connaître le MOYEN de passer à l’étape suivante ou supérieure,
et bien ça ne fait pas sens.
On ne trouve pas comment emboîter cette forme que l’on a dans la main, dans le trou, le manque, la faille, qu’on a repéré dans notre entreprise.
Et c’est comme pour le jeu de la boîte à formes,
il n’est pas possible de faire rentrer la forme dans le trou, tant que ce n’est pas aligné…..
Tant que ça ne fait pas sens, pour créer cet alignement.
Juste un petit pas de côté.
Juste un tout petit mouvement, du côté du cœur évidemment.
Pour que l’emboîtement soit possible. Pour que l’alignement se fasse.
L’alignement, c’est faire siens les éléments,
pour que ça soit cohérent avec qui l’on est, que ça fasse sens pour nous.
Et ça peut tout changer ça !!!
Pour ta stratégie d’entreprise,
quand tout est aligné, le pourquoi, le comment, le quoi, y’a pas plus puissant que cette cohérence.
Mais aussi pour toi, personnellement. Parce que ça permet de tellement d’énergie et de sérénité.
Je ne me souviens pas trop de mes cours de physiques, mais quand je pense à cette question d’alignement, je m’imagine par exemple sur mon vélo. Si tout est aligné, je vais pouvoir aller vite.
Mais si par exemple mon patin de frein il est pas très bien aligné, et il vient frotter ma roue, bah ça vient créer un frottement… et donc ça devient plus pénible de pédaler.
Si tu te replonges dans tes cours de physiques, tu vas te rappeler combien cette force de frottement est puissante.
Et ce frottement là, c’est un putain de frein.
Donc ce qu’on va chercher, c’est à éradiquer un maximum de frottements, pour que ce soit le moins pénible possible, et que l’alignement se fasse au fur et à mesure des ajustements.
Pour que ce soit plus clair pour toi sur le lien entre la quête de sens, les moyens dont on dispose et les manières dont on peut les utiliser, je vais te partager des exemples extraits de mes accompagnements ou de mon parcours personnels.
ça sera sûrement plus facile de voir le lien avec le fait de rayonner sa boîte qu’une théorie sur la force de frottement.
Une de mes cliente.
L’objectif de notre collaboration = l’aider à gagner en visibilité, avec sens et fluidité.
Elle connaît les stratégies pour atteindre son objectif, elle est bien renseignée sur le sujet… Mais ça bloque, impossible pour elle de mettre ça en place, ça crée trop de nœuds à l’intérieur.
On repart donc de la base, des fondations,… de ce qui fait sens pour elle, à qui elle s’adresse, qui elle veut aider, pourquoi, comment, etc.
Et finalement, elle en vient à créer un super outil à destination de sa cliente idéale qui l’aidera à gagner en visibilité.
Elle repart de notre échange reboostée, enthousiaste, et je sens en elle cette fluidité caractéristique qu’un alignement vient de se produire.
Juste après notre rendez-vous, elle discute avec son conjoint, également entrepreneur, et également très au fait des diverses stratégies marketing.
Elle lui explique toute excitée de ses nouvelles idées. Et son conjoint lui répond « oui bah c’est un lead-magnet » …
En effet, ce super outil à destination de sa cliente qui allait l’aider à atteindre son objectif, c’était bel et bien un lead-magnet…. ce que son conjoint lui disait de faire depuis des mois.
Sauf que, avec sa personnalité, ses valeurs, etc. , son regard sur les « lead magnet » et les stratégies qui en découlent, ça créait beaucoup de frictions, ce n’était pas envisageable pour elle de faire ça…
On n’a rien changé à la forme, c’était toujours un lead-magnet.
Alors pourquoi, d’un coup d’un seul, cette forme là a pu s’imbriquer, s’aligner en elle ?
Parce qu’elle y a trouvé du sens.
En partant des besoins de sa cliente, de ce qu’elle pouvait lui offrir pour y répondre, et qui soit ok pour elle en terme de temps à y consacrer, moyen de communication qui lui convenait, etc., tout d’un coup ça faisait sens.
Et c’est ça le petit pas de côté vers le cœur.
C’est celui qui permet d’emboîter une forme sans résistance dans votre alignement.
Ça c’est une magnifique caractéristique pour savoir si on est alignés : ça met en joie, ça fait envie.
Dans le travail que l’on a fait avec ma client, on n’a pas réinventé la poudre !
On a juste fait ce petit pas de côté qui permettait de trouver du sens POUR ELLE.
En alignant LE MOYEN avec qui elle est, sa personnalité, son histoire, sa cliente cible, sa singularité, etc.
Si tu me suis sur Instagram ou si tu reçois mes newsletters, tu as sûrement vu passer qu’il y a quelques semaines, j’étais justement le cul entre deux chaises entre le MOYEN et la MANIERE.
Je vivais exactement ce que mes clientes vivent : en plein dans la friction entre « je sais qu’il faudrait que je fasse ça » et « mais c’est pas moi de faire ça, je ne m’y retrouve pas, c’est pas mes valeurs, etc. ».
ça m’a pris beaucoup d’énergie, et pas mal d’agacement, à sentir la forme idéale au bout de mes doigts, mais à refuser qu’elle s’emboîte.
Par exemple, je savais bien que pour que je puisse aider des entrepreneuses à rayonner leur boîte, il était nécessaire qu’elles me découvrent, que je gagne en visibilité, et qu’elles sentent ce que je pouvais leur apporter.
MAIS les stratégies que tout le monde autour de moi semblaient trouver absolument parfaites pour atteindre ces objectifs, je m’y refusais. Comme mes clientes le font avant de faire ce petit pas de côté.
Je me refusais de faire des ebooks « putaclics » juste pour ramener du monde dans ma mailing list. Je n’avais pas envie de penser stratégie, ça me renvoyait à « manipulation », « triche », « manque d’authenticité », etc.
Exactement comme la plupart de mes clients quoi…
Enfin j’ai essayé, après tout… mais je ne m’y retrouvais pas du tout. Je ne me sentais pas de faire ça, j’avais l’impression d’être malhonnête.
Une de mes valeurs les plus fortes, c’est la liberté, l’indépendance.
Et faire ces ebooks rapides tels que je le pensais au départ, ça me mettait en colère parce que ça venait en incohérence avec cette valeur là.
J’avais l’impression qu’avec ces ebooks à créer comme je le voyais partout chez ceux qui utilisent cette stratégie, je ne pouvais donner QUE du poisson à manger à ceux qui le téléchargeraient….
Et moi, ce qui compte pour moi, vraiment, très fortement, c’est que les personnes qui croisent ma route apprennent à pêcher. Qu’elles puissent, à tout moment, dans d’autres circonstances, transposer ce qu’elles ont appris pour s’en sortir par elles-mêmes.
Et donc gagner en indépendance.
En prenant conscience de ça, de la transformation que je veux faire vivre à ma communauté, ET la manière avec laquelle je veux leur faire vivre cette transformation,
C’est vraiment pas grand chose !!!
C’est juste changer la forme de mes ressources gratuites, en permettant aux personnes de s’auto-coacher avec mes ressources. D’aller au delà du partage d’information ou du contenu de valeur.
C’est de leur permettre de sentir en elles ont la possibilité de faire
Alors là, j’ai envie et plaisir de les récréer (bon c’est en cours hein) !
Parce que ça fait sens pour moi, c’est aligné avec qui je suis, avec ce que je peux apporter, avec mes valeurs, avec
Bon, ce qui est chiant, c’est que comme je n’avais pas encore trouvé un accompagnement pour m’aider à faire ce pas de côté, ça m’a pris beaucoup de temps, et ça m’a causé pas mal de maux de ventre.
Je ne dis pas que c’est facile quand on est accompagné.
Mais il y a qq1 à tes côtés, qui t’aide à voir qu’il suffit juste d’un petit pas de côté… et à trouver ce sens qui va te permettre de le faire avec confiance, plaisir et envie.
Donc pour résumer,
avec cet épisode, je voulais t’inviter à prendre conscience de ces éléments qui font encore frictions, qui ne sont pas encore alignées avec toi,
par exemple que tu te sentes agacée en faisant qqch, ou découragée, ou frustrée, ou bloquée.
Et ça, tu peux totalement l’adapter la MANIERE.
Tu peux la modeler à qui tu es,
y mettre ta personnalité,
le façonner un peu
Et ça, c’est là que se passe toute la magie !!!
La magie de l’alignement, qui permet de rayonner sa boîte.
Et va te permettre de révéler ta magnifique singularité,
offrir une vision nouvelle,
une approche innovante,
des outils différents,
et donc une réponse qui se démarque.
Unique.
Et qui soit également alignée avec les besoins de ta cliente cible.
Voilà donc, c’est bon pour toi, pour que ça rayonne intérieurement grâce à cet alignement,
mais c’est aussi bon pour tes clients, tes prospects, qu’ils puissent ainsi découvrir ce que tu as à leur offrir pour répondre à leurs besoins.
Les personnes que j’accompagne ont besoin de sens,
et elles ne sentent pas très à l’aise avec les stratégies marketing et l’entreprenariat,
mais en faisant ce petit pas de côté vers le cœur, elles trouvent le MOYEN d’entreprendre à leur MANIERE,
et ça, y’a rien de plus puissant pour rayonner sa boîte ! !
Sur cette réflexion, je te souhaite une super semaine !
On se retrouve la semaine prochaine avec un échange très inspirant avec un invité, et on va parler créativité… et bien d’autres choses super inspirantes !
Un autre exemple :
Si en ce moment, tu n’as pas le choix que d’enchaîner les lessives, les courses, etc,…
Tout ça, ce n’est peut être pas sur ta to do list, mais c’est pas rien de faire tout ça ! ça demande beaucoup de temps et d’énergie !
Donc c’est normal de ne pas avancer sur ta to do list sur c’est des grosses tâches !
Ou alors, d’avoir mis la matinée à écrire un mail qui te tenait particulièrement à cœur pour un prospect que tu as envie de voir devenir client… Bah c’est pas rien ça non plus !
