Comme c'est désormais le cas chaque année, Paju profite du Vendredi Saint pour proposer la rediffusion de reportages que le public a particulièrement appréciés. Dans cette émission, ce sont deux jeunes femmes qui sont à l'honneur, elles qui ont choisi des destins particuliers et ont fait preuve de beaucoup de détermination pour y arriver. Michelle Moschella rêvait enfant d'avoir une ferme avec beaucoup d'animaux, alors que rien ne la prédestinait à ça, alors que Sandrine Zweili, citadine et fleuriste de formation, a tout lâché pour reprendre à son compte la Cabane des Diablerets. C'est d'ailleurs elle qui est l'invitée de Virginie pour raconter en quoi sa vie a changé depuis ce reportage qui lui avait été consacrée en 2013.

Cette semaine, c'est Florent Troillet, le champion de ski-alpinisme et détenteur depuis 2010 du record de la Patrouille des Glaciers, qui est l'invité de Virginie à la Cabane Perrenoud, dans une ambiance quasiment sibérienne. Il porte son regard sur les deux reportages proposés, en particulier le premier qui se déroule dans les coulisses des Trophées du Muveran, une compétition de ski-alpinisme qui a célébré l'année passée son septantième anniversaire. Le second, quant à lui, se découvre comme une petite bouffée de fantaisie et de poésie, dans l'univers du céramiste Christian Courvoisier, qui depuis trente ans, réalise des nains de jardin, dont beaucoup continuent de cohabiter avec lui…

Pour cette troisième émission de la saison à la Cabane Perrenoud dans le canton de Neuchâtel, c'est Cédric Némitz qui nous offre un peu de son temps. Ce théologien et journaliste, ancien producteur des magazines religieux à la RTS, aujourd'hui conseiller municipal de la ville de Bienne, porte son regard sur les deux reportages proposés : une balade au cœur de la cité médiévale de La Neuveville, à travers les regards croisés de quelques uns de ses habitants, et le portrait de Menel Rachdi, un artiste que les coups du sort n'empêchent en rien de se réaliser et d'offrir une vision colorée du monde qui l'entoure.

Pour cette troisième émission de la saison à la Cabane Perrenoud dans le canton de Neuchâtel, c'est Cédric Némitz qui nous offre un peu de son temps. Ce théologien et journaliste, ancien producteur des magazines religieux à la RTS, aujourd'hui conseiller municipal de la ville de Bienne, porte son regard sur les deux reportages proposés : une balade au cœur de la cité médiévale de La Neuveville, à travers les regards croisés de quelques uns de ses habitants, et le portrait de Menel Rachdi, un artiste que les coups du sort n'empêchent en rien de se réaliser et d'offrir une vision colorée du monde qui l'entoure.

A l'heure où le virtuel s’impose souvent dans nos vies, où le lien parfois se fait absent, certains s'attachent au contraire à renouer avec le passé et à ce qu'on peut faire pour le transmettre ensuite. Les deux reportages de cette semaine sont un bon exemple de cette manière de faire et d'appréhender le monde : Marc Aymon renoue avec ses racines et son terroir en chantant et revisitant des chansons traditionnelles, alors que Phillipe Meyer, alias Philibert 1er, collectionne d'anciens objets liés à son métier de pompier. Pour commenter ces deux reportages, c'est la chanteuse Sylvie Bourban qui s'invite à la Cabane Perrenoud, elle qui aussi, après avoir pas mal bourlingué, a fait le choix de chanter dans le patois de ses origines.

A l'heure où le virtuel s’impose souvent dans nos vies, où le lien parfois se fait absent, certains s'attachent au contraire à renouer avec le passé et à ce qu'on peut faire pour le transmettre ensuite. Les deux reportages de cette semaine sont un bon exemple de cette manière de faire et d'appréhender le monde : Marc Aymon renoue avec ses racines et son terroir en chantant et revisitant des chansons traditionnelles, alors que Phillipe Meyer, alias Philibert 1er, collectionne d'anciens objets liés à son métier de pompier. Pour commenter ces deux reportages, c'est la chanteuse Sylvie Bourban qui s'invite à la Cabane Perrenoud, elle qui aussi, après avoir pas mal bourlingué, a fait le choix de chanter dans le patois de ses origines.

Toute l'équipe de "Passe-moi les jumelles" s'installe cette saison dans le canton de Neuchâtel, à la cabane Perrenoud, située sur les hauteurs du Creux-du-Van... un endroit un peu isolé, bénéficiant d'une vue à couper le souffle, qui devient au fil des émissions, le lieu de belles rencontres et d'autant de moments partagés. Pour la première de cette saison, le risque est le thème abordé, au travers de deux reportages : le premier nous plonge dans l'univers de Raphaël Mayoraz, géologue cantonal du Valais, dont la mission consiste à maîtriser les risques naturels au quotidien; le second nous fait évoluer sur le fil, celui qu'emprunte le funambule Freddy Nock, lui qui frôle les limites dans tout ce qu'il accomplit. Pour commenter ces deux reportages, Virginie a le plaisir d'accueillir aussi bien le personnage du premier reportage que celui qui a choisi de le réaliser, en compagnie de Pascal Magnin, Simon Matthey-Doret qui, après un petit passage à PAJU, a lancé son émission sur La Première, dédiée à la montagne.

Toute l'équipe de "Passe-moi les jumelles" s'installe cette saison dans le canton de Neuchâtel, à la cabane Perrenoud, située sur les hauteurs du Creux-du-Van... un endroit un peu isolé, bénéficiant d'une vue à couper le souffle, qui devient au fil des émissions, le lieu de belles rencontres et d'autant de moments partagés. Pour la première de cette saison, le risque est le thème abordé, au travers de deux reportages : le premier nous plonge dans l'univers de Raphaël Mayoraz, géologue cantonal du Valais, dont la mission consiste à maîtriser les risques naturels au quotidien; le second nous fait évoluer sur le fil, celui qu'emprunte le funambule Freddy Nock, lui qui frôle les limites dans tout ce qu'il accomplit. Pour commenter ces deux reportages, Virginie a le plaisir d'accueillir aussi bien le personnage du premier reportage que celui qui a choisi de le réaliser, en compagnie de Pascal Magnin, Simon Matthey-Doret qui, après un petit passage à PAJU, a lancé son émission sur La Première, dédiée à la montagne.

Simon Matthey-Doret est l’invité de l’émission à la Cabane des Ordons, lui qui, dès janvier, lance sur La Première « Altitudes », une nouvelle émission hebdomadaire consacrée au monde de la montagne. Pour PAJU, il porte son regard sur les deux reportages de cette semaine, en particulier le premier qui nous emmène sur les traces d’un accompagnateur en montagne, au cœur des paysages immaculés de la Gruyère en hiver. Puis, c’est dans les coulisses de la Compagnie de 1602 que se déroule le deuxième reportage, elle qui perpétue l’histoire de l’Escalade, cette victoire contre les Savoyards dont les Genevois sont si fiers.

Simon Matthey-Doret est l’invité de l’émission à la Cabane des Ordons, lui qui, dès janvier, lance sur La Première « Altitudes », une nouvelle émission hebdomadaire consacrée au monde de la montagne. Pour PAJU, il porte son regard sur les deux reportages de cette semaine, en particulier le premier qui nous emmène sur les traces d’un accompagnateur en montagne, au cœur des paysages immaculés de la Gruyère en hiver. Puis, c’est dans les coulisses de la Compagnie de 1602 que se déroule le deuxième reportage, elle qui perpétue l’histoire de l’Escalade, cette victoire contre les Savoyards dont les Genevois sont si fiers.