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By Être bien avec soi • Fréquence Terre
The podcast currently has 144 episodes available.
Vous êtes nombreux à avoir un rêve d’écrire un roman, un essai, une nouvelle ou un scénario. Mais qu’y-a-t-il derrière cette envie ? Un besoin d’être reconnu.e, un besoin d’être aimé.e, ou peut-être un besoin d’introspection ? Alors comment dépasser ses peurs, comment se sentir légitime et passer à l’acte ?
« Pour écrire, il faut renoncer à écrire ». En d’autres mots, il faut renoncer à une certaine représentation de l’écriture et s’engager dans le fait d’écrire par un choix délibéré et réfléchi. C’est la proposition de l’auteur Eudes Séméria dans son ouvrage intitulé « Ecrire » paru aux éditions Albin Michel.
Eudes Séméria est psychologue-clinicien, psychothérapeute et s’inscrit dans l’approche existentielle et humaniste. L’ouvrage « Ecrire » est construit comme un guide pour accompagner ce désir d’écrire et surtout ne pas le lâcher. Quelques notions théoriques très digestes et diverses références à différents auteurs, illustrent le processus d’écriture.
La première étape consiste à explorer ses priorités et lorsqu’elles sont bien définies, un changement profond s’opère. En effet, le cerveau aime beaucoup les règles et tend à les automatiser rapidement. Alors adopter la règle d’écrire tous les jours sans exception ne serait-ce que quelques minutes, vous permettra de vous impliquer et votre enthousiasme « d’écrivant » sera maintenu.
L’auteur envisage l’écriture comme une création de soi par soi et il va jusqu’à proposer un exercice d’écriture et de l’analyser, c’est-à-dire de développer son propre avis sur sa créativité. Vous verrez, c’est tout à fait possible, il n’y a qu’à suivre le chemin indiqué. Et puis, vous découvrirez un autre exercice étonnant, une voyance littéraire. Au final, plus aucuns doutes, l’écriture est une magie.
Aujourd’hui, nous sommes le résultat des habitudes que nous avons adoptées au cours des cinq dernières années. Et par conséquent dans cinq ans, nous serons le résultat des habitudes que nous avons décidé d’entreprendre à partir de ce jour.
Les habitudes sont des comportements automatiques que notre cerveau utilise pour prendre des décisions sans réfléchir. C’est une force quasi invisible qui influence notre quotidien et façonne notre identité.
Bonne nouvelle, rompre le cercle des mauvaises habitudes est possible. Bien sûr la présence de motivation est très importante mais il se peut que la motivation soit moindre ou absente alors l’habitude peut prendre adéquatement le relai. Et dans un monde qui change à la vitesse de la lumière, il devient prioritaire de pouvoir travailler sur soi rapidement et efficacement.
Luca Mazzucchelli est psychologue, psychothérapeute et entrepreneur. Avec « La méthode 1% » parue aux éditions Albin Michel, l’auteur propose d’exploiter le potentiel de nos très nombreuses habitudes et, ainsi, il nous invite à transformer notre vie de demain. L’objectif est de faire un état des lieux, prendre conscience de l’ensemble des habitudes, en sachant qu’environ 40% de nos actions quotidiennes sont le fruit d’habitudes automatiques et non de décisions conscientes. Il nous propose de choisir celles que l’on souhaite modifier et celles que l’on souhaite renforcer.
Comme une habitude a la caractéristique d’être automatique, elle s’applique sans que l’on doive y penser. Donc une habitude utile nous rapprochera de jour en jour de notre objectif. Le premier pas à faire sera d’avoir les idées très claires sur sa propre définition d’une existence épanouissante afin de définir ses objectifs. Un second pas sera de choisir avec grand soin une habitude positive à prendre et à non à perdre. Pour en savoir plus sur les pas suivants, je vous invite à consulter « La méthode 1% ». L’ouvrage est absolument passionnant, largement illustré par des cas concrets, et il nous donne l’envie de démarrer tout de suite.
L’auteur a une vue d’ensemble très large et il nous invite à comprendre comment contourner les résistances naturelles, et aussi comment avancer doucement mais sûrement. Car ce ne sont pas les argumentations logiques qui jouent le rôle principal dans le processus de changement, mais plutôt les émotions. Pourquoi cela ? Parce qu’une émotion rend le moment vécu inoubliable. Les émotions font partie de notre identité, alors n’hésitons pas à les écouter.
Maintenir de nouvelles habitudes est un fameux défi, il faut réorganiser son esprit.