Et ça t’a sûrement beaucoup mobilisé ! Et ça compte sur ta did it list ! ça compte même double ou triple !
Donc voilà, que tu optes pour la to do list ou la did it list, ou encore une liste qui s’appellerait « petits pas pour tout déchirer » ou encore « mes super-tâches pour rayonner ma boîte », peu importe.
Ce qui compte, c’est de te proposer un moyen de gagner en clarté sur les tâches qui remplissent ta journée. Un moyen qui te fasse du bien au moral.
Qui ne te mette pas la pression, qui t’aide à mettre un pas après l’autre,
et donc à rayonner ta boîte !
Je te souhaite une bonne semaine à explorer tout ça !
A très vite pour un tout autre sujet 🙂
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions.
Pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
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Si tu cherches les infos pour le coaching de groupe « Je rayonne ma boîte », je te mets le lien là, t’as juste à cliquer.
On va encore parler organisation aujourd’hui.
Et plus particulièrement, d’un outil que l’on ne connaît que trop bien : la to do list.
Cet épisode fait suite à l’épisode de la semaine dernière, qui s’appelle « mon organisation sérénité », c’est le numéro 6 de cette 2ème saison.
Alors si tu ne l’as pas encore écouté, je t’invite à d’abord à écouter cet épisode là, ça sera ainsi beaucoup plus fluide d’aborder cette fameuse to do list.
Comme je te l’expliquais dans l’épisode précédent, la 1ère chose qui m’apparaît essentielle pour s’organiser de manière efficace, mais qui nous permette de rester sereine,
c’est de connaître et comprendre le sens de cette organisation,
savoir POURQUOI on se propose de faire cette tâche là.
Donc, si ça, c’est pas clair pour toi, je t’invite à aller ré-écouter l’épisode précédent, et comprendre ce qu’il y a en haut de notre entonnoir,
et qui va faire découler un certain nombre de tâches à réaliser, qui ont du sens, qui sont cohérentes, et que j’ai envie de réaliser.
Parmi toutes ces tâches, on a vu que j’ai organisé mon mois, ma semaine, avec des blocs de temps, que j’ai réparti sur mes journées, selon les besoins de mon entreprise, et aussi mes besoins persos, pour tout ce que je peux anticiper.
Et vraiment, ça c’est super important, d’essayer d’anticiper au maximum, dès que ça prend plus de 15 minutes à réaliser.
Tout est prévu, chaque chose en son temps. Je n’ai pas tout plein de dossiers ouverts dans mon cerveau. Je vais pouvoir les prendre les uns après les autres.
En sachant que je peux m’occuper ensuite jour après jour, de ce qui vient s’ajouter à ce qui compte vraiment pour la réalisation des objectifs.
Construire et penser mon temps comme ça, déjà ça renverse le système que j’avais au début.
Quand j’ai commencé, je gérais tout au fur et à mesure. Alors j’étais toujours dans la gestion des urgences et dans l’action pour répondre aux commandes de clients. Et donc quasiment jamais dans la partie projection et préparation de l’avenir pour mon entreprise.
Là, je suis beaucoup plus productive d’une part, parce que je suis pleinement concentrée sur chaque tâche au moment où je dois la faire, sans avoir le cerveau divisé en 15 tâches à réaliser en même temps. Et j’avance concrètement dans la direction que J’AI décidé, et non pas en fonction des pseudos urgences du jour.
Mais bon, malgré tout ça, il y a quand même des choses à gérer au jour le jour,
et j’ai à cœur de penser ma journée aussi en fonction de mon énergie disponible sur le moment.
Donc, je revois chaque matin mon organisation et ma liste de tâches, en fonction de tout ça.
Et c’est là que m’est utile la to do list.
De ne pas savoir ce qu’on vit réellement, peut donner l’impression de ne rien faire, d’être fatigué sans comprendre pourquoi…
Et de ça, peut découler beaucoup de culpabilité.
Bon, ça c’est mon ressenti à moi. Parce que j’ai un à-priori positif sur la to-do list, et que je sens combien ça m’est utile au quotidien.
alors il y’a fort à parier, que ça ne va pas t’être une grande aide si tu restes sur cette idée.
Ça peut être pour plusieurs raisons, comme d’avoir déjà essayé et que ça ne t’ait pas aidé.
Peut-être parce que ça manquait de sens pour toi, ces tâches que tu avais notées sur ta liste. Et pour ça, je te renvoie encore une fois à l’épisode de la semaine dernière,
Je te rappelle que, l’étincelle à l’action, c’est l’émotion qu’il y a en amont, et cette émotion que l’on a découle directement d’une pensée.
Donc, si aujourd’hui, la to-do list ne t’aide pas à passer à l’action, alors il est intéressant de te demander quelles pensées sont à l’origine.
Qu’est-ce que ça t’évoque? Qu’est-ce que tu ressens à l’idée de faire une to-do list ?
Par exemple, si tout ça découle du fait que tu te proposais plutôt une graaaaande liste générale dans laquelle piocher, mais une liste qui est sans fin, sur laquelle se rajoute des choses au fur et à mesure que tu en barres.
Alors c’est sûr que de penser à une to do list comme ça, ça épuise avant même de s’y mettre.
Mais je vais te proposer des pistes pour organiser différemment ta to-do list, que toi aussi elle t’aide moralement.
Une autre piste pour changer la pensée que tu as à propos de ta liste de tâches, c’est de la formuler différemment tout simplement. Pour que l’émotion que tu ressens au moment où tu la regardes soit positive, et donc que ça t’aide à passer à l’action !
Et forcément, le résultat sera positif.
Ta to do list, tu peux la formuler comme tu veux !
Appelle comme de la façon qui te fait du bien.
Par exemple : « mes petits pas vers ma vie rêvée ».
Ou alors, tu peux l’écrire « tout-doux (T.O.U.T – D.O.U.X) liste » comme je l’ai entendu dans la vidéo super inspirante « Un bon moment avec Fabien Olicard et Vérino » qui est disponible sur You Tube.
Maintenant qu’on a vu ça, je peux te partager quelques petits trucs pour te créer ta propre to-do list.
Alors, moi, j’utilise tout bêtement un cahier, un peu en mode bullet journal,
sur lequel j’écris le jour, puis mes tâches tout simplement.
Donc, d’abord, ça paraît bête, mais c’est important de te trouver un support qui est pratique pour toi, qui te fait plaisir, qui soit facilement accessible, parce que si déjà se mettre dessus, c’est galère, bah la journée démarre pas au mieux. ça peut être un support numérique ou papier, peu importe, ça c’est selon ce qui est le mieux pour toi. Le plaisir et la simplicité, c’est déjà la base pour le moral.
Ensuite, ce à quoi il va vraiment falloir faire attention en écrivant ta to do list du jour c’est d’être vraiment réaliste sur le nombre de tâches différentes que tu peux faire en une journée et le temps nécessaire pour les réaliser.
Le nombre de tâches, parce que c’est pas génial pour notre cerveau, en terme de concentration, et donc de fatigabilité, de passer tout le temps d’une tâche à l’autre.
Et puis, pour le moral aussi… Démarrer une to do avec 45 tâches notées dessus, bah ça fatigue d’avance.
Je te conseillerais de ne pas noter plus de 5 tâches ou 3 grosses tâches.
(tu auras toujours la possibilité d’en rajouter si finalement tu as du temps)
d’abord en priorité, celles que j’ai noté dans mon agenda, ces fameux blocs de temps.
Et puis, à ça, se rajoute, la gestion du quotidien, ce que je n’ai pas pu anticiper en fait.
Par exemple, un mail que j’ai reçu qui me demande de faire des recherches pour y répondre, hop, je vais le considérer comme une tâche.
Ou si je veux partager qqch en particulier en story aujourd’hui, je sais que ça va me demander du temps, donc ça sera une tâche à part entière.
Parce que si je ne l’inclue pas dans mes 5 tâches du jour, je sais que je risque fort d’être frustrée de ne pas avoir le temps, soit de faire cette tâche, soit de ne pas en faire une autre.
En revanche, avoir la sensation d’avoir été au bout de sa to-do list, ça booste énormément !
Et ça donne envie de recommencer le lendemain.
Il peut être nécessaire, pour certaines tâches, de les découper en tous petits points.
Par exemple, si je dois programmer plusieurs publications, je vais noter les sous-tâches.
Car non seulement c’est chronophage ce genre de tâches. Alors si je veux avoir la sensation d’avancer, plus je vais détailler les sous-tâches. De fait, plus je vais pouvoir cocher. Et plus ça va m’aider à estimer le temps nécessaire pour les réaliser.
Par exemple, je peux noter comme sous-tâches :
* fouiller dans mon dossier photos que j’ai mis de côté pour ma communication,
* écrire pour chacune les thèmes que je veux aborder,
* puis rédiger les textes,
* puis trouver les # que je veux associer,
* puis organiser les visuels pour que ce soit cohérent,
* et enfin programmer toutes ces publis.
Donc, d’écrire toutes ces sous-tâches, ça m’aide à prendre conscience que c’est une très grosse tâche en fin de compte.
Alors, le jour où j’ai ça de prévu, je vais peut-être me proposer 2 ou 3 autres tâches qui me demandent peu de temps.
Au départ, c’est pas forcément évident de savoir combien de temps vont nous prendre les tâches, mais au final, c’est souvent les même qui vont revenir, alors il faut tester, et ajuster. ça va se préciser au fur et à mesure.
Tu peux te proposer un code, un peu comme un bullet journal. pour savoir quand une tâche a été réalisée, à reporter, etc. un code couleur ou des symboles, qui te parlent à toi.
Dans le jargon du bullet journal, ils appellent ça des « clés ». Tu peux taper « clés bullet journal » dans ton navigateur de recherche, et tu vas trouver plein d’idées !
c’est de codifier selon si c’est une tâche qui est urgente, ou qui est importante ET urgente, ou qui n’est pas urgente mais importante par exemple. D’annoter ainsi tes tâches peut aussi t’aider à voir en un coup d’œil ce qui peut être reporté si tu n’as plus de temps ou d’énergie.
