C’est l’entente que le président Trump et le président Zelensky devaient signer à la Maison-Blanche en février dernier. Une rencontre qui avait tourné au vinaigre. Cette fois, l’accord entre les États-Unis et l’Ukraine s’est conclu d’une façon beaucoup plus discrète.

À la tête d'un gouvernement minoritaire, le nouveau premier ministre s'est déjà mis à la tâche. Mark Carney a eu une conversation téléphonique avec Donald Trump hier.

Le Parti libéral a remporté l’élection, mais il est encore impossible de dire si le prochain gouvernement sera majoritaire ou minoritaire en chambre.

Samedi soir, un festival célébrant la culture philippine a tourné au cauchemar, quand un conducteur a foncé sur la foule avec son véhicule.

Le chef de la diplomatie russe affirme que Moscou est prête à conclure un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine, après un avertissement de Donald Trump à Vladimir Poutine à la suite de frappes meurtrières sur Kiev.

Depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux États-Unis et le climat incertain dans les universités américaines, l’Europe a lancé une véritable « chasse aux cerveaux ».

La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec craint que le gouvernement Legault soit tenté de désinscrire près de 5 millions de patients québécois de leur médecin de famille, pour faire de la place à ceux dont l'état de santé est vulnérable. Le ministre Christian Dubé avait nié cette possibilité l'automne dernier, mais la fédération prétend que ça fait bel et bien partie d'une négociation avec le gouvernement.

À moins d’une semaine du vote, le décès du pape François a éclipsé les annonces des partis hier. La journée d’aujourd’hui sera ponctuée par le dépôt du cadre financier du Parti conservateur, le dernier à le faire.

Le pape François est mort ce matin à l'âge de 88 ans. Le souverain pontife était sorti de l'hôpital le 23 mars après avoir été hospitalisé pendant 38 jours pour une double pneumonie. Il avait été élu chef de l'Église catholique en 2013.

Les chefs des principaux partis ont de nouveau croisé le fer dans le cadre du débat en anglais hier soir. Comme lors du débat en français, le ton était, dans l’ensemble, respectueux, sans cacophonie. Encore une fois, Mark Carney, le chef libéral était la principale cible de ces trois autres adversaires.