« La méthode 1% » de Luca Mazzucchelli consiste à introduire dans un système, un nouvel apprentissage. Et grâce à l’exercice et la répétition, cet apprentissage devient un acquis, puis les acquis maintenus dans le temps deviennent des habitudes gagnantes.
L’amélioration de soi est un processus. Et c’est dans cette optique que Luca Mazzucchelli partage quotidiennement ses connaissances en psychologie sur différents réseaux sociaux.
Photo : Pixabay
Cuisiner un curry indien sans ghee n’est pas envisageable. Je vous propose d’explorer ensemble les différentes possibilités de ce beurre clarifié.
Le ghee est un beurre longue conservation et très utilisé dans la cuisine indienne. Il se fabrique à partir de lait de vache, de yack mais aussi d’huile de sésame. Le ghee se fabrique à partir de beurre fondu, l’eau s’évapore et les parties solides tombent au fond de la casserole. Si pour le beurre clarifié on conserve le petit lait, le ghee en est, lui, totalement débarrassé, tout comme de la caséine, grâce à une cuisson longue, à feu très très doux. C’est un processus surtout utilisé dans les pays du Moyen-Orient et d’Asie du Sud pour préserver les produits laitiers. Le ghee ressemble à un liquide transparent de couleur or lorsqu’il est chauffé et avant de se figer en une pâte onctueuse jaune pâle une fois refroidi. Au goût il comporte des variantes de notes de noisette ou d’amandes. Outre sa longue conservation, la médecine ayurvédique – science millénaire indienne – lui attribue des propriétés apaisantes, digestives et réhydratantes.
Ce produit est stable, il ne brûle pas, même soumis à de très fortes températures. De plus il rehausse idéalement la saveur des épices. Encore un atout, le ghee se conserve à température ambiante, pas besoin de le garder au frais. Aujourd’hui, c’est un produit que vous trouverez facilement même en grande surface. Vous pouvez utiliser le ghee comme du beurre ou de l’huile. Donc, usez et abusez du ghee pour sauter ou nacrer le riz, les légumes, la viande et même pour les fritures. Bien sûr il est possible de faire soi-même le ghee même si c’est un peu long et fastidieux. Afin de vous initier rapidement je vous propose une petite recette facile à réaliser.
Chauffez deux cuillères à café de ghee dans une casserole à feu moyen. Faites-y cuire un petit oignon jusqu’à ce qu’il soit doré. Puis ajoutez de l’ail, du gingembre râpé, des tomates séchées, le zeste d’un citron et remuez pendant cinq minutes. Puis à feu vif ajoutez 400g de pois chiches égouttés et 400g de pousses d’épinards. Quand tout a été réduit, versez 40cl de lait de coco avec 1 peu de sel, de cumin et de jus de citron. Puis faites bouillir et laissez cuire 10 minutes ou jusqu’à ce que les pois chiches soient tendres.
Bonne dégustation !
Source : magazine Zeste 2014 n°15 et Photos Pixabay
En l’absence de définition universelle du « plastique biodégradable » et faute de centres de traitement adaptés, des observateurs craignent que l’arrivée sur le marché de ces nouveaux matériaux ne contribue à l’inverse à augmenter la pollution.
Car les gens ont tendance à croire qu’ils contribuent à la protection de la planète en achetant des produits en plastique biodégradable, mais en réalité ce n’est pas le cas. Il est vrai que les plastiques classiques produits par l’industrie pétrochimique à base de source fossile peuvent persister dans la nature pendant des centaines d’années. À l’inverse, les plastiques biodégradables, conçus à partir de polymères spécifiques issus de sources végétales ou animales ou de pétrole peuvent se décomposer rapidement sous l’action de micro-organsimes. Cependant, il y a une condition sine qua none, ils doivent être éliminés via un compostage adapté. Ainsi un sac en plastique biodégradable abandonné dans la nature va se décomposer en micro particules et ses « microplastiques » infiltrent les sols, les rivières et les océans et induisent un risque sanitaire pour les animaux qui les ingèrent. De plus, ces particules peuvent aussi se frayer un passage jusqu’à l’intérieur du corps humain via notre alimentation.
À l’avenir, il faut réglementer l’utilisation du terme biodégradable. Car aujourd’hui bizarrement, des sacs plastiques biodégradables peuvent ne contenir aucune matière organique. Les gouvernements doivent se soucier d’éduquer le grand public sur cette question et surtout sanctionner les entreprises qui font des déclarations trompeuses.