Et là encore, d’éviter à ton cerveau de se poser milles questions au cours de ta journée, et donc de pouvoir rester focus sur ce qui est essentiel.
mais que tu veux quand même gagner en clarté sur le contenu de tes journées, te faire du bien moralement, comprendre pourquoi tu es fatiguée, sentir
Ou par exemple si tu n’arrives pas à avancer sur ta to do list en cette période, et que tu as l’impression de ne rien faire,
j’ai envie de te proposer quelque chose d’un peu différent.
Histoire de se rendre compte si vraiment tu fais rien… et il y a fort à parier que ce n’est pas le cas.
Mais ça te permettrait de voir où part ton énergie et à quoi tu consacres ton temps.
Dans ces cas là, ce que j’ai déjà proposé à des coachées, c’est de faire plutôt une « Dit it list » (une liste des choses que tu as faites).
Cela peut t’aider à prendre confiance en ta capacité à faire des choses au jour le jour, en ton organisation, etc.
Et aussi de gagner en clarté sur le type d’énergie dont tu disposes en ce moment.
Parce que si sur ta to do list, y’a que des tâches qui te demandent d’être en contact avec l’extérieur,
alors que tu es en période hiver de ton cycle mensuel,
ce n’est pas étonnant que tu n’avances pas sur les tâches que tu as noté !
Mais ce n’est pas parce que tu es une feignasse ou je ne sais quoi !
Un autre exemple :
Si en ce moment, tu n’as pas le choix que d’enchaîner les lessives, les courses, etc,…
Tout ça, ce n’est peut être pas sur ta to do list, mais c’est pas rien de faire tout ça ! ça demande beaucoup de temps et d’énergie !
Donc c’est normal de ne pas avancer sur ta to do list sur c’est des grosses tâches !
Ou alors, d’avoir mis la matinée à écrire un mail qui te tenait particulièrement à cœur pour un prospect que tu as envie de voir devenir client… Bah c’est pas rien ça non plus !
Et ça t’a sûrement beaucoup mobilisé ! Et ça compte sur ta did it list ! ça compte même double ou triple !
Donc voilà, que tu optes pour la to do list ou la did it list, ou encore une liste qui s’appellerait « petits pas pour tout déchirer » ou encore « mes super-tâches pour rayonner ma boîte », peu importe.
Ce qui compte, c’est de te proposer un moyen de gagner en clarté sur les tâches qui remplissent ta journée. Un moyen qui te fasse du bien au moral.
Qui ne te mette pas la pression, qui t’aide à mettre un pas après l’autre,
et donc à rayonner ta boîte !
Je te souhaite une bonne semaine à explorer tout ça !
A très vite pour un tout autre sujet 🙂
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions.
Pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Si tu cherches les infos pour le coaching de groupe « Je rayonne ma boîte », je te mets le lien là, t’as juste à cliquer.
En préparant ce épisode, j’avais d’abord envie de te parler d’un outil d’organisation que l’on ne connaît que trop bien : la to do list.
Mais en commençant à rassembler mes idées, je me suis rendue compte que je ne pouvais pas te parler de ça, sans aborder avant comment gagner suffisamment en clarté pour que cet outil soit vraiment bénéfique.
Je vais donc te partager ma façon de faire, tout mon process pour atteindre mes objectifs. En résumé bien sûr, on pourra revenir sur chacune des étapes si ça t’intéresse.
Parce que la to do list est en fait UN outil parmi d’autres pour avancer vers mes objectifs professionnels.
Mais, c’est important que ce soit clair entre toi et moi, que la to do list est la « finalité » d’un processus.
Comme la fin d’un entonnoir.
Bon allez, on va voir tout ça !
Voici comment ce sur quoi je m’appuie pour gagner en clarté et donc m’organiser de façon à être bien plus sereine au quotidien, et personnellement et inévitablement professionnellement.
Je te parlais donc en intro d’un entonnoir…
Parce qu’en effet, imagine qu’il y a plusieurs niveaux à cet entonnoir.
Et que les niveaux du dessous découlent du haut de l’entonnoir.
Cela me permet de donner du sens à tout ce que je vais faire au quotidien.
Tout en haut de cet entonnoir, on a ma vision.
Ce que je souhaite, pour moi et mon entreprise dans 5 ou 3 ans.
Découle de ça, mon grand objectif de l’année.
Puis cet objectif, je le découpe en trimestre.
Pour le rendre moins gros – donc moins impressionnant – et avoir une visibilité plus claire sur les petits pas que je dois faire pour atteindre au final mon grand objectif… et donc ma vision.
Ensuite, une fois que je suis au clair sur les grands axes, je me bloque dans mon agenda des créneaux pour justement que toutes ces intentions puissent devenir réalité.
Par exemple, je n’ai pas à penser 45 fois par mois à mes prochaines newsletters. Ou aux défis que je propose sur un groupe facebook pour aider les entrepreneuses à se booster.
J’ai un créneau prévu pour ça, ou plusieurs, selon le temps que ça me demande.
Si des idées me viennent entre temps, je les note dans un espace dédié.
Et d’ailleurs, mon esprit est bien plus disponible pour trouver des idées depuis que je fonctionne comme ça. Il peut se concentrer sur l’essentiel.
Je n’ai plus peur d’oublier qqch de très important.
Ça me permet d’anticiper.
Et puisque tout découle de ma vision, le haut de mon entonnoir, puis de mes objectifs, alors tout ce que j’ai prévu de faire, a du sens pour moi.
Donc, je vais pouvoir puiser de l’énergie, dans ce sens vraiment fort.
De savoir POURQUOI je vais faire cette tâche là, ça, ça m’apporte déjà beaucoup de sérénité.
Et ça me donne envie d’y aller, de sentir toute cette cohérence.
Donc voilà, en gros, mon planning est à peu près calé, bloc de temps par bloc de temps, de mois en mois.
Généralement les 15 premiers jours sont bien calés, les trucs importants sont intégrés à mon planning.
Et les 15 derniers jours, je fignole au fur et à mesure dans les espaces disponibles.
Ce qui me permet de me sentir beeeeaaaauuuucoup moins envahie.
Parce que, sauf urgence, j’ai un temps prévu pour tout.
Par exemple, je sais que si j’ai un reportage de prévu, je dois prévoir un créneau de temps d’heure pour ensuite trier mon reportage, puis tant d’heures pour post-traiter, etc.
Si j’ai un coaching qui démarre, je peux anticiper un créneau pour préparer les outils. un autre pour analyser les données recueillies. Du temps laissé libre sur les périodes que je sais qui risquent de remuer ma coachée, pour être disponible si elle a besoin d’échanger, etc.
Et puis aussi, au fur et à mesure qu’on se connaît bien, ça permet de :
Je ne m’enferme pas dans ce qui est prévu. Non, je ne m’impose pas de faire absolument ce qui est marqué dans mon agenda. Mais comme les blocs de temps sont prévus, je sais que j’aurai ça à faire par mois.
Donc, si le jour J, je n’ai pas du tout envie de faire ce qui est prévu, c’est pas grave, je switche avec autre chose. Alors je pars sur un autre bloc de temps, que j’avais calé à un autre moment, et je le remplace par ce que je n’ai pas envie de faire là tout de suite.
J’utilise Google Agenda, tout simplement, je peux glisser-déposer les blocs de temps très facilement pour les déplacer.
Et pour les nanas, ça permet aussi d’anticiper les différents types d’énergies en fonction de notre cycle mensuel.
Bon, je parle des nanas parce que je connais mieux ce cycle là, mais il semblerait que les hommes aussi vivent ce type de cycle. Mais c’est peut-être plus compliqué de les distinguer, aussi parce qu’ils n’ont pas les règles qui viennent les aider à situer la durée d’un cycle par exemple.
Les différentes énergies au cours du cycle, brièvement, il y en a 4 en gros. Comme les saisons :
Par exemple, d’anticiper ça, ça me permet de ne pas enregistrer, ou du moins d’éviter, des épisodes pendant la phase hiver.
Parce que je sais que je n’aurai pas la même énergie si je suis pliée en deux et que j’ai besoin de me recentrer sur moi, que si je le fais en phase été, où là je suis totalement disponible pour les autres.
Je pourrai vous faire un épisode bien complet sur le sujet si ça vous intéresse, dis moi si ça te dit, si je prépare ça.
C’est vraiment incroyable à quel point on peut utiliser notre cycle, et combien c’est porteur de surfer sur les vagues plutôt que de se sentir boire la tasse à chaque fois, si on est dans une énergie à contre-courant de ce que l’on doit faire.
Parce que si je dois prévoir par exemple de lancer une offre, si je suis en phase hiver où je suis normalement repliée sur moi, je ne vais pas y mettre la même énergie, que si je le prévois en phase été.
Ou alors si je me sens vraiment fébrile par rapport à mon projet, si tout d’un coup je doute, ça peut être vachement intéressant de voir si je ne suis pas en phase automne.
Ça aiderait à prendre du recul aussi, de savoir que c’est normal de douter à ce moment là, que ça devrait s’apaiser dans quelques temps.
Et si ce n’est pas le cas, alors y’a d’autres questions à se poser.
Donc, comme l’automne est une période d’analyse, c’est intéressant aussi de l’utiliser pour certains projets.
De même que l’hiver qui va nous aider à nous recentrer sur nos besoins.
Bon, on a pas mal digressé là…
Mais maintenant tu sais comment je m’organise en partant de ma vision. Puis d’un objectif sur l’année. Ensuite, au trimestre. Et enfin, de semaine en semaine, pour bloquer les temps nécessaires pour avancer sur les actions à réaliser, pour atteindre mes objectifs.
De prévoir ainsi ces blocs de temps, ça m’a pas mal aidé sur un autre point aussi. C’est d’avoir davantage de clarté sur le temps dont je dispose réellement !
Parce qu’avant, j’avais un agenda papier, tout simple, sur lequel je notais mes rendez-vous, les dates bloquées pour mes reportages, etc. Et quelques tâches vraiment importantes, sur lesquelles j’avais des dead-lines par exemple.
