Share L'ambition au féminin
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By Tatiana St-Louis
The podcast currently has 189 episodes available.
L’éco-anxiété désigne la réaction psychologique face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète.
Bien qu’elle soit généralisée à travers toutes les strates de la population, on en parle peu outre que pour en nommer l’existence.
Or, comme toute anxiété, ce phénomène a des effets négatifs réels sur la santé mentale qui peuvent mener à des actions et réactions traumatiques ou même dangereuses.
C’est d’autant plus vrai quand on a un score haut dans la catégorie “Conscience” du modèle Big Five et qu’on s’investit dans des sphères de changement et d’activisme.
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je reçois Mélina Pelé pour parler de comment l’éconanxiété affecte les agents de changement — comme le sont les activistes et entrepreneurs conscients.
On discute notamment de :
Mélina est une activiste azimutée qui s'est brûlée. A un moment de sa vie, elle occupait un poste de management dans l'administration française où elle prenait des décisions quotidiennes sur le sort de demandeurs d'asile. C’est alors qu’elle s’est engagée pour la justice climatique et est devenue élue locale.
Elle s’est par la suite investie dans sa communauté en fondant une association franco-allemande, tout cela avec deux enfants de moins de 4 ans. Jusqu'à sa rencontre avec le coaching.
Aujourd'hui elle vit à Leipzig en Allemagne où elle coache les activistes, les change-makers à réguler leur système nerveux pour manager leur stress et leur anxiété mais surtout éviter l'épuisement.
Le développement spirituel ne devrait pas être un sujet tabou en affaires.
Après tout, comme humain nous cherchons naturellement à avoir un impact, à laisser une marque et à nous épanouir à travers nos emplois et nos entreprises.
Parce qu’on aura beau dire ce qu’on voudra, la compartementalisation entre les vies personnelles et professionnelles, entre profit et valeur et entre croissance interne et externe ne sont que des outils d’aliénation qui ne servent ni l’individu, ni le collectif.
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je partage comment le développement de mon entreprise a accompagné mon développement spirituel et pourquoi je pense que l’un a nourri l’autre de façon synergique.
À écouter également Ep. 171 Intégrer spiritualité et coaching de façon responsable avec Chantale GalimiMentionné dans cet épisode :La dépression et le burnout chez les entrepreneurs reste un sujet tabou, et ce malgré sa lrépondérence dans le milieu.
Selon un sondage réalisé par la BDC auprès de 1500 propriétaires d’entreprises en 2023, “45 % des répondants ont déclaré avoir des problèmes de santé mentale, une hausse de 7 points par rapport à février 2022.” (Source : Le Devoir).
Selon une autre étude menée par la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante, 66% serait sur le bord de l’épuisement professionnel.
Étant moi-même affligée de dépression chronique (diagnostiqué sous forme de dysthymie), j’ai du apprendre à gérer cet état de baisse d’énergie et de focus qui se met dans le chemin de notre fonctionnement quotidien.
Dans l’épisode d’aujourd’hui, je voulais lever le voile sir la réalité de la dépression chez les entrepreneurs et parler autant de ma relation personnelle avec la dépression que de ce que j’observe chez clients, collaborateurs et amis qui traversent aussi des épisodes affectant leur santé mentale. J'y discute notamment de :
Bien entendu, je ne suis ni médecin, ni psychologue et ce que je partage aujourd’hui est basé purement sur mon expérience et mes recherches autour des modalités non-médicalisées de soin et de traitement.
Pour ce qui est de l’utilisation d’antidépresseurs, antianxiolytiques et autres médicaments pouvant aider à alléger la souffrance émotionnelle et psychologique entourant la dépression, j’ai une pleine confiance dans l’autonomie de chacun de décider ce qui est le mieux pour soi.
Un “problème” de santé mentale ne devrait jamais être associé à une faiblesse ou à une tare et j’espère avec cet épisode lever la honte et la stigmatisation autour de ces états naturels et répandus.