Source : Journal Métro 20/03/2023 Photos : Pixabay
Tous les nutritionnistes vous le diront, la graine de chia est un super-aliment. C’est une toute mini graine qui possède de grands mérites nutritionnels. Elle regorge de protéines, de calcium, et de phosphore.
La graine de chia est issue de la famille des sauges, et est cultivée à l’origine par les Aztèques. Ensuite, elle a séduit le cœur des Européens vers les années 1990 car elle est riche en (bons) acides gras et en fibres. Plus concrètement et sans être exhaustive, dans 100 g de chia, vous trouverez 20g de protéines, 18g d’oméga 3, 40g de fibres, 700mg de calcium, 600 mg de vitamine B3 et encore 16 mg de fer. Vous l’aurez compris, c’est réellement un super aliment.
Vous pourrez ajouter quelques graines à votre yoghourt, à votre salade, votre soupe, votre bol de céréales, votre fromage blanc, ou en ajouter pour épaissir une préparation salée ou sucrée et ainsi vous procurer un coup de pouce nutritionnel. Au niveau gustatif vous découvrirez un croquant indéniable et une note peu puissante de noix en bouche. La saveur rappelle celle des graines de pavot ou de lin, avec bien entendu un côté plus branché en plus.
Mais attention, le but n’est pas de manger 100g de chia par jour, ce ne serait pas une bonne idée. Vous pourriez vous lasser, et des personnes plus sensibles des intestins pourraient avoir des symptômes dérangeants. Par contre, une alimentation variée, équilibrée parfois avec des graines de chia et parfois sans, vous apportera tous les nutriments nécessaires.
Source : magazine Zeste 2013 n°3
Photos Pixabay
Certaines pratiques préventives dites naturelles ou traditionnelles ont fait leurs preuves, en voici quelques exemples.
L’arthrose est une maladie très répandue et elle peut survenir à un âge très jeune. Sachez que la pratique du yoga pour lutter contre l’arthrose, réduit les tensions, améliore la tonicité musculaire et la souplesse des articulations.
Le stress est aussi un problème très fréquent et quand il se prolonge au point d’impacter la qualité de vie, il y a risque de burn-out. Dans nos sociétés consuméristes, ce phénomène explose. De nombreuses études démontrent que la méditation de pleine conscience agit positivement sur l’anxiété, la dépression et le burn-out. Car en entraînant l’esprit à se focaliser sur l’ici et maintenant, la pleine conscience évacue les ruminations, bloque les processus mentaux provoquant les peurs et facilite la gestion des émotions.
La constipation, inconfort qui touche environ une femme sur trois. Elle est favorisée par une alimentation pauvre en fibres et le manque d’activité physique. Une solution toute simple peut soulager la personne qui en souffre. Les graines de psyllium récoltées à partir de plusieurs plantes de la famille du plantain s’utilisent telles quelles ou sous forme de flocons, de gélules, ou de granulés, une à trois fois par jour à raison de 10gr par prise et de boire beaucoup d’eau. Le psyllium peut absorber jusqu’à huit fois son volume d’eau ce qui le transforme en un gel visqueux qui augmente le poids des selles et leur teneur en eau. Les selles reprennent ainsi une consistance normale stimulant les contractions naturelles du gros intestin.
La peur du dentiste est encore très courante et certaines personnes ont tellement peur, qu’elles en arrivent à ne pas se soigner. L’auriculothérapie pourra soulager certaines personnes. Cette technique est basée sur l’existence de zones réflexes dans le pavillon de l’oreille. En stimulant certains points, il est possible d’agir sur les organes auxquels ils correspondent. L’auriculothérapie est efficace contre la peur du dentiste attestée par l’institut national de la santé et de recherche médicale, elle neutralise l’anxiété par l’intermédiaire du système neuro-végétatif
Bien sûr il ne s’agit pas ici d’énumérer tous les soucis de santé les plus fréquents, mais il est vrai que le mal de dos fait partie de la liste et pour lui la technique Alexander pourra être d’une grande aide, citons aussi l’hypnose qui pourra être un soutien pour arrêter de fumer, et encore un dernier exemple la prise de mélatonine qui pourra améliorer le sommeil en cas de décalage horaire.
Toutefois avant d’aborder un problème de santé via les diverses méthodes douces, il convient de se renseigner. En contactant un praticien, vous prendrez le temps de poser toutes vos questions. Comme : quelles sont les preuves d’efficacité de la méthode, quels sont les mécanismes biologiques et / ou psychologiques qui en expliquent les effets, quelle sera la durée du traitement, y-a-t-il des précautions à prendre, quels sont les risques d’interaction avec l’un ou l’autre traitement, etc.