Alors quand je regardais mon agenda, j’avais l’impression d’avoir du temps, d’être dispo pour plein de trucs… J’acceptais donc pas mal de sollicitations ou je me lançais dans de nouveaux projets…
Et je ne comprenais pas pourquoi je me sentais ensuite à la bourre, que je devais bosser le soir, etc.
Là, en prévoyant vraiment des blocs de temps pour tout ce qui va me prendre du temps, au delà des rdvs, comme la création de contenu, ou des journées entières pour le post-traitement de mes reportages, j’ai un bien meilleure visibilité sur le temps dont je dispose réellement.
Donc, quand on me propose qqch, ou que j’ai envie de lancer un truc, et bien je sais quand je vais pouvoir le faire SANS me sentir envahie, dépassée, …
Après, on peut faire des choix. ça ne veut pas dire que je vais refuser tout même si c’est une période chargée, mais je le fais en conscience, et je déplace les blocs de temps en fonction, pour quand même respecter mes besoins, mon énergie, etc.
Voilà donc pourquoi ça m’est vraiment devenu indispensable.
C’est fou comme ça m’a fait gagner du temps de rassembler des tâches semblables dans un même bloc de temps !
Gain de temps, d’énergie et de concentration aussi.
Plutôt que de faire chaque semaine une tâche, par exemple, préparer l’épisode de podcast, je batche plusieurs épisodes à la suite, pour le mois dans l’idéal !
Ce gain de temps, ça me permet de me garder le vendredi matin pour finir les tâches de la semaine tranquillement.
Mais aussi de conserver mon vendredi après-midi pour faire des choses différentes, comme de la peinture, ou lire, ou regarder une conférence, etc.
Et ça, pffiooouuu quel gain de sérénité aussi !!!
Cette to-do list, là aussi, elle doit être à mon service.
On en parle la semaine prochaine, parce que, chez pas mal d’entre nous, elle peut vite se transformer en ennemie ou nous déservir.
Alors on va voir comment utiliser cet outil super simple pour se booster.
Je te dis donc à la semaine prochaine, mais en attendant, dis moi, par exemple en m’envoyant un message sur instagram, si ça t’a apporté quelque chose cet épisode, comment tu t’organises toi, qu’est-ce qui te permet de rayonner ta boîte !
Et si cet épisode t’a plu, je t’invite à laisser un avis sur ta plateforme d’écoute, ça aidera d’autres personnes à découvrir le podcast, et à se sentir plus à l’aise dans leur entreprise, et ça, ça compte vraiment pour moi.
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions.
Pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Si tu cherches les infos pour le coaching de groupe « Je rayonne ma boîte », je te mets le lien là, t’as juste à cliquer.
Aujourd’hui, on va voir comment prendre des décisions facilement pour notre entreprise?
Une des difficultés quand on est à son compte, quand on est chef d’entreprise, c’est la nécessité de prendre des décisions tout le temps.
C’est d’autant plus difficile à faire quand on a une belle et grande sensibilité.
Emotionnellement, c’est pas forcément évident à vivre.
Déjà en terme d’énergie, ça mobilise pas mal de ne pas savoir quelle décision prendre.
Et puis, c’est clairement une perte de temps, tout ce temps passé à ne pas savoir, à hésiter.
A revenir sur ce qu’on a dit 5 minutes avant, etc.
ça ne fait pas avancer le schmilblick quoi, ça peut complètement paralyser.
Alors dans l’épisode d’aujourd’hui, je voudrais te proposer une sorte d’outil pour pouvoir prendre des décisions plus facilement.
De ne pas prendre la « bonne » décision.
Comme on l’a vu dans l’épisode 15 de la première saison du podcast, le contraire de la peur, c’est la clarté.
Alors, pour apaiser cette peur et parvenir à prendre une décision… on va se proposer de gagner en clarté.
De savoir que, quelque soit le choix que l’on fait, c’est en conscience de qqch
Faire reposer cette décision sur qqch de solide, qui nous assure que c’est le mieux pour soi.
Comme on l’a vu dans l’épisode E016 de Même Pas Peur : « J’ai peur de dire non ».
C’est plus « facile » de renoncer à qqch, quand on sait POURQUOI, on opte pour l’autre option.
Parce que ça fait reposer la décision sur un socle important pour soi, ça ramène le choix à une
Et comme a dit une de mes coachées, Cindy, à la fin du séjour inspirant qu’on a vécu ensemble :
C’est exactement ça, on ne peut pas se tromper, si l’on fait des choix en conscience de ce qui compte le plus pour nous.
Et donc, pour rentrer dans le concret, pour savoir sur quoi faire reposer cette décision,
on peut se proposer une sorte de filtre.
Comme un filtre à café, qui ne laisse passer QUE ce qui est bon pour nous.
Donc, dès que j’ai une décision à prendre, je la fais passer par ces filtres. Ou l’un de ces filtres là. Par exemple, si l’on me propose un contrat auquel je ne m’attendais pas. Pour savoir si je dois accepter ou non de le faire, je vais me demander s’il passe par ces filtres là.
Et ça m’évite de me poser milles questions.
Parce que c’est un cadre clair dans lequel je peux évoluer à ma guise, sans remettre tout, tout le temps, en question.
Prendre des décisions, c’est tout le temps, quand on est chef d’entreprise.
Et quand on a une grande sensibilité, faculté à tout remettre en question,
Dans ce cadre que je me propose, je me sens en sécurité.
Une fois posé, je suis sereine, et ça me fait gagner un temps fou à chaque fois que j’ai une décision à prendre.
Qu’est-ce que c’est ?
Ça mériterait que j’y consacre un épisode entier d’ailleurs, pour t’aider à l’affiner si ce n’est pas un exercice facile pour toi. Mais déjà là, que je te partage quelques éléments pour t’aider à l’utiliser comme filtre.
Donc, la vision, c’est se créer dans son esprit une image ou une idée précise de ce qu’on désire voir se produire.
C’est une projection dans le futur, de soi, son entreprise, sa vie privée, avec le plus de détails possibles.
Grâce à ça, au fait d’avoir une idée précise de ce que l’on veut vivre dans quelques temps, la vision nous donne la direction à prendre. Elle favorise même notre créativité pour se rapprocher de cette image mentale qu’on s’est forgée.
Cette fameuse vision, c’est donc un puissant moteur, qui nous motive et nous donne l’énergie nécessaire pour avancer. Et nous aide à sentir dans quelle direction aller.
Et là où ça nous intéresse pour prendre des décisions, c’est que, plus on a une vision claire de la direction à prendre, plus il facile de savoir si le choix que l’on doit faire nous permettra de nous en rapprocher ou non !
Par exemple, si dans ma vision je me vois partager toutes mes fins de journées avec mes enfants, parce que c’est ce qui compte vraiment pour moi. Alors je ne vais pas accepter un contrat qui me contraindrait à être disponible pour travail de 17 à 19h tous les soirs.
Donc, même si ce contrat là est super bien payé, de savoir que si je le refuse, c’est pour dire « oui » à ma vision, ça aide à passer le pas. Je ne dis pas « non » au contrat, je dis « oui » à ma vision chérie.
Voilà un autre filtre super puissant !
Bien sûr, ça demande d’abord d’avoir conscience des valeurs qui nous tiennent à coeur.
Mais une fois que ça, c’est bien ancré, on peut s’en servir sur pleeeeeiiiin de pans de notre entreprise, pour que tout soit cohérent. Et la cohérence amène la confiance.
On peut les utiliser par exemple dans notre communication, pour construire nos offres, pour construire notre identité visuelle aussi, pour penser notre réseau, etc. etc. etc.
Et là encore, du coup, si j’ai une décision à prendre, c’est hyper intéressant, pour s’assure que l’on soit en paix avec la décision prise.
Pour en pas que dans notre cerveau, ça crée ce que l’on appelle une dissonance cognitive, ou un conflit interne. C’est quand nos pensées, émotions, valeurs et comportements ne sont plus en phase, alors, une tension apparaît.
Par exemple, c’est ce qui peut se passer si l’une de mes valeurs est le respect de l’environnement, mais que je dois prendre l’avion très souvent pour mon travail. Ma valeur et mon comportement ne sont pas en phase. Alors il y a fort à parier que tant que je continue à vivre ça, je m’insulte à chaque fois que je prends l’avion de ne pas respecter mes valeurs profondes. Et ça, bah ça crée de sacrés dégâts.
quand j’ai fait le choix d’un album pour les mariés qui me choisissaient comme photographe. Il y a un nombre incalculable de possibilités d’albums chez tout un tas de fournisseurs, à des tarifs vraiment différents, et tout un tas d’options, ce qui peut rendre la décision vraiment difficile à faire.
Ce qui m’a aidé, ça a été de m’appuyer sur mes valeurs, celles que je défendais auprès des couples qui me faisaient confiance. Je me suis donc mis en quête d’un album artisanal, fait avec soin et amour, et qui soit complètement en phase avec la vision naturelle que j’ai de la photographie.
En utilisant ces filtres, ça a été beaucoup plus facile d’éliminer 95% des possibilités, et de me tourner vers un fournisseur qui cochait toutes les cases. Qui travaille à la maison, avec des matériaux éco responsable, et qui soit vraiment vigilant aux ressources de Dame Nature.
Alors oui, cet album a un coût élevé. Mais, je l’assume totalement, et mes clients valident pleinement ce choix. Parce qu’il est cohérent avec tout le reste de ma démarche. ça fait sens. Pour moi, et pour eux.
Encore une fois, cohérence = confiance… et confiance = contrats.
J’en ai parlé récemment dans une newsletter, donc si tu es inscrite, tu vas vite te souvenir de quoi je veux parler.
D’ailleurs, si toi aussi tu veux recevoir ce boost d’inspiration tous les mardis, il te suffit de t’inscrire sur mon site nicolegevrey.fr
Pas une résolution qu’on va (pour beaucoup d’entre nous) lâcher avant le 1er février.
Il s’agit plutôt d’attirer notre attention sur quelque chose.
Quelque chose qui peut avoir un impact sur plusieurs domaines de notre vie.
