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GESTIONNAIRES EN ACTION. Le milliardaire américain Charlie Munger, 98 ans, a beaucoup fait parler de lui ces derniers jours pour avoir qualifié les cryptomonnaies de «maladie vénérienne».
Sans avoir une opinion aussi tranchée sur la question, François Rochon, président et gestionnaire de portefeuille chez Giverny Capital, rappelle pourquoi il évite le secteur. «La seule manière de faire des profits avec les cryptomonnaies, c'est de les revendre plus cher à quelqu'un d'autre», dit-il.
M. Rochon revient aussi sur les chiffres de l'inflation au Canada et aux États-Unis. En janvier, l'inflation canadienne a pointé à 5,1%, un sommet depuis 1991, alors qu'aux États-Unis, le chiffre de 7,5% est le plus élevé depuis 1982.
À court terme, selon lui, l'inflation est le pire ennemi de l'investisseur, mais elle a aussi pu contribuer au fort recul de titres comme Shopify (SHOP, 837,09$), qui a perdu 10,8% de sa valeur jeudi et a chuté de plus de 60% depuis son sommet de novembre dernier.
Il soutient que l'investissement valeur repose sur la «marge de sécurité» et que les reculs de titres technologiques ont simplement eu pour effet de rendre des titres qui étaient très très chers un peu moins chers!
Il concède toutefois que les reculs de nombreuses entreprises depuis le début de l'année créent des occasions d'achats sur les marchés. Il parle de deux titres qu'il possède en portefeuille, soit ceux de CarMax (KMX, 107,48$US) et Meta Platforms, société mère de Facebook (FB, 207,71$US).
Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
GESTIONNAIRES EN ACTION. Le milliardaire américain Charlie Munger, 98 ans, a beaucoup fait parler de lui ces derniers jours pour avoir qualifié les cryptomonnaies de «maladie vénérienne».
Sans avoir une opinion aussi tranchée sur la question, François Rochon, président et gestionnaire de portefeuille chez Giverny Capital, rappelle pourquoi il évite le secteur. «La seule manière de faire des profits avec les cryptomonnaies, c'est de les revendre plus cher à quelqu'un d'autre», dit-il.
M. Rochon revient aussi sur les chiffres de l'inflation au Canada et aux États-Unis. En janvier, l'inflation canadienne a pointé à 5,1%, un sommet depuis 1991, alors qu'aux États-Unis, le chiffre de 7,5% est le plus élevé depuis 1982.
À court terme, selon lui, l'inflation est le pire ennemi de l'investisseur, mais elle a aussi pu contribuer au fort recul de titres comme Shopify (SHOP, 837,09$), qui a perdu 10,8% de sa valeur jeudi et a chuté de plus de 60% depuis son sommet de novembre dernier.
Il soutient que l'investissement valeur repose sur la «marge de sécurité» et que les reculs de titres technologiques ont simplement eu pour effet de rendre des titres qui étaient très très chers un peu moins chers!
Il concède toutefois que les reculs de nombreuses entreprises depuis le début de l'année créent des occasions d'achats sur les marchés. Il parle de deux titres qu'il possède en portefeuille, soit ceux de CarMax (KMX, 107,48$US) et Meta Platforms, société mère de Facebook (FB, 207,71$US).
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