[FR] Pour ce sixième épisode, on a tendu le micro à Roxanne Peguet et Jules Waringo, deux artistes qui cumulent les rôles : auteur·ices, acteur·ices, réalisateur·ices, producteur·ices…On a parlé de leurs courts-métrages tournés au Luxembourg, de leur manière de créer à deux, d’autonomie, de débrouille, et des réalités concrètes de produire quand on veut aller vite, droit, et librement.Ils racontent comment ils fabriquent leurs projets de A à Z, les choix qu’ils font ensemble ou séparément, et cette énergie collective qui fait tenir un film debout.Une discussion fluide, honnête — sur le travail, le rythme, et le plaisir de faire.

[ENG] For this sixth episode, we handed the mic to Roxanne Peguet and Jules Waringo — two artists who move across roles: writers, actors, directors, producers…We talked about their short films made in Luxembourg, their collaborative process, autonomy, resourcefulness, and what it takes to carry a project from start to finish when you want to move fast and stay free.They share how they build their films from the ground up, how they split the work, and how working as a duo brings both clarity and momentum.A candid, focused conversation — about work, rhythm, and the joy of making.

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[FR] Pour ce cinquième épisode, on a tendu le micro à Jacques Boumendil, chef opérateur, directeur de la photographie, témoin privilégié de plus de 50 ans d’histoire du cinéma.On a parlé de son parcours hors normes : des débuts à la télévision dans les années 60, à Pink Floyd à Pompéi, en passant par la révolution de la lumière au cinéma. Il raconte ses premières images, ses inspirations, ses coups de gueule, et ce que veut dire transmettre un métier qui se fait dans l’ombre.Une conversation vive, généreuse, et précieuse.

[ENG] For this fifth episode, we handed the mic to Jacques Boumendil, cinematographer and director of photography with over 50 years of behind-the-scenes experience in cinema.We spoke about his singular path: starting in 1960s French television, shooting Pink Floyd in Pompeii, and helping shape a revolution in how light is used on screen. He shares his first images, major influences, frustrations, and what it means to pass on a craft done in the shadows.A lively, generous, and invaluable conversation.

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[FR] L’acteur Félix Lefebvre nous parle du film Le Domaine, de son travail avec le réalisateur Giovanni Aloi, et de sa construction progressive de rôles toujours plus complexes.On évoque les voix off, les débuts au théâtre, la découverte de soi à travers les personnages, et la manière dont un acteur peut se transformer – physiquement et intérieurement – pour servir un film.Une conversation généreuse et honnête sur le doute, la curiosité, les auditions qui changent une vie… et les rôles qu’on ne vous imagine pas jouer.Écoutez maintenant — lien en bio.

[ENG] Actor Félix Lefebvre joins us to talk about Le Domaine, his collaboration with director Giovanni Aloi, and the way he gradually crafts more layered and demanding roles.We discuss voiceovers, early stage work, discovering yourself through characters, and the physical and emotional shifts an actor undergoes to serve a story.A candid and generous exchange about doubt, curiosity, career-defining auditions… and playing roles no one expected you in.Now streaming — link in bio.

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[FR] Pour ce troisième épisode, on s’est assis avec Alexis Juncosa, directeur artistique du Luxembourg City Film Festival. À peine sorti d’une nouvelle édition du festival, il revient sur le chemin parcouru : la construction patiente d’un événement international, la recherche de sens dans un monde saturé d’images, et les mille petits gestes qui façonnent un espace de rencontre.

On a parlé de la programmation comme acte de transmission, du doute comme moteur de création, et de l'importance de créer des ponts entre artistes, publics, et institutions.

Une conversation dense, posée — avec le temps de revenir sur les origines, de nommer les tensions, et d’imaginer la suite.

Disponible dès maintenant.

[ENG] For this third episode, we sat down with Alexis Juncosa, Artistic Director of the Luxembourg City Film Festival. Fresh off a new edition of the festival, he reflects on the journey so far — how a local project became an international event, how meaning can be built in a world flooded with images, and how festivals are shaped by countless decisions.

We spoke about programming as a form of transmission, doubt as a creative tool, and the importance of forging connections between artists, audiences, and institutions.

A rich, grounded conversation — with time to go back to the roots, name the tensions, and imagine what’s next.

Now streaming.

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[ENG] For this second episode, we sat down with filmmaker Saulė Bliuvaitė. Her first feature film Toxic has just completed its festival run, and we talked about the long journey behind it — five years of writing, shooting, editing, promoting — but also about rhythm, intuition, and the difficulty of preserving your original vision.

Saulė shared insights into working with first-time actors, building trust on set, and balancing precision with spontaneity. We discussed how much of herself is infused into her characters, the way young people try on different masks to belong, and the contradictions of growing up.

A thoughtful conversation, between interviews — with space to explore, question, and pause.

Now streaming.

[FR] Pour ce deuxième épisode, on s’est assis avec la réalisatrice Saulė Bliuvaitė. Son premier long-métrage Toxic vient de clore son parcours en festival, et on a parlé de cette aventure — cinq ans d’écriture, de tournage, de montage, de promotion — mais aussi du rythme, de l’intuition, et de la difficulté de rester fidèle à sa vision initiale.

Saulė a partagé son expérience de travail avec des acteurs qui tournaient leur premier film, de la construction de la confiance sur le plateau, et de l’équilibre entre précision et spontanéité. On a évoqué la part d’elle-même qu’elle a insufflée dans ses personnages, la manière dont les jeunes portent différents masques pour appartenir, et les contradictions de l’adolescence.

Une conversation posée, entre interviews — avec le temps d’explorer, de douter, et de ralentir.

Disponible dès maintenant.

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[FR] Pour ce tout premier épisode, on s’est assis avec le clarinettiste Arthur Stockel. Il vient de sortir son nouvel album, Weber : Concertos & Quintette pour clarinette (Aparté Music), et on a parlé de cette expérience — mais aussi de tout ce qui entoure la musique : le public, la manière dont on définit les styles, et la richesse de naviguer entre plusieurs genres et cultures.

Arthur revient sur ses expériences dans des orchestres internationaux de jeunes, sur ce que ça représente de porter un projet de la répétition à la scène, et sur l’intérêt parfois de laisser les définitions de côté.

Il termine l’épisode par une carte blanche musicale : Scène de Plage, Ciel d’Orage de Gilles Silvestrini — un bis pour celles et ceux qui restent jusqu’au bout.

Une conversation tranquille, entre interviews — avec le temps de réfléchir, de ralentir, et de se disperser.

Disponible dès maintenant.

[ENG] For our very first episode, we sat down with clarinetist Arthur Stockel. He just released his new album, Weber: Clarinet Concertos & Quintet (Aparté Music), and we talked about the experience of recording it — but also about everything that surrounds music: the audience, how we define styles, and the richness of working across genres and cultures.

Arthur reflects on his time in international youth orchestras, on what it means to carry a project from rehearsal to stage, and on why it sometimes helps to let go of definitions.

He ends the episode with a carte blanche performance: Scène de Plage, Ciel d’Orage by Gilles Silvestrini — an encore, for those who stay until the end.

A calm conversation, in between interviews — with time to reflect, slow down, and gently drift.

Now streaming.

Merci a Valentin Thierry pour le support et le montage!

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