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Or
Le 21 août 2025, Mike Borowski interrogeait les Français sur une affaire explosive mêlant Brigitte Macron, accusations de transphobie, un procès aux frais astronomiques, Candace Owens et une vague fasciste perçue comme venue des États-Unis.
Les réponses soulèvent une question plus vaste : peut-on vraiment faire ce qu’on veut dans son lit, mais avec quel argent ?
Brigitte Macron transgenre et argent public
Sur le terrain, une question domine : comment les Macron peuvent-ils régler un cabinet d’avocats facturant des dizaines de milliers d’euros de l’heure alors que leur patrimoine déclaré ne le permet pas ? Pour beaucoup, l’Élysée paierait. Peu importe que Brigitte Macron soit transgenre ou non, disent certains : le scandale, c’est que ce procès serait financé avec l’argent du peuple.
Ce soupçon nourrit une colère qui dépasse la question de genre. L’affaire incarne un fossé entre une élite protégée et une population écrasée par l’inflation. Les Macron sont vus comme des dirigeants capables d’utiliser la justice pour faire taire les critiques, en mobilisant les ressources de l’État à leur profit. Dans la rue, cette offensive judiciaire est perçue comme un mépris de plus, symbole d’un pouvoir aux privilèges illimités.
Le scandale du financement occulte
Plus encore que les rumeurs, c’est la question financière qui choque. Un cabinet de ce niveau n’accepte pas d’être payé à coups de promesses, affirment les passants. Il faut des garanties, et elles ne peuvent venir que de fonds publics. Pour nombre de citoyens, l’idée que l’Élysée couvre les frais semble évidente.
Cette hypothèse alimente une fracture déjà profonde. Beaucoup affirment qu’on peut vivre comme on l’entend, mais pas aux frais de la collectivité. Le contraste entre une justice de luxe réservée à l’élite et la précarité du quotidien renforce l’idée d’un système déconnecté, dans lequel les puissants évoluent à l’abri du contrôle démocratique.
Une guerre culturelle importée
L’affaire prend une dimension internationale. Candace Owens est souvent citée, non pour être critiquée, mais parce qu’elle a médiatisé ce que beaucoup pensaient déjà en France. Pour certains, Donald Trump et ses réseaux exposeraient les contradictions du macronisme.
Cette affaire dépasse donc le cadre privé. Elle s’inscrit dans une guerre culturelle globale où la France devient le terrain d’un affrontement entre élites locales et contre-pouvoirs venus d’ailleurs. Aux yeux de nombreux Français, le pouvoir cherche à censurer tandis que l’opinion mondiale s’organise pour dévoiler ses dérives. Une perception qui alimente la défiance, et pourrait bien marquer un tournant dans la manière dont les citoyens perçoivent l’équilibre entre vie privée, politique et argent public.
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Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
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Les réponses soulèvent une question plus vaste : peut-on vraiment faire ce qu’on veut dans son lit, mais avec quel argent ?
Brigitte Macron transgenre et argent public
Sur le terrain, une question domine : comment les Macron peuvent-ils régler un cabinet d’avocats facturant des dizaines de milliers d’euros de l’heure alors que leur patrimoine déclaré ne le permet pas ? Pour beaucoup, l’Élysée paierait. Peu importe que Brigitte Macron soit transgenre ou non, disent certains : le scandale, c’est que ce procès serait financé avec l’argent du peuple.
Ce soupçon nourrit une colère qui dépasse la question de genre. L’affaire incarne un fossé entre une élite protégée et une population écrasée par l’inflation. Les Macron sont vus comme des dirigeants capables d’utiliser la justice pour faire taire les critiques, en mobilisant les ressources de l’État à leur profit. Dans la rue, cette offensive judiciaire est perçue comme un mépris de plus, symbole d’un pouvoir aux privilèges illimités.
Le scandale du financement occulte
Plus encore que les rumeurs, c’est la question financière qui choque. Un cabinet de ce niveau n’accepte pas d’être payé à coups de promesses, affirment les passants. Il faut des garanties, et elles ne peuvent venir que de fonds publics. Pour nombre de citoyens, l’idée que l’Élysée couvre les frais semble évidente.
Cette hypothèse alimente une fracture déjà profonde. Beaucoup affirment qu’on peut vivre comme on l’entend, mais pas aux frais de la collectivité. Le contraste entre une justice de luxe réservée à l’élite et la précarité du quotidien renforce l’idée d’un système déconnecté, dans lequel les puissants évoluent à l’abri du contrôle démocratique.
Une guerre culturelle importée
L’affaire prend une dimension internationale. Candace Owens est souvent citée, non pour être critiquée, mais parce qu’elle a médiatisé ce que beaucoup pensaient déjà en France. Pour certains, Donald Trump et ses réseaux exposeraient les contradictions du macronisme.
Cette affaire dépasse donc le cadre privé. Elle s’inscrit dans une guerre culturelle globale où la France devient le terrain d’un affrontement entre élites locales et contre-pouvoirs venus d’ailleurs. Aux yeux de nombreux Français, le pouvoir cherche à censurer tandis que l’opinion mondiale s’organise pour dévoiler ses dérives. Une perception qui alimente la défiance, et pourrait bien marquer un tournant dans la manière dont les citoyens perçoivent l’équilibre entre vie privée, politique et argent public.
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