Le roi Carlos est sous les fenêtres de Doña Sol, accompagné de trois nobles : Don Sancho, Don Matias, et Don Ricardo. Ils parlent d’Hernani.

L’obscurité indique que la nuit est tombée : la folle journée touche à sa fin. Le jardin plongé dans l'obscurité, sans limites précises, va permettre de nouveaux jeux scéniques...

Dans ce quatrième acte, les derniers obstacles au mariage de Figaro et de Suzanne sont levés, mais les menées du comte vis à vis de la camériste de sa femme se précisent… Ce sont désormais les femmes qui dirigent l’action, au point que Figaro est lui-même dupe de leur mise en scène. Seul le spectateur est dans la confidence…

Le troisième acte, en plein milieu de la pièce, est occupé presque entièrement par un procès qui bloque tout, et débouche sur un jugement catastrophique… Mais la scène de reconnaissance permet un ultime retournement de situation : le mariage est désormais annoncé, mais les projets du comte avec Suzanne n'ont pas encore été déjoués !...

Tout ce deuxième acte est une péripétie : le stratagème de Figaro échoue, mais les femmes ont sauvé les apparences, et prennent la relève. Sous la variété des rebondissements, Beaumarchais conserve toujours l'unité d'action : le jeu d'oppositions autour du mariage de Figaro.

Le condamné à été transféré à l’Hôtel de Ville : il est maintenant au-dessus de la place de Grève. Mais il revient sur son départ de la Conciergerie...

Dans ces chapitres, nous en découvrons un peu plus sur le condamné lui-même, qui repense aux moments de bonheur de sa vie passée.

Transféré à la Conciergerie, le condamné se rapproche du lieu de son exécution. C'est là qu'il rencontre un autre condamné qui lui raconte son histoire...

Le condamné à mort va assister à un spectacle extraordinaire, le départ des forçats. Songe-t-il à envier leur sort ?

Tandis qu'Aristide poursuit ses affaires immobilières, Renée se trouve isolée, et constate les destins de chacun des autres personnages...