Si vous souffrez de dépression ou aimeriez trouver des ressources en santé mentale, je vous invite à consulter le site du Gouvernement du Québec où se trouvent diverses lignes d’écoute, y compris pour les proches.
Quand on choisit la voie de l’entrepreneuriat, on accepte de devenir un “survivant professionnel”.
Chaque année qui passe, nous devons nous adapter pour voir un autre jour et, idéalement, croître et se développer.
Plonger au coeur de notre instinct de survie entrepreneuriale peut activer nos réactions instinctuelles ou traumatiques, surtout si nous avons déjà expérimenté l’identité du survivant dans d’autres aspects de notre vie (ce qui est notamment le cas des personnes marginalisées, comme les femmes, les personnes racisées, les personnes neurodivergentes, etc.)
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je parle de cet aspect de l’entrepreneuriat avec lequel on travaille inconsciemment. J’y parle de comment transmuter notre instinct de survie en véhicule de changement personnel et collectif.
Note : Cette note audio avait été livrée dans le groupe privé de Terre Fertile (jadis Autopoiesis), un espace collectif de développement entrepreneurial pour les entrepreneurs conscients qui désirent créer des entreprises épanouissantes, durables et lucratives.
Tu seras aussi intéressée par : Ep. 149 3 archétypes traumatiques qui t’empêchent de t’épanouir dans ton business
Est-ce que Threads est une plateforme intéressante de création de contenu pour un entrepreneur?
Est-ce pertinent d’intégrer ce nouvel outil de micro-blogging à son mix marketing?
Intégrer un nouveau canal dans sa stratégie marketing n’est pas une décision aussi simple qu’on le voudrait, car il n’existe aucun outil one-size-fits-all quand il est question de visibilité ou d’acquisition de clientèle.
En tant que créatrice de contenu prolifique depuis 2016, j’ai vu les plateformes passer au fil des ans (on se rappelle de Clubhouse tout le monde?)
Threads m’a attiré par son côté instantané et presque 100% textuel. J’ai donc voulu lui donner une chance et apprendre à le connaître avant de me prononcer sur la pertinence de l’intégrer dans mon écosystème de contenu.
J’ai commencé à partager mes réflexions sur ce que j’ai découvert après 3 mois intensifs d’utilisation dans cet épisode : Ep. 181 Intégrer Threads dans sa stratégie de contenu (pt. 1)
Aujourd’hui, je poursuis la conversation avec un partage plus spécifiquement sur ce que j’ai découvert à titre d’utilisatrice de la plateforme et comment je pense mélanger mon utilisation de Threads à mes autres réseaux sociaux et plateformes de contenu.
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je discute notamment de :
Pour le moment, l’expérimentation avec Threads continue, le temps d’accumuler plus de données sur le potentiel de conversion.
Si c’est une plateforme qui vous intéresse, surtout si vous aimez communiquer via le texte écrit et avez une affinité avec le micro-blogging, je vous encourage à faire un essai stratégique de 3 à 6 mois pour en tirer des conclusions individuelles.
En espérant que les deux épisodes de cette série sauront vous donner des pistes de réflexions.
Mentionné dans cet épisode :Choisir de s’investir dans une nouvelle plateforme de contenu n’est pas une décision à prendre à la légère, surtout si nous sommes un solopreneur, travailleur autonome ou freelance qui n’a pas le luxe d’avoir une équipe de contenu.
Chaque nouvelle plateforme demande qu’on y mette du temps et de l’énergie afin de comprendre comment elle va s’intégrer à notre écosystème de contenu global.
Si je suis honnête, mon intérêt pour Threads n’était pas, à mes débuts du moins, stratégique. En fait, en tant que créatrice multiplateforme prolifique, j’étais désabusée par l’expérience que j’avais de plus en plus sur mes plateformes prioritaires comme LinkedIn ou Instagram.
