Les melons et les pastèques aiment la chaleur. C’est pourquoi en milieu nordique leur culture est souvent aléatoire. Il existe cependant des techniques afin d’amener les fruits à maturité.

Plantes permanentes de grande longévité, les rhubarbes étaient de tous les jardins de nos grand-mères. Cultivées depuis plus de 5 000 ans, elles ont toujours une place de choix au potager ou dans une plate-bande.

Bien qu’elles se cultivent de la même manière, les variétés de raisins de table ont des goûts bien différents de celles utilisées pour faire le vin. Elles sont surtout beaucoup plus sucrées.

Leur suffixe « -cide » indique qu’ils sont bien là pour tuer. C’est en tenant compte de leurs impacts plus ou moins importants sur la santé humaine et l’environnement que l’on choisit d’utiliser l’un ou l’autre groupe… en dernier recours.

Les pak-choïs, aussi connus sous le nom de bok-choys, sont des légumes d’origine asiatique qui poussent rapidement.

Les pois n’aiment pas la chaleur. C’est leur pire défaut. Leur principale qualité c’est que ce sont des légumineuses.

Même si on a choisi des variétés résistantes aux insectes ravageurs et aux maladies et que l’on met en pratique les bonnes techniques de jardinage, il faut parfois intervenir. Le contrôle biologique est alors de mise.

Qu’est-ce que la rusticité? Il en existe plusieurs définitions. Certains spécialistes la définissent comme la température en dessous de laquelle la plante est sérieusement abîmée par le froid. D’autres, comme l’aptitude d’une plante à supporter des conditions de vie hivernales difficiles. Dans le langage du jardinier, c’est la capacité d’une plante à résister au froid...

L’une est éphémère, l’autre permanente, mais, même si elles se plantent à des périodes différentes, elles vivent dans des conditions similaires et s’entretiennent presque de la même manière.

Il est souvent difficile de s’y retrouver quand des techniques ancestrales et modernes s’entremêlent. Radio légumes et Cie vous propose une tentative de clarification.