Frederik De Klerk, président d'une Afrique du Sud au bord de l'implosion
En Afrique du Sud en cette année 1990, le rétablissement des partis d’opposition, notamment l’ANC - le Congrès national africain - et le parti communiste, mais aussi la libération de Nelson Mandela n’ont pas vraiment calmé les tensions. On a même le sentiment qu’elles ont été exacerbées, et pas uniquement chez les extrémistes blancs qui refusent la mort annoncée de l’apartheid. Au sein de la communauté noire, ce n’est pas non plus la grande entente.
Frederik De Klerk, président d'une Afrique du Sud au bord de l'implosion
En Afrique du Sud en cette année 1990, le rétablissement des partis d’opposition, notamment l’ANC - le Congrès national africain - et le parti communiste, mais aussi la libération de Nelson Mandela n’ont pas vraiment calmé les tensions. On a même le sentiment qu’elles ont été exacerbées, et pas uniquement chez les extrémistes blancs qui refusent la mort annoncée de l’apartheid. Au sein de la communauté noire, ce n’est pas non plus la grande entente.