Je suis donc venue sur Threads pour — comme il se doit dans l’univers marketing —expérimenter, y trouver des opportunités et évaluer si c’était une plateforme qui valait que j’y mette plus de temps et de réflexion.
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je discute de mon analyse suite à 3 mois à être active sur la plateforme.
J'y parle notamment de :
Ceci est la première partie d’une série de 2 épisodes sur Threads. Le prochain épisode suivra la semaine prochaine, où je parlerai plus spécifiquement de la place de Threads dans un parcours de conversion client.
Threads est une plateforme de microblogging lancé en juillet 2023 par Instagram (Meta). Plusieurs y voyaient un compétiteur à X (auparavant Twitter) dans son utilisation de contenu court qui pouvait être mis bout à bout, comme un enfilage (Threads veut dire “fils” en anglais).
Au moment où j’écris ces lignes (août 2024), eMarketer estime qu’il y a 200 millions d’utilisateurs actifs sur la plateforme.
Bien entendu, l’application n’a pas encore la popularité que X/Twitter possède. Par exemple, Sensor Tower Data stipule qu’au premier trimestre de 2024, X/Twitter a observé 349 millions d’utilisateurs actifs mensuels, comparé à 85 millions pour Threads.
Ceci a bien entendu ses avantages et désavantages en lien quand vient le temps de réfléchir à notre stratégie de contenu.
Les réflexions que je fais ici sont basées sur mon expérience de la plateforme. Je t’encourage fortement, si Threads te fait de l’oeil, à aller faire tes propres expérimentations afin de voir comment tu aimerais (ou non!) lier ce nouveau réseau à ton écosystème de contenu.
J’espère que cette série d’épisodes t’aura permis une première analyse sur la pertinence de Threads dans ton mix marketing.
On nous parle toujours de valeur comme si c’était quelque chose d’objectif.
Fais voir ta vraie valeur..
Ça ne vaut pas ceci ou cela…
Charge pour la valeur que tu apportes réellement…
Mais ce qu’on ne comprend pas, c’est que la perception de notre valeur peut fluctuer immensément selon nos circonstances, nos états d’esprit et nos histoires personnelles.
Dans l'épisode d'aujourd'hui, je voulais adresser ce concept de valeur professionnelle en lien aux histoires qu’on raconte et qu’on se raconte.
Je discute notamment de :
Tu vas voir, cet épisode est hautement personnel, mais je suis certaine que tu risques de te reconnaître aussi.
J’y parle de mon expérience avec le burnout et la dépression en contexte salarié et comment cette expérience difficile m’a amenée à découvrir ma direction, réaffirmer mon identité et, ultimement, à construire mon brand.
Dans les derniers mois, je me suis beaucoup questionnée sur la place de mon contenu dans mes stratégies de visibilité. Ayant fait carrière dans le marketing de contenu, ou marketing organique, j'ai ressenti une sorte de crise existentielle professionnelle face aux récents développements dans ce domaine. 😅
Alors, est-ce que l'âge d'or du contenu organique est terminé ? Quand j'ai lancé mon business en 2016, on disait déjà que l'âge d'or des blogs était terminé. L'âge d'or, c'était cette époque où il suffisait d'être présent et de faire quelque chose pour que ça se traduise en argent. Si c'est notre définition, alors oui, je pense que cet âge d'or est terminé.
Je remarque que le temps où les réseaux sociaux faisaient copain-copain avec les créateurs est révolu. Au début, c'était la phase de séduction où les plateformes attiraient une masse critique de créateurs pour capter l'attention des utilisateurs. Mais maintenant, le far west se peuple, la liberté devient étouffante avec de plus en plus de règles. Les réseaux sociaux, autrefois des opportunités, sont devenus des obligations. On a l'impression de ne plus avoir le choix.
Quand la pression est trop grande, il y a dissidence. Les gens quittent les réseaux ou trouvent des moyens plus intelligents de les utiliser. Il y a une réflexion accrue sur l'éthique marketing et l'hygiène de consommation, en particulier concernant notre attention, notre focus et notre créativité.