Un besoin, que l’on veut se proposer d’assouvir plus régulièrement.
Ou un sentiment ou une émotion, que l’on veut se proposer de provoquer plus régulièrement (et donc mettre en place ce qu’il faut pour), etc.
J’ai découvert cet « exercice » en 2018, grâce à Clotilde Dusoulier, créatrice du podcast Change ma Vie… qui a changé ma vie 😁🙏
Et j’en ressens année après année la puissance !
Par exemple, en 2018, je m’étais proposée cette phrase : « 2018 sera sans peur ».
Et j’ai vécu des choses que je n’aurais jamais cru possible avant.
En 2019, j’avais choisi « FAMILLE« .
J’avais besoin que ce soit ma priorité n°1,.
Alors professionnellement, j’ai axé mes offres dans cette direction.
En tant que photographe, et en tant que formatrice et coach.
Un vrai tournant qui m’a permis de mettre toujours plus de sens et de cohérence dans ma démarche.
Et personnellement, je me suis donnée les moyens de profiter bien davantage de ma famille.
Malgré la distance et les plannings bien remplis, j’ai réussi à voir ma famille chaque mois !
Un exploit pour moi. Et ça m’a tellement apporté.
En 2020, c’est le mot « SERENITE » qui a jalonné mon année.
Et c’est incroyable à quel point j’ai cheminé dans ce sens !
D’abord en focalisant mon attention sur comment je vivais les choses et me connaître davantage, en cherchant à retirer au max de ma vie ce qui m’éloignait de cette intention. Et en rajoutant au contraire ce qui m’en rapprochait.
J’ai aussi pris conscience des outils dont je disposais déjà et ceux que je pouvais tester.
Et puis j’ai créé le podcast « Même Pas Peur » pour continuer dans cette direction. Et partager mes recherches et des graines de sérénité autour de moi.
Et 2020 était l’année parfaite pour expérimenter tout ça !!! 😂
Et cela, parce que j’ai CHOISI de me proposer cette direction pour 2020, d’y accorder une intention toute particulière.
Parce que je savais à ce moment là que c’était ce qui me freinait dans mon nombre des domaines de ma vie.
Alors je me suis à nouveau proposée cet exercice pour 2021.
Pour être tout à fait honnête, j’ai vécu plusieurs expériences en fin d’année dernière, qui ont rendu évident le mot de mon année 2021…
Alors mon année sera SLOW.
Une intention à ralentir.
Arrêter de courir (après je ne sais quoi en plus 🙄). Prendre davantage le temps de savourer l’instant.
J’espère de tout cœur que cela t’aidera à gagner en clarté.
A savoir à quoi tu dis « oui », quand tu dois dire « non » à quelque chose.
si tu as besoin d’être accompagnée, boostée, aiguillée, pour penser ces filtres là,
c’est justement un des premiers modules du coaching de groupe que je suis en train de préparer.
Je serai là pour te poser les questions qui t’aideront à y voir plus clair.
Pour t’aider à affiner ce socle de sécurité qui est essentiel pour rayonner ta boîte.
Ce coaching de groupe démarre le 1er avril (2021, si tu écoutes cet épisode en décalé),
il s’appuiera sur 12 modules, étalés sur 4 mois.
Ce coaching de groupe, il s’appelle JE RAYONNE MA BOITE, comme par hasard 😛
Parce qu’ensemble, on va aborder tous les points essentiels pour que tu puisses enfin prendre conscience de la vraie valeur de ce que tu proposes,
on va aborder tous les piliers sur lesquels une entreprise saine et pérenne doit s’appuyer, pour être en cohérence avec ses valeurs et ses besoins.
L’avantage du groupe, c’est de voir à travers les autres combien chacun est unique d’une part,
et d’autre part, y’a une sorte d’effet miroir de voir combien l’autre s’anime quand il est aligné, ça donne plein de bonnes énergies pour oser soi-même.
Voilà, et donc pendant ces 4 mois, non seulement tu ne seras plus seule, tu vas pouvoir échanger en groupe, poser des questions dès que tu en as besoin,
et puis, c’est t’offrir l’expérience d’être focus sur un objectif pendant 4 mois, et ça, ça peut tout changer pour ta boîte !!!
4 mois parce qu’il y aura des périodes de « pauses » entre les 12 modules pour te permettre d’implémenter et ancrer ce qu’on a vu.
Pour s’assurer de prendre le temps pour ce qui est nécessaire.
Si tu veux plus d’infos, je te mets un bouton juste en dessous pour aller voir les infos qui sont déjà sur mon site,
et sinon, n’hésite pas à m’écrire si tu as besoin de plus de précisions, si tu as des questions, si je peux t’aider en quoi que ce soit.
En attendant d’en échanger avec toi, je te souhaite une merveilleuse semaine !
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions.
Pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Si tu cherches les infos pour le coaching de groupe « Je rayonne ma boîte », je te mets le lien là, t’as juste à cliquer.
Quand tout n’est pas encore aligné, que l’on n’en est pas encore à rayonner dans sa boîte,
une des erreurs fondamentales, un reflex presque, quand on essaie de voir ce qui pourrait être différent dans notre situation,
une des premières choses qu’on a tendance à faire,
c’est d’aller chercher des réponses à l’extérieur plutôt qu’à l’intérieur.
C’est à dire d’aller voir chez les autres, se comparer.
Tu le sais déjà, que ce n’est pas bon pour toi de faire ça. Ton moral en prend sûrement un coup.
Alors plutôt que d’arrêter de se comparer,
(ce qui serait vraiment pas mal… mais bon, te le dire ne va pas résoudre le fond du problème qu’il y a derrière cette habitude),
on va voir comment on peut transformer ce quasi reflex, pour que ce soit bénéfique
Et d’ailleurs, à la fin de cet épisode, je te parle d’un outil pratico-pratique qui peut vraiment t’être utile, alors si tu peux rester jusqu’au bout, ça serait vraiment cool pour toi je pense.
D’abord, si jamais c’est nécessaire, voyons pourquoi se comparer aux autres peut faire plus de mal que de bien.
Selon l’énergie dans laquelle on se trouve, ça peut nous challenger, nous donner envie d’être compétitif et d’être toujours plus performant, actif, productif, efficace, faire plus quoi…
(ça c’est plutôt ce qu’on appelle une énergie masculine)
Mais si on est plutôt dans une énergie féminine, alors la comparaison c’est un putain de moyen pour chercher à se rabaisser… c’est pas forcément conscient, mais c’est l’effet quasi constant.
Le problème, c’est qu’on regarde avec des lunettes troubles, on se compare en ayant pas accès à la réalité de l’autre en fait.
On ne voit qu’une infiiiiime partie de la réalité
à travers le filtre de sa propre réalité, sans connaître la réalité de l’autre.
Donc déjà, ça n’apporte pas beaucoup de positif.
Tu n’es pas l’autre.
D’abord, tu ne sais pas si ce qu’il.elle montre est bien la réalité, tout le monde se montre à son avantage sur les réseaux notamment, …
Et essayer de faire comme cette personne, sans t’assurer que c’est le mieux pour toi, c’est faire selon les besoins des autres, ses aspirations, son rythme, son fonctionnement – comme d’essayer de copier ce que l’on voit qui fonctionne chez les autres. Le risque, c’est donc de t’éloigner de ce qui te convient à toi.
Comment tirer partie du fait de se comparer aux autres ?
Ce que je te propose dans cet épisode, c’est à la fois
des pistes pour passer d’un état d’esprit disons destructeur d’estime à un état d’esprit d’entrepreneuse qui veut rayonner sa boîte,
et des outils, qui vont te permettre
Je le répète encore et encore et encore à mes clientes,
plutôt que d’aller chercher les réponses à l’extérieur,
de regarder à l’intérieur, parce que tu as déjà tout ce qu’il te faut.
Mais parfois, l’extérieur peut être à la fois un miroir, et un réflecteur de lumière,
et aussi une sorte de guide de randonnée qui peut te montrer par où passer pour galérer le moins possible.
Tu vois, un guide, il a déjà arpenté ce sentier. Et puis il a déjà expérimenté cette altitude. Aussi, il sait quand il faut accélérer, prendre des raccourcis, ou au contraire, y aller doucement. Il sait comment faire pour que la route soit la plus enthousiasmante possible. Et il sait aussi où y’a des refuges dans lesquels tu seras en sécurité et où tu pourras vraiment te reposer. Pour pouvoir repartir de plus belle.
Alors, qu’est-ce que je veux dire par là ?
C’est que d’utiliser de manière très précise la comparaison, peut te permettre de découvrir des guides. D’analyser leurs parcours, par où ils sont passés, quelles ont été leurs étapes.
Pas en mode « oh la change, elle a 10 000 abonnés sur Instagram, j’aimerais trop moi aussi ».
Mais vraiment en mode « OK, je la choisis comme guide pour atteindre ce sommet. Alors, comment elle est équipée ? depuis combien de temps elle s’entraîne ? par où elle est passée, par quelles étapes elle a dû passer, et qui me permettrait moi aussi de monter d’une marche ? etc. »
D’analyser le parcours.
De regarder objectivement !!! avec un regard d’entrepreneur, qui analyse.
Si c’est vraiment ce que tu te souhaites pour toi.
Peut-être d’ailleurs qu’en regardant objectivement la situation ou le parcours de la personne qui t’inspire, tu vas te rendre compte que finalement, ce n’est pas ce que tu souhaites pour toi… auquel cas, ça ne sert vraiment à rien de se comparer.
Mais si ça peut t’apporter qqch, alors regarde tout ça à la loupe. Ses étapes. Par lesquelles cette personne, ton guide, est passée ? Ok, est-ce que tu peux te créer un raccourci, toi qui voit où elle en est maintenant et qui a un peu de recul ?
C’est ça qui va t’aider. De te comparer à tes guides, avec un regard objectif, et avec une intention bien précise.
Pas de regarder avec ton égo ou sous le filtre des peurs… ça, ça tue.
