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Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thomas Castaignède, ancien international français de rugby, double vainqueur du tournoi des Cinq Nations, vainqueur du tournoi des Six Nations et quadruple champion de France avec le Stade Toulousain.
Pourtant titré à de multiples reprises dans sa discipline, Thomas Castaignède commence ce podcast par une réflexion toute personnelle qu'il a eu au cours de carrière : "Ça doit être incroyable de se dire qu'on est vraiment le meilleur du monde, contrairement aux sports collectifs où l'on peut se cacher derrière les autres." (2:05) Une réflexion qui va mener la discussion vers ses débuts dans le rugby et comment il a arrêté pendant deux ans d'y jouer pour pratiquer l'athlétisme à cause d'un sacré caractère.
Thomas raconte ensuite son passage au Castres Olympique et sa rencontre avec Pierre Fabre, un homme qui a changé sa vie selon ses propres mots. Un homme qui lui a permis de traverser sa vie de sportif, une "vie cruelle" comme il le dit, de la meilleure manière possible. (9:03) Il compare son expérience avec la génération actuelle et s'inquiète de la santé mentale des joueurs une fois leur carrière terminée.
Le natif de Mont-de-Marsan évoque ses plus beaux souvenirs et notamment son premier jour dans le vestiaire du Stade Toulousain, alors occupé par une grande partie du XV de France de l'époque... Mais aussi d'autres plus douloureux à l'image de sa blessure au tendon d'Achille (21:30)
Joueur du Stade Toulousain entre 1994 et 1997, Thomas Castaignède, qui s'est investi dans le club par la suite, a eu la chance de voir les débuts d'Antoine Dupont, qu'il n'a "jamais vu être mauvais". Il raconte ensuite les autres champions qu'il a pu rencontre tout au long de sa carrière de Jonny Wilkinson à Tim Horan en passant par Jonah Lomu ou Serge Blanco. (30:08)
Enfin, il évoque en un mot l'évolution du rugby qui selon lui, est passé d'un sport collectif à un sport beaucoup plus individualisé, notamment dans sa préparation. Une évolution qu'il n'apprécie guère. (45:34)
Bonne écoute !
Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :
Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"
Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"
Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"
Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.
Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.
Animation : Flo Masnada
Production : Eurosport
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thomas Castaignède, ancien international français de rugby, double vainqueur du tournoi des Cinq Nations, vainqueur du tournoi des Six Nations et quadruple champion de France avec le Stade Toulousain.
Pourtant titré à de multiples reprises dans sa discipline, Thomas Castaignède commence ce podcast par une réflexion toute personnelle qu'il a eu au cours de carrière : "Ça doit être incroyable de se dire qu'on est vraiment le meilleur du monde, contrairement aux sports collectifs où l'on peut se cacher derrière les autres." (2:05) Une réflexion qui va mener la discussion vers ses débuts dans le rugby et comment il a arrêté pendant deux ans d'y jouer pour pratiquer l'athlétisme à cause d'un sacré caractère.
Thomas raconte ensuite son passage au Castres Olympique et sa rencontre avec Pierre Fabre, un homme qui a changé sa vie selon ses propres mots. Un homme qui lui a permis de traverser sa vie de sportif, une "vie cruelle" comme il le dit, de la meilleure manière possible. (9:03) Il compare son expérience avec la génération actuelle et s'inquiète de la santé mentale des joueurs une fois leur carrière terminée.
Le natif de Mont-de-Marsan évoque ses plus beaux souvenirs et notamment son premier jour dans le vestiaire du Stade Toulousain, alors occupé par une grande partie du XV de France de l'époque... Mais aussi d'autres plus douloureux à l'image de sa blessure au tendon d'Achille (21:30)
Joueur du Stade Toulousain entre 1994 et 1997, Thomas Castaignède, qui s'est investi dans le club par la suite, a eu la chance de voir les débuts d'Antoine Dupont, qu'il n'a "jamais vu être mauvais". Il raconte ensuite les autres champions qu'il a pu rencontre tout au long de sa carrière de Jonny Wilkinson à Tim Horan en passant par Jonah Lomu ou Serge Blanco. (30:08)
Enfin, il évoque en un mot l'évolution du rugby qui selon lui, est passé d'un sport collectif à un sport beaucoup plus individualisé, notamment dans sa préparation. Une évolution qu'il n'apprécie guère. (45:34)
Bonne écoute !
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