La situation actuelle rappelle la nécessité de diversifier nos stratégies de marketing. Une stratégie basée sur un seul mode d'acquisition est fragile. Comme pour les investissements, il faut diversifier pour éviter les risques. Le contenu a encore sa place, mais il ne faut plus jouer le jeu des algorithmes. Plutôt que de chercher le hack pour plus de visibilité, il faut se concentrer sur une meilleure conversion des yeux que l'on a déjà.
Prenons un exemple concret : imaginez que vous avez 1000 abonnés sur votre liste de diffusion. Plutôt que de dépenser du temps et des ressources à essayer de doubler ce nombre, il serait plus judicieux de travailler à engager et convertir ces 1000 abonnés actuels. Créez du contenu qui résonne profondément avec eux, qui répond à leurs besoins et qui les encourage à passer à l'action.
Le contenu doit être utilisé pour :
Un mot sur la publicité : Si le contenu organique ne performe pas pour l'acquisition, certains se tournent vers la publicité. C'est une stratégie intelligente, mais cela demande le même niveau d'intention et de réflexion que le contenu organique. Sinon, c'est de l'argent jeté par les fenêtres. Pour en savoir plus, écoutez l'épisode 136 de mon podcast avec Charles Davignon de l'Agence Antilope, où nous discutons de l'intégration de la publicité en ligne et du contenu organique dans une stratégie marketing cohérente.
En plus du contenu payant et organique, on verra de plus en plus de stratégies marketing sophistiquées incluant :
J'ai abordé ces stratégies dans ma masterclass "Marketing de l'Enchantement", disponible dans l'onglet “Ressources” sur mon site web. Ces stratégies demandent du temps et des efforts, mais elles peuvent offrir des résultats durables et significatifs.
Ce qui était simple devient complexe, c'est le signe d'un marché arrivant à maturité. Les tactiques marketing évoluent, mais certains principes restent indémodables :
Rendre nos offres et notre expertise visibles reste essentiel, mais il faut s'assurer de faire bonne impression et de laisser une empreinte positive pour survivre dans un environnement saturé et hyper compétitif. La première impression compte, surtout dans un marché où les options sont nombreuses et où la fidélité des clients est de plus en plus difficile à obtenir.
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L’arrivée des IA génératives a bouleversé nos manières de travailler et de créer.
Comme à chaque fois qu’une nouvelle grande technologie apparaît, le monde du travail se transforme et s’adapte, faisant craindre à certains la disparition de leur métier. Pour les entrepreneurs, solopreneurs et consultants, ce changement peut chambouler totalement un modèle d’affaires, sans compter ses revenus.
Loin d’être effrayée par l’arrivée de l’IA dans son domaine, Manon Verbeke, designer graphique indépendante depuis 2013, a choisi au contraire de l’intégrer pleinement dans son travail de création.
Aujourd’hui, nous explorons ensemble les différentes facettes de cette technologie révolutionnaire et comment elle peut transformer le domaine du design graphique pour le mieux.
Dans cet épisode, on discute notamment de :
Manon Verbeke est designer indépendante et créatrice de contenu depuis 2013. Elle aide les solopreneur·es à déployer leur identité visuelle, avec ses prestations et ses formations. Elle travaille avec des outils comme Canva ou les IA génératives. Un peu nerd, pas mal amoureuse d’automatisation, et maman de 2, avec elle le design devient simple ET bénéfique pour les affaires.
Son objectif ? Rendre mémorables les solopreneur·es d’exception grâce à des identités & des visuels uniques.
Cet épisode est une invitation à réfléchir à l'impact de l'IA sur notre manière de créer et de concevoir. Souvent vu comme un outil de productivité, Manon nous dévoile une autre facette de l’IA et comment elle peut aider les entrepreneures à se démarquer visuellement tout en soutenant leur identité de marque.
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