Si on cherche à tirer partie du fait de se comparer aux autres, avec une intention que ça nous apporte vraiment qqch pour notre développement personnel et professionnel,
alors il y a un autre outil qu’on peut utiliser : c’est le groupe.
Parce que, si on ne cherche pas à faire comme les autres, à rentrer dans un moule,
mais au contraire, qu’on se donne la possibilité de se respecter pleinement, d’écouter ses besoins, d’entendre nos réelles inspirations, etc.
alors, dans ce cas, la comparaison à un plus grand nombre de personnes peut juste être magiques !
Parce que la comparaison là, elle n’est pas un outil destructeur d’estime pour essayer de s’autoflageller sur ce qu’on fait de moins bien ou qu’on a en moins,
mais au contraire, il vient nous aider à dévoiler en quoi on ne ressemble à personne.
Et ça, pour prendre conscience que tu n’as pas de concurrents, que tes clients à toi sont pas ceux du voisins, et que tes clients à toi ils te veulent toi et pas le voisin, que ce que tu proposes c’est pas du tout comparable… et bien pour tout ça, le groupe est un outil super puissant !
Le groupe peut être un super révélateur de notre différence, de notre valeur ajoutée, de ce petit plus ou ces grandes forces qui font notre singularité, qui vont qu’on fonctionne différemment et qu’on peut en faire des atouts magnifiques.
Bénéfice 1 = l’énergie que ça procure, de se booster ensemble, d’avancer d’étape en étape ensemble, de se challenger, d’avoir un espace d’échange,
c’est la fameuse énergie masculine dont je te parlais au départ,
on a la possibilité de se créer les conditions pour la réactiver.
Alors petit aparté, on a tous en chacun de nous, que l’on soit né homme ou femme, de l’énergie féminine ET de l’énergie masculine. Les deux sont importantes pour notre équilibre.
Mais on a plutôt tendance à utiliser l’un ou l’autre.
Et souvent, les personnes qui sont intéressées par ma démarche, elles sont plutôt dans une énergie féminine, elles sont plutôt dans l’introspection, elles sont créatives, sensibles, elles veulent apprendre à écouter leur intuition.
Donc c’est pour ça que se recréer un équilibre dans un contexte qui va favoriser l’énergie masculine, va aussi débloquer pas mal de choses qu’on ne développerait peut-être pas de manière « naturelle ».
En travaillant à se connaître,
et valoriser chaque individu à l’intérieur du groupe,
en prenant conscience de sa belle différence / singularité.
Ce qui est difficile, c’est que ça nous paraît tellement évident de fonctionner comme on fonctionne, qu’on ne se rend pas souvent compte à quel point c’est un atout, une force, qu’on peut la mettre en avant et l’utiliser encore plus puissamment ;
alors que de voir d’autres personnes faire différemment, c’est plus facile de se dire « ah tiens, moi je fais comme ça plutôt, pourquoi… qu’est-ce que j’utilise comme compétence par exemple, ou quel trait de caractère ait une ressource pour moi dans ce cas de figure, etc ».
Parce que la comparaison là, elle n’est pas un outil destructeur d’estime pour essayer de s’autoflageller sur ce qu’on fait de moins bien ou qu’on a en moins,
mais au contraire, il vient nous aider à dévoiler en quoi on ne ressemble à personne.
Et ça, pour prendre conscience que tu n’as pas de concurrents, et que tes clients à toi sont pas ceux du voisins, et que tes clients à toi ils te veulent toi et pas le voisin, et que ce que tu proposes c’est pas du tout comparable… et ben pour tout ça, le groupe est un outil super puissant !
Le groupe peut être un super révélateur de notre différence, de notre valeur ajoutée, de ce petit plus ou ces grandes forces qui font notre singularité, qui vont qu’on fonctionne différemment et qu’on peut en faire des atouts magnifiques.
Alors bien sûr, c’est pour vous apporter pas mal de contenu, des outils, des choses bien concrètes et indispensables pour rayonner sa boîte.
Mais aussi pour que vous puissiez profiter de cet atout incroyable qu’est l’énergie d’un groupe.
Alors cette première édition démarre le 1er avril.
On va bosser ensemble pendant 4 mois,
sur 12 modules, qui s’appuient à la fois sur l’entreprenariat et le développement personnel.
Parce que ça sert à rien de vous faire une formation sur comment développer son entreprise et vous laisser vous dépatouiller avec tous ces freins qui sont liés aux croyances, aux peurs, etc,
On sait bien qu’en réalité les blocages les plus importants ils viennent de là.
Alors tu pourras compter sur moi pour t’aider à déconstruire ce qui doit l’être pour t’aider à avancer vers TON objectif à toi.
Pour t’aider à comprendre ce dont tu as besoin au sein de ton entreprise pour être sereine, efficace, etc,
Et on va aussi aborder des sujets très pratico-pratiques, comme par exemple « comment construire une communication qui te donne envie de parler de tes offres, qui te demande le moins d’efforts possibles, une communication avec laquelle tu es à l’aise et qui te ressemble et qui est adaptée à ton rythme, à ta clientèle etc.
Bref, il est pas question de suivre un plan commun à tous !
Loin de là ! pour chacun des piliers essentiels d’une entreprise qui rayonne, on va voir comment ça peut s’adapter à TOI !
Dans la forme, le fond, etc.
C’est ouvert à tous les entrepreneurs sensibles, qui ont envie de rayonner leur boîte et auraient bien besoin d’un coup de pouce pour prendre confiance dans leur casquette d’entrepreneure, pour oser se créer leurs propres règles marketing… parce que c’est le seul moyen que ça marche pour toi, que ça soit adapté à TOI.
Qu’est-ce que c’est ça, l’effet « miroir de mes désirs » ?
C’est de prendre conscience que, nos émotions étant des messages, si en te comparant aux autres, tu ressens une certaine jalousie,
alors c’est que, en analysant ce qui te rend jalouse là, tu trouveras ce quelque chose à entendre derrière ça.
C’est en échangeant y’a pas longtemps avec Charlotte du podcast leblabladansmatête, qui s’adresse aux hypersensibles et pourrait bien t’intéresser,
qu’elle m’a rappelé ça, ce fameux « miroir de mes désirs ».
Elle me dit que c’est en lisant le livre « Kilomètre Zéro » de Maud Ankaoua, qu’elle en a pris conscience.
C’est drôle, parce que j’ai lu ce bouquin y’a pas longtemps, et je n’avais pas du tout retenu ça de ce livre. Comme quoi, selon nos besoins, des messages différents nous parviennent.
Donc, en fait, ce sentiment de jalousie, est comme un miroir qui vient refléter qqch en toi.
Ça peut être, ce que tu vois chez l’autre de manière percutante,
et bien en fait, tu l’as déjà en toi mais que tu ne te laisses pas faire exister, que tu ne t’y autorises pas à ce que ça soit ta réalité, … alors que c’est ton désir dans le fond, tu sais, au fond de toi, que ce trait de personnalité par exemple, il faut que tu le laisses s’exprimer, que c’est dans ton intérêt,
Ça peut être aussi un moyen de prendre conscience en se comparant à l’autre, d’un désir particulier.
Et là encore, en le regardant sous ce nouvel angle, ça permet de passer en mode « actif pour l’obtenir », plutôt que de continuer à subir, se dévaloriser, en regardant les autres avoir ce que l’on a pas.
On est des créateurs de notre réalité, dans tous les cas, qu’on en soit conscient ou pas, qu’on soit en mode pilote automatique ou qu’on cherche à éveiller notre conscience pour aller dans la direction que l’on souhaite vraiment.
Ça m’a fait repensé à un outil que je pourrais te partager pour travailler sur ce point
Il est issu du livre « Trouver son Ikigaï’ de Christie Vanbremeersch
Et c’est tout simplement un tableau à trois colonnes, pour aider à décortiquer
(lecture de l’extrait du livre)
soit que ça te démoralise, que ça te plombe, que ça te freine,
soit que ça te booste toi et ton entreprise, grâce à ce regard objectif et analytique qui peut t’apporter pleeeeein d’infos,
sur les prochaines étapes par lesquelles passer,
sur ta magnifique singularité,
et sur tes désirs inavoués.
Et puis encore une fois, le plus puissant des carburants, c’est de sentir en soi à quel point l’on est unique,
d’être au clair sur nos souhaits pour l’avenir,
de gagner en clarté sur notre pourquoi, et comment on peut réaliser nos rêves, comment on peut se sentir épanouies dans nos vies personnelles et professionnelles.
Et le coaching de groupe « je rayonne ma boîte » qui démarre le 1 er avril répond justement à tout ça.
Parce que, dans la plupart des situations, pour la plupart d’entre vous, il n’y a pas grand chose à changer, pour que vous rayonniez vraiment. Il s’agit la plupart du temps de prendre conscience de nos forces existantes, de ce sur quoi on peut s’appuyer sereinement, du message qu’on veut faire passer et à qui… et donc petit à petit, de gagner tellement en cohérence et en clarté,
que même ce qui nous paraissait insurmontable, comme d’aller au devant des clients, devient fluide et apporte même beaucoup de joie ! parce que ça a du SENS de le faire, quand on sait POURQUOI et comment, on peut le faire pour soi et les autres, et en retirer tous un maximum de bonheur.
Voilà, c’est ça, l’intention du coaching « je rayonne ma boîte ». Je te mets le lien dans la description de cet objectif, sinon tu peux aller voir sur mon site, nicolegevrey.fr, t’as déjà plein d’infos sur cette page, et je reste bien sûr disponible pour échanger avec toi !
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions,
pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Nos vies entrepreneuriales sont de vrais ascenseurs émotionnels…
Et comme tu le sais si tu suis ce podcast depuis un moment, les émotions sont ni plus ni moins des messages, pour nous alerter que quelque chose cloche.
Alors un moyen d’apaiser les émotions dites « négatives », c’est de veiller à nos besoins. Parce que plus ils sont comblés, et moins y’a besoin que nos émotions s’expriment fortement.
Et puis, en plus de cela, quand nos besoins sont comblés, et bien on est au top de notre forme morale, physique, on se sent sereine, inspirée… et tout ça, ça n’a pas de prix.
