Aujourd’hui, nous parlons d’un sujet qui touche des millions de femmes dans le monde, souvent sans même qu’elles ne le sachent : le syndrome des ovaires polykystiques, plus connu sous le nom de SOPK. En particulier nous aborderons son lien avec la résistance à l’insuline et ce qu’il est possible de faire pour l’améliorer ou le renverser. 

Statistiques sur le SOPK

Les critères diagnostiques :

1. Anovulation chronique ou ovulation irrégulière

2. Hyperandrogénie clinique ou biologique

3. Ovaires polykystiques à l’échographie

   
   

Ce ne sont pas des kystes.

Problème de fertilité, mais aussi désordre métabolique et hormonal complexe qui affecte la santé physique, mentale et émotionnelle des femmes qui en sont atteintes.

Les phénotypes

Le SOPK ne se limite pas aux ovaires, et est évolutif.

La résistance à l’insuline est l’un des mécanismes les plus courants associés au SOPK, mais elle n’est pas seule en cause.

Les symptômes courants du SOPK

L’insuline, la pierre angulaire 

Le test de Kraft

Pourquoi toutes les femmes qui ont une résistance à l'insuline n'ont pas toutes un SOPK?

Les approches thérapeutiques naturelles et pharmacologiques

Le jeûne et le cycle menstruel

Les produits naturels qui peuvent aider

L’approche pharmacologique : module les symptômes

C’est maintenant l’heure de l’astuce de la semaine : il faut écouter l'épisode pour la connaître

Les messages clés de l’épisode sont : 

• Le SOPK est un syndrome systémique, pas seulement un trouble ovarien.
  Il affecte plusieurs systèmes du corps (métabolique, hormonal, émotionnel) et ne se limite pas à la fertilité ni à la présence de kystes sur les ovaires.

• La résistance à l’insuline est un facteur central du SOPK.
  Elle concerne jusqu’à 70 % des femmes atteintes, parfois de façon subtile, et alimente un cercle vicieux hormonal et inflammatoire aux conséquences multiples.

• Une prise en charge globale et personnalisée est essentielle.
  Nutrition adaptée, exercice musculaire, gestion du stress, bon sommeil et, au besoin, soutien pharmacologique ou naturel permettent d’agir sur les causes profondes plutôt que de masquer les symptômes.

Nous aimerions remercier chaleureusement la gynécologue Martine Aubry pour sa relecture du présent épisode et ses conseils judicieux. 

Pour en savoir plus sur le SOPK et son lien avec la résistance à l’insuline et que vous lisez l’anglais, nous vous suggérons le livre PCOS Plan de Nadia Pateguana, préfacé par Dr Jason Fung. 

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