Bien entendu il ne s’agit pas ici de remèdes miracles qui donneront 100% de satisfaction mais bien de souligner qu’il existe de nombreuses pistes validées par les scientifiques.
Source : magazine FEMMES D’AUJOURD’HUI 20-2022
Photos : PIXABAY
Chaque jour est un défi, s’adapter ou s’extraire du stress quotidien. Le monde s’informatise à outrance et l’option de pouvoir prendre son temps pour être présent à soi et aux autres se dissout dans le flot des innombrables échanges d’emails.
Choisir de lire un roman est une façon de savourer l’instant présent et de visiter d’autres vies que la sienne. Dans le roman « Le cœur à l’envers » de Carole Duplessy-Rousée paru aux éditions Les Presses de la Cité, dans la collection « Terres de France », il est justement question d’histoire familiale sur quatre générations et d’une jeune femme qui fait le vœu de magnifier le travail des anciens.
L’intrigue se situe dans le Val de Loire au cœur d’un verger amoureusement entretenu par un contremaître qui travaille pour l’entreprise familiale.
Bien sûr le lecteur suit plusieurs personnages dont certains, haut en couleurs. Ils sont attachants car ils nous livrent leurs émotions, leurs doutes, leurs questionnements, leurs chagrins mais aussi leurs passions. Au cœur de l’histoire vous découvrirez pas à pas un secret ou plutôt un drame familial. Mais ce qui les rassemble tous, c’est la force incroyable de l’amour.
Sachez qu’un cœur à l’envers peut se remettre à l’endroit.
Et même si c’est un cliché maintes fois visité, il est toujours réconfortant de constater que l’amour est un aimant puissant et que sa force fait des miracles.
La réflexologie ou réflexothérapie est une pratique ancienne qui permet de prévenir et de soulager de nombreux maux du quotidien.
Cette méthode est pratiquée de manière ancestrale, en Chine, au Japon, en Inde, en Thaïlande et fait partie du vaste champ des thérapies complémentaires. Son principe est qu’à chaque partie du corps correspond un point ou une zone précise située sur les pieds, les mains, les oreilles et le nez. La méthode consiste à effectuer des pressions de doigts sur divers points réflexes situés dans ces zones afin d’agir à distance sur un organe ou sur une partie du corps.
La réflexologie la plus pratiquée est celle pratiquée sur les pieds, appelée alors réflexologie plantaire. Et détail qui a son importance, il y a 5000 terminaisons nerveuses dans le pied. À savoir aussi que les zones réflexes ne sont pas les mêmes sur les deux pieds. Par exemple, la zone qui correspond au cœur se trouve au niveau du pied gauche uniquement. Par contre la zone du foie se situe uniquement sur le pied droit.
La réflexologie ne guérit pas à proprement parler mais elle met le corps dans de bonnes dispositions pour favoriser l’auto-guérison. En agissant sur les zones réflexes, cette méthode permet d’harmoniser l’ensemble de l’organisme et de stimuler la circulation sanguine ainsi que l’énergie vitale. La réflexologie peut aussi favoriser l’élimination des toxines et permet de lutter contre la fatigue.
Dernier détail à préciser, la pression est adaptée à la sensibilité de chacun et n’ayez aucune crainte les manipulations ne chatouillent pas.
Vous l’aurez compris, la réflexologie s’adresse à tous. Toutefois les femmes enceintes et certaines personnes souffrant de pathologies telles que un cancer du sang ou de la lymphe ou autre doivent rester prudentes et en référer à leur médecin.
Une séance dure en moyenne une heure et se déroule dans une atmosphère paisible. Cela commence généralement par un examen des pieds, c’est-à-dire une observation minutieuse puis un moment de relaxation qui se poursuivra par le traitement complet des deux pieds en passant en revue les différents systèmes du corps. Le soin se terminera également par un moment de relaxation.
Comme cette méthode permet une profonde relaxation, il n’est pas rare que la personne s’endorme un moment. Soyez donc prudent, et prévoyez un moment pour revenir « sur terre ».
Source : Magazine FEMMES D’AUJOURD’HUI 39-2022
Photos : PIXABAY
« L’argent ne fait pas le bonheur » dit-on en Occident. C’est une expression difficile à comprendre pour un Chinois qui lui n’oppose pas argent et bonheur, au contraire ils sont fondamentalement liés et le Chinois est convaincu que le bonheur engendre forcément l’argent.