Voilà donc pourquoi aujourd’hui, on va se poser cette question :
En tant qu’entrepreneurs, on est notre propre patron.
C’est pas toujours évident d’avoir cette casquette sur la tête. Mais ça nous permet de créer des conditions de travail qui sont adaptées à nos besoins, et ça, c’est vraiment pas rien.
Alors donc aujourd’hui, on va se demander comment on peut être le meilleur patron pour soi-même.
Et voir les différents besoins auxquels on doit veiller pour être au top.
Parce que, pour satisfaire pleinement tes clients, il faut que tu veilles à être au top !
Et pour que ton entreprise soit pérenne, il faut que tu veilles à être au top !
Et pour que tu ais encore envie d’être à ton compte dans quelques temps, faut que tu veilles à être au top !
Bref, tu l’auras compris, sur tous les tableaux, il est important que tu veilles à être au top !
Donc, dans cet épisode, on va revoir les différents besoins à combler pour s’assurer d’être… au top, t’auras compris le message.
L’avantage d’être son propre patron, c’est qu’on peut choisir un rythme de travail adapté à ses besoins (bon bien sûr selon
En tout cas, il est possible d’être davantage à son écoute pour travailler au moment où notre corps est le plus apte à ça.
Selon notre métabolisme, on peut être plus actif à une certaine période, avoir une capacité incroyable de concentration à une autre, ou encore être davantage disponible pour communiquer à d’autres moments encore.
S’écouter, en prendre conscience, de ce rythme là. Pour s’organiser du temps de travail au plus près de ces plages horaires.
Par exemple, son rythme (le soir, le matin … + périodes de créativité, de concentration … + besoin de faire des pauses,
S’amuser et se détendre sont de merveilleux atouts de productivité ! A user sans modération !!!
Les activités qui te procurent détente et plaisir, te permettent de prendre du recul. D’expérimenter. De tester de nouvelles choses. De travailler ton imagination. D’ouvrir des espaces de créativité.
Donc je t’invite vraiment à te demander :
Je t’invite donc à prévoir des créneaux spéciaux « remplissage de réservoir ».
Par exemple, moi 15′ de marche dans la nature, ça me donne beaucoup d’énergie, ça m’aide à revenir bien plus concentrée, à avoir même des idées bien plus créatives. Ça m’aide beaucoup à lâcher le mental aussi, à revenir à mon essentiel, à écouter mon intuition.
Et que c’est seulement quand les besoins les plus essentiels sont assouvis que nous pouvons nous ouvrir à d’autres choses.
Et je parle de le prévoir de façon régulière, parce que si tu attends que ton réservoir soit totalement à sec, ça va être très dur de remonter la jauge.
Donc mieux vaut le faire régulièrement, même si c’est moins longtemps peut-être.
Cet équilibre est différent selon chacun. Il n’y a pas de norme, c’est vraiment propre à toi.
Donc là aussi, autorise toi à faire selon tes besoins à TOI.
Qu’est-ce que je veux dire par là ?
C’est de t’assurer que ton entreprise te laisse suffisamment d’espace et de temps pour profiter des sphères personnelles qui te sont importantes.
Par exemple, je vois régulièrement des Mamans qui culpabilisent de ne pas prendre suffisamment de temps avec leurs enfants, en tout cas pas à la hauteur de leurs besoins.
Et donc moralement, elles sont pas tout à fait au travail parce qu’elles voudraient être avec leurs enfants. Et quand elles sont avec leurs enfants, elles culpabilisent de ne pas travailler davantage.
C’est le problème quand on ne s’est pas proposer un cadre clair.
Pour avoir fait le « test » avec bon nombre de mes coachées, ça change tout quand elles s’autorisent vraiment un temps avec leurs enfants. Quand c’est clair pour elles que tel jour, à telle heure, c’est pour la famille. Et elles remplissent pleinement leur jauge.
Ce qui fait que quand elles retournent au travail, elles sont disponibles pour leur travail.
Elles n’ont pas le cerveau coupé en deux.
Si tu ne t’y autorises pas, à vivre ce qui est essentiel pour toi, tu perds sur les deux tableaux, personnellement et professionnellement.
Alors que si tu prends ce temps là, vraiment, en conscience, y’a fort à parier que, ton réservoir rempli, tu seras bien plus efficace et bien plus inspirée, dans ta vie professionnelle.
Et inversement, sans doute de meilleure humeur et davantage disponible dans ta vie perso.
C’est d’ailleurs pour ça que des collègues rigolent parfois en disant « Nicole, c’est la seule coach qui te dit de faire un atelier crêpes avec tes enfants pour booster ton entreprise » !
Et oui… ça paraît peut-être fou au premier abord.
Mais pour booster son entreprise, il faut se sentir épanouie et en équilibre. Et ça passe, par ça aussi !
Il n’y a donc aucune raison de restreindre ces besoins là !!!
Là on parle de la famille, qui est une valeur très forte.
Mais ça pourrait être par exemple, l’aventure, ou le besoin de se prendre un temps pour méditer avant de démarrer ses journées.
Et bien, sache qu’en faisant ça, c’est aussi dans l’intérêt de ton entreprise, alors tu n’as aucune raison de t’en priver !
A travers tous ces exemples, là, en réalité, ce que je t’invite à faire, c’est de veiller à respecter l’équilibre de ses différents types de temps (perso/pro/pour soi, et non temps).
Si tu n’es pas très au fait de ces notions là, je t’invite à écouter les épisodes de Même Pas Peur, 002 et 003 : https://www.nicolegevrey.fr/quest-ce-qui-remplit-ton-reservoir-e002/
https://www.nicolegevrey.fr/comment-faire-de-la-place-pour-ce-qui-compte-pour-moi-eoo3/
C’est notamment en lisant le livre de Fabien Olicard « votre temps est infini » que j’ai pris conscience de ces différents temps, et la nécessité de veiller à chacun.
Certaines personnes ont besoin de beaucoup de solitude, ou au contraire, d’être au maximum entourées.
Donc, au risque de me répéter, autorise toi à faire selon ce qui est important pour toi !
Et ainsi de te proposer un cadre de travail qui te soit confortable, et qui te permettra d’être au top de ta forme.
Donc cette question est essentielle : est-ce que j’ai besoin d’être seule ou au contraire de travailler à plusieurs ?
Par exemple, si tu as besoin de sociabilité, même si c’est compliqué en cette période, si tu as repéré que c »était un booster pour toi,
d’en prendre conscience ET de savoir que c’est important aussi pour ton business, et bien tu peux te prévoir un appel zoom avec d’autres entrepreneurs une fois par semaine ou par mois par exemple.
ça peut être aussi besoin de nouveauté, donc si c’est mon cas, qu’est-ce que je peux me proposer pour ramener ça dans ma vie ?
Ou d’apprendre ! Auquel cas, ça serait bien que je me prévois un temps par semaine, par mois, selon toi, pour nourrir ce besoin là.
Noter ce qui fait ton essentiel, tes besoins actuels, par exemple sous la forme d’un mind-mapping, à compléter au fur et à mesure que qqch te vient.
Pour connaître ses besoins : être à l’écoute de soi, de ses émotions, ce qu’elles viennent nous dire, de son corps aussi, comment il réagit. Etre à l’écoute si tu te sens plus envahie à certains moments, plus inspirée à d’autres, etc.
Combien tu coches déjà de cases ?
Est-ce que ton organisation actuelle, ton rythme, etc, répondent à ce besoin là ?
Comment tu peux t’en rapprocher encore plus ?
Je t’invite à veiller vraiment à ce que ces besoins soient le plus possible comblés.
En fait, c’est assez traitre, parce que ce n’est pas forcément naturel de répondre à ces besoins là.
Donc vigilance +++ !
Sûrement parce qu’entrent en compte des croyances, des blocages, des peurs, des sentiments comme la culpabilité, des normes dont il est difficile de s’extraire, etc.
Comme nous l’a bien expliqué Maslow, il est impossible de travailler sur certains besoins si les plus essentiels ne sont pas comblés.
Par exemple, si ton sommeil n’est pas de bonne qualité, il ne serait pas étonnant que ce soit compliqué sur d’autres pans de ton activité.
Voir les choses sous cet angle, ça permet aussi de relativiser si tu rencontres certains blocages, et que tu ne trouves pas comment les dépasser.
Revenir aux bases, s’assurer que tes besoins essentiels sont comblés, ou travailler dessus, peut être une super piste d’exploration.
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions,
pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
Découvrir le coaching professionnel
pour celles qui veulent vivre sereinement de leur passion et retrouver du sens dans leur vie professionnelle.
Dans l’épisode d’aujourd’hui, on va s’intéresser aux émotions que l’on peut ressentir face à des clients, des partenaires, et… on va se demander si c’est bon pour notre business ou pas.
Peut-être que ça t’est déjà arrivé, d’avoir une forte montée d’émotion, dans le cadre de ton travail. Et peut-être que tu t’es sentie mal à l’aise d’avoir vécue cette expérience émotionnelle.
En tout cas, ce que je voudrais qu’on explore ensemble toutes ces émotions qui nous habitent et que nous pourrions partager, volontairement ou involontairement…
Quand j’ai démarré professionnellement, que ce soit dans mon travail précédent, ou même à mon compte, j’avais l’impression qu’il fallait absolument que je maîtriiiiise mes émotions, que je ne laisse rien transparaître, pour être prise au sérieux. Pour « faire » pro.
Bon depuis, j’ai appris à casser cette croyance limitante, et ça m’a tellement libéré de m’autoriser à vivre mes émotions, même dans la vie professionnelle, surtout dans la vie professionnelle,
que j’ai envie d’apporter de l’eau à ton moulin, quelques pistes de réflexion, si toi aussi ça te pose question ou problème, cette belle sensibilité, dans la sphère sociale de ton entreprise, que tu puisses commencer à égratigner toi aussi tes croyances.
Cette semaine, on va s’intéresser à l’autre versant du miroir, en intégrant le monde extérieur à notre réflexion.
Comment on peut utiliser nos émotions dans notre vie professionnelle, dans l’intérêt de tous ?
