L’informatique nous a envahis. L’heure est à la mobilité intelligente.
Les écrans sont partout. L’informatique nous a envahis. Pas un secteur n’échappe à son site Internet et à son application mobile. La filière automobile n’en est pas exempte. On peut acheter, vendre, louer, partager sa voiture sans bouger, depuis son canapé.
Adieu la voiture individuelle, vive la voiture partagée et connectée. L’heure est à la mobilité intelligente : celle qui prévoit les accidents, qui décide des itinéraires, qui gère la consommation de carburant… Que l’on soit à Amsterdam, Bruxelles, Paris, Londres, Tokyo ou Pékin, la préoccupation est la mêmes. Faire des centres-villes des zones moins encombrées et moins polluées par les voitures, motos et autres camions. Dans le viseur, on trouve évidemment l’aspect technique et financier, mais aussi et surtout sanitaire. Les maladies respiratoires inquiètent autant le corps médical que la classe politique. Un pays peu difficilement s’enorgueillir aujourd’hui de prospérer et de polluer.
Eliminer les véhicules
Pour autant, nulle n’ait besoin d’employer les grands moyens pour arriver à ses fins : éliminer les véhicules des centres urbains. La solution doit passer par les réseaux. C’est le networking. C’est sur lui que misent les observateurs pour prédire la mobilité multimodale des années à venir.
On connaît tous Uber, Blablacar et les autres. Ces plateformes permettent tantôt d’obtenir un taxi à tarif réduit, tantôt de partager le coût d’un transport à plusieurs. On connaît également les acteurs de la mobilité innovante. Ce sont entre autres les véhicules électriques autonomes, loués ou à la demande. Ce sont aussi les vélos électriques et leurs services associés. Il découle de ces nouvelles façons de rouler moins de véhicules sur les routes. Ce qui est un bon point pour faire des économies, mais également pour lutter contre la pollution atmosphérique.