« Pour le peuple chinois l’argent n’est pas important, il est indispensable, comme la nourriture ». Ce proverbe démontre deux choses, la première est que pour le peuple chinois rien n’est plus important que de survivre, et la seconde que la nourriture est la condition sine qua none pour atteindre cet objectif.
Et se nourrir est bien plus que s’alimenter, c’est la nécessité constante de recharger l’énergie vitale. Car pour l’esprit chinois, ingérer des aliments pour vivre est aussi un rituel d’incorporation de l’énergie d’enrichissement. De ce fait, manger est un acte joyeux tout comme s’enrichir.
Vivre, se nourrir et s’enrichir constituent un triangle d’évidence pour l’esprit chinois. Et dans l’expression « nourrir le vivre » il y a trois niveaux, nourrir le corps, nourrir la famille et le lien vivant entre les générations passées et leurs descendants. Donc symboliquement nourriture et enrichissement sont au même niveau car ils nourrissent le bien-vivre tant au niveau du monde visible qu’au celui du monde invisible.
Ainsi l’esprit d’enrichissement est un mouvement, un élan vital qu’il faut exercer au quotidien. Et c’est à l’aide d’objet et de pratique que l’esprit chinois se programme en permanence pour activer quotidiennement l’esprit d’enrichissement. Il existe beaucoup d’emblèmes, de rituels divers comme des ravioles en forme de lingot d’or, le poisson qui se reproduit via de nombreux petites œufs, le rouge couleur de la joie et de la vie, la figurine du chat qui agite une patte antérieure, certaines plantes, etc. Mais les emblèmes en tant que tel ne suffisent pas il faut qu’il y ai un flux vital qui circule.
L’argent est à la vie ce que la sève est à l’arbre : une animation toujours en mouvement. La circulation de l’argent doit être fluide comme l’eau qui coule sans entraves. L’argent n’est pas vécu comme une réalité inerte qu’il suffirait d’amasser, mais comme une énergie vivante qui doit circuler. Ce n’est pas la possession de l’argent qui enrichit, mais la circulation de la richesse. Donner contribue à l’abondance collective.
Bien entendu l’esprit d’enrichissement n’est pas inné, il s’apprend. Et pour en savoir plus, je vous invite à lire « L’esprit d’enrichissement » paru aux éditions Albin Michel et co-écrit par trois auteurs complémentaires, Cyrille Javary, Dominique Escandre et KimLi Fong Yan. Vous y découvrirez que l’esprit d’enrichissement est un véritable cheminement qui rend généreux et qui profite au plus grand nombre.
Si vous avez pris l’habitude de toucher du bois, de croiser les doigts avant un examen, de faire un vœu avant de souffler les bougies ou de garder une amulette dans votre poche, sachez que vous avez parfaitement raison.
À travers le monde, l’univers des porte-bonheur est une véritable caverne d’Ali Baba. Et en la matière le Japon occupe une place de choix. Il y a le maneki connu comme le chat de la chance qui invite l’argent à entrer, il y a aussi le culbuto qui représente la persévérance et la résistance. Et puis il y a le daruma que l’on offre au Nouvel An, c’est une poupée qui rappelle les objectifs que l’on s’est fixé durant l’année. Et enfin, il ne faut pas oublier les omamori qui sont des amulettes de protection dont certaines sont spécifiques à chaque situation de la vie.
Chacun selon sa personnalité, sa culture, ou sa croyance se choisira un porte bonheur. Mais est-ce bien utile ?
Une étude scientifique réalisée à l’Université de Cologne tend à prouver que la chance existe bel et bien. Et que les porte-bonheur auxquels nous sommes attachés avaient le pouvoir de la susciter. Une expérience a été menée avec deux groupes de joueurs de golf qui devaient réaliser une épreuve particulièrement difficile à exécuter. Un groupe a reçu une balle porte-bonheur et l’autre groupe s’est contenté d’une balle sans « pouvoir » particulier. L’ensemble des participants a cru au pouvoir magique de la balle et ils ont obtenu d’excellents résultats. En conclusion, les gens qui comptent sur le pouvoir de leur porte-bonheur pour décrocher un emploi, pour rencontrer l’amour sont juste beaucoup plus confiants. Car croire que le gri-gri les protège et leur apporte la « baraka » les rend plus forts car ils ont davantage confiance en leur capacité. Ils sont alors plus performants car plus enclins à persévérer, et cela même s’ils se fixent des objectifs plus élevés.
N’ayez plus aucune hésitation, choisissez-vous votre porte-bonheur et boostez votre confiance en vous.
Source : Internet
Photo : Pixabay
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