Parce que, comme on l’a déjà vu, taire et cacher nos émotions, c’est bon pour personne.
D’abord pas pour soi.
Et puis on va voir que ce n’est pas non plus dans l’intérêt des autres que l’on n’exprime pas ces émotions.
Si tu es dotée d’une belle sensibilité, alors la réduire au maximum, la verrouiller à double tour dans l’espace le plus petit possible,
pour emprunter le costume du soi-disant professionnel détaché, qui sait mettre ses émotions à distance, n’est vraiment pas bon pour toi.
Ce costume là, va sûrement très bien à plein de monde.
Mais… si tu sens que tes belles émotions sont bien trop à l’étroit dans ce costume trois-pièces, alors ce n’est pas un costume sur mesure pour tous.
Mais bon, ça, je suis sûre que tu le sais ou tu t’en doutes déjà.
Je voudrais surtout profiter de cet épisode pour t’aider à voir tout ce qu’il y a de positif dans le fait d’utiliser nos émotions pour notre business.
Toi, tu es une créative, tu bosses avec tes tripes. Et je suis sûre que tu rêves que tes clients aient un coup de cœur pour ce que tu proposes.
Un coup de cœur, ça fait appel à l’émotionnel…
Et il n’y a pas de place pour l’émotionnel quand tout est lisse et parfaitement sous contrôle.
Sans vie.
Alors, pour créer un lien avec ta communauté, avec tes prospects, avec tes clients, ton humanité est ton plus bel atout professionnel.
C’est ce qui va faire qu’au delà du produit ou la prestation que tu proposes, ils verront le coeur qu’il y a à l’intérieur.
Etre sérieuse, professionnelle, ne se résume pas à être « sans émotion », au contraire.
Si tu as besoin d’en être convaincue, tu peux noter tout ce qui fait déjà que, dans ta démarche, dans ton process, dans l’expérience client, ils pourront s’assurer que tu es professionnelle, rigoureuse,
Ce sont deux choses distinctes : il est tout à fait possible d’être à la fois super rigoureuse par exemple sur les délais ou sur l’investissement, et rire à gorge déployée ou pleurer à chaude larme avec ses clients.
Où se situe ta valeur ajoutée professionnelle à toi ?
Est-ce que vraiment, elle tient dans ce costume gris et terne dans lequel tu cherches à rentrer ?
Dans la relation clientèle, exprimer ses émotions, se montrer tel que l’on est, permet de créer un lien de confiance.
Non seulement, ça montre que tu es bien humaine !
Et ça, si les gens te contactent toi, qui bosse avec tes tripes, et ton coeur, c’est bien parce qu’ils veulent d’abord le résultat de l’humaine qui est en toi, pas la partie robot 😛
Je te disais en préambule, que lorsque j’avais démarré, je n’osais pas montrer mes sentiments, par peur de ne pas paraître professionnelle.
Si je me souviens de mes premiers rdvs avec des futurs mariés, par exemple.
Je me préparais bien avant, je révisais tout ce qui pouvait être un atout dans ma façon de travailler. Mais j’avais oublié que mon principal atout pour être la meilleure photographe possible, c’était justement mes émotions.
Tout a changé dans ma relation client dès lors que je me suis autorisée à leur expliquer exactement qui j’étais et quel impact ça avait sur ma façon de travailler.
D’une part, les futurs mariés pouvaient davantage percevoir si ça leur convenait ou pas, et la valeur de mon travail aussi, et également pourquoi ils feraient appel à moi plutôt qu’à quelqu’un d’autre.
Etre autant que possible authentique, permet d’engager une relation de confiance.
Une jeune femme que j’ai accompagné il y a peu, qui débutait son projet d’entreprise, et qui se sentait vraiment fébrile dans son positionnement professionnel.
Pour lancer un projet qui lui tenait à coeur, elle devait contacter des professionnels qui étaient bien installés sur son secteur, et ça lui faisait vraiment peur. Elle avait l’impression de ne pas être assez avancée dans son projet, de ne pas être assez professionnelle en fait. Sauf qu’elle ne pouvait pas donner vie à son projet tel qu’elle l’imaginait, sans passer ces coups de fil.
Alors on a passé du temps lors d’un rendez-vous à décortiquer ces peurs, à quoi elles tenaient, et comment elle pouvait avancer, en prenant ses peurs par la main, pour passer ces coups de fil.
Et ce qui a été le déclic pour elle, ça a été de prendre conscience qu’elle avait le droit d’être vulnérable, que ça n’enlevait rien à la beauté de son projet.
Quand elle a passé ces coups de fils, elle s’est montré authentique. Elle s’est autorisée à dire qu’elle était un peu anxieuse par exemple, ou
Et tu l’auras sûrement deviné, ces coups de fils se sont très bien passés ! Et je suis sûre que, de s’être montrée authentique, a réellement changé la donne de cet échange. Ses interlocuteurs ont pu accéder véritablement à ses belles intentions.
Quand on ressent du stress par exemple.
D’abord, de le verbaliser, ça fait déjà baisser la pression.
En effet, ça crée une forme de connexion avec les autres, ça crée de l’empathie, du lien lien là encore.
Et nous, ça nous libère de ses pensées, elles n’ont plus lieu d’être.
C’est un moyen d’accueillir cette émotion. Et donc d’éviter l’escalade émotionnelle.
Dans un prochain épisode, on parlera de la vulnérabilité. A quel point c’est une force.
Mais déjà, là, tu peux retenir, que dans la grande majorité des situations, on attend pas de toi d’être au carré, même et surtout dans ta place de solopreneur.
Au contraire, ta clientèle a besoin de se connecter à toi, de voir que vous vous ressemblez, que tu comprends ses besoins, …
Prenons l’exemple d’une photographe de famille, qui cherche à travailler avec des mamans parfaitement imparfaites.
Elle veut leur montrer combien elles sont parfaites dans leurs imperfections.
Mais elle ne s’autorise pas elle-même à accepter ces émotions qu’elle ressent au fond d’elle. Et encore moins, à partager avec ces mamans qui pourtant auraient bien besoin de savoir qu’elles peuvent être en confiance avec elle.
Tout va changer à partir du moment où elle va communiquer sur ses réelles émotions de maman parfaitement imparfaite.
Non seulement cette photographe va se libérer elle, en se défaisant d’un costume qui n’est pas à sa taille.
Mais en plus de ça, toutes les mamans parfaitement imparfaites vont se sentir en confiance avec elle. C’est donc un magnifique cadeau à leur faire, qu’elles puissent s’autoriser à se sentir en confiance avec une photographe, et s’offrir les souvenirs qui leur tiennent à cœur.
Donc, pour aller au bout de cet exemple, c’est aussi de la responsabilité de cette photographe, de partager avec sérénité et authenticité. De faire savoir à toutes les mamans du monde que quelqu’un les comprend à ce point et veux montrer combien elles sont parfaites telles qu’elles sont.
Vivre ses émotions pleinement, dans la relation client, permet donc d’attirer à soi des clients qui nous ressemblent, avec qui on partage des valeurs communes. Et donc vivre une belle relation professionnelle.
Si t’es encore là, à écouter ce podcast, sans doute que tu as construit ton entreprise avec tes tripes. Et que tu as envie de faire vivre de belles émotions à tes clients, quel que soit ce que tu proposes.
Tes clients viennent donc pour ça. Vivre une expérience émotionnelle.
Et, sous prétexte que tu craignes de ne pas faire « pro », ou toute autre croyance limitante, qui t’empêche d’être toi-même auprès de tes clients,
tu les empêches, eux, tes clients, de vivre pleinement cette expérience émotionnelle à laquelle ils aspirent.
Plus toi tu vas ouvrir ton cœur, plus eux vont s’y autoriser aussi.
Et tout ça, c’est hyper puissant !
D’un point de vue humain, déjà ! On ne va pas se le cacher, on est là pour vivre de belles émotions !
Et d’un point de vue entreprenarial aussi.
Plus tes clients ont vécu une expérience émotionnelle forte, plus ils auront envie d’en parler autour d’eux, de laisser des témoignages…
Et c’est ainsi que se met en marche un cercle vertueux qui continue de t’apporter des clients qui te ressemblent, qui partagent tes valeurs, qui
Parce que commencer à l’imaginer, c’est déjà te donner un peu la liberté d’être qui tu es réellement.
Et ça, c’est un merveilleux cadeau à te faire, mais aussi à faire à tes futurs clients qui n’attendent que ça, trouver une personne merveilleusement humaine, qui fait de ses émotions un atout pour pouvoir leur offrir le meilleur.
Tu seras la plus professionnelle qui soit, en étant pleinement toi.
Tu n’as pas à choisir entre avoir un business, être entrepreneure, vivre de sa passion, ET vivre tes émotions. Les deux vont non seulement de paire, mais en plus ils s’auto-alimentent merveilleusement comme on vient de le voir dans cet épisode et le précédent.
Alors sans plus tarder, demande toi, à quel niveau de l’expérience de ton client tu peux t’autoriser à partager davantage d’émotions ?
Sur cette belle réflexion, je te souhaite une magnifique semaine !
Chaque semaine, je te propose de partir en quête d’inspiration, d’outils, de décortication des émotions,
pour gagner toujours plus en sérénité et en liberté.
Je te souhaite une bonne écoute ♥
Je m’appelle Nicole, et je suis une grande émotive.
Les émotions sont très présentes dans ma vie personnelle et professionnelle.
Je suis photographe de famille, et j’ai à cœur de saisir les émotions générées par les liens avec ceux qu’on aime, pour qu’ils deviennent un précieux patrimoine.
Et je suis également coach. J’accompagne dans ce contexte des passionnés à trouver un équilibre entre les émotions créatives qui proviennent de leurs tripes et de leurs coeurs, et l’indispensable casquette de chef d’entreprise. Tout un panel d’émotions, vous vous doutez bien.
Les émotions ont contrôlé une partie de ma vie. Aujourd’hui, je cherche à les comprendre, et à partager mes réflexions et astuces, et planter des petites graines de sérénité ici et là.
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