Depuis quelques mois, j'entends souvent les gens se plaindre des victimes qui passent par les réseaux sociaux plutôt que par les tribunaux. J'ai voulu donner la parole à quelqu'un qui a tenté la voie des tribunaux.   Myriam Leroy a eu la générosité de partager son parcours pendant une heure. On couvre plus de sujets que prévus, il y a des digressions, mais il y a surtout une histoire très intéressante: la sienne.   Je vous fais l'économie des citations les plus intéressantes ici. Ce ne serait pas leur rendre justice de les sortir de leur contexte.

Quelques années plus tard, je tente le même exercice. Je réponds à la question: "Selon toi, quel est l'avenir de la comédie ?"

Selon moi, le retour de la comédie se fera dans un contexte ultra-festif d'après-guerre. Les sujets n'auront jamais été aussi sérieux. Il y aura 100 mutations en simultanés en ce qui concerne la forme. Et en moins de six mois, on aura un nouveau mutant ultra-performant.

Pendant deux épisodes, je réponds à vos questions sur l'humour.

"On ne peut plus rien dire ?"

"Est-ce que l'humour est une thérapie ?"

"Est-ce que les gens sont devenus fragiles?"

Et plein d'autres questions. Dans ces deux numéros spéciaux en mode FAQ.

Pour ce 3e numéro dans la série sur la comédie, je parcours le livre Histoires Drôles volume 13, reçu quand j'étais jeune. Il fait suite à la lecture de Histoires Drôles volume 1 dans le numéro 66. Je tente à nouveau de faire rire mon épouse. Je croise quelques bons gags et je survis à plusieurs échecs.

En décembre 2013, je me suis assis pour écrire ma vision de l'humour la  suite. Comme d'habitude dans ce genre d'exercice, le plus intéressant  est de le revisiter quelques années plus tard pour essayer de déceler ce  qui était juste et là où on était complètement à côté de l plaque.

Tout est étrange dans ce podcast. J'ai voulu expliquer pourquoi je suis disparu pendant trois semaines. À la fin du podcast, je me suis rendu compte que j'avais fait une erreur. Il a été enregistré par le micro de mon ordinateur plutôt que mon micro. Mais je sais que je ne serais pas capable de raconter cette histoire une deuxième fois avec la même sincérité.

J'ai travaillé le son pour que ce soit aussi audible que possible. Mais je voulais vous prévenir qu'il sera moins bon que d'habitude.

Bref,  j'ai passé 25 minutes à vous raconter mes traumatismes des trois dernières semaines. Et je suis content de vous retrouver. (Vraiment, pas l'expression que tu dis quand tu ne sais pas comment terminer une description.)

Pour la première fois, je propose une  fiction. Par contre: TW !!  Ce n'est pas une histoire joyeuse. Du tout. 

Le titre ne laissait pas présager une énorme  poilade, mais ça me  semblait important de le préciser ici aussi.   

J'ai hésité longtemps avant de l'enregistrer, mais au final, je trouve que ça correspond à l'esprit du projet: Créer quelque  chose qui soit toujours différent, mais toujours sincère.  

 Je suis évidemment curieux d'avoir vos retours, donc n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé. De l'idée de faire parfois des fictions ou de celle-ci.

J'ai dû prendre quelques décisions importantes sur le plan professionnel et comme toujours, je suis allé chercher conseil dans un cimetière.  Ou comment l'aura des gens qu'on a aimé continue d'avoir un impact même après leur décès. Une réflexion sur ce qui est glauque versus ce qui est apaisant.

Dans un récent podcast, j'ai demandé quelle genre de blague serait, selon vous, vue comme déplacée dans le futur alors que "tout le monde" semble à l'aise de les faire aujourd'hui.   

Après être passée  dans le podcast au début du confinement, mon épouse  revient pour un suivi. Elle parle de ses crises, d'un été difficile, de  la façon dont les gens qui ont une maladie mentale ne sont que rarement  ceux qui en parlent. Et surtout, elle est là pour livrer un très joli  message que je ne vais pas spoiler ici.