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GESTIONNAIRES EN ACTION. Un nouveau titre de dette a fait son apparition au Canada cet été et il pourrait provoquer de grands bouleversements dans le secteur des actions privilégiées au pays, croit Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret.
M. Fournier note que la Banque Royale, la CIBC et la Banque Nationale ont procédé à des émissions de billets de capital à recours limité (limited recourse capital notes) cet été. Selon lui, cette nouvelle catégorie de titre de dette, autorisée par le Bureau du surintendant des institutions financières, a le potentiel de remplacer à terme les émissions d'actions privilégiées, boudées depuis quelques années en raison des faibles taux d'intérêt au pays.
Il précise que les grandes banques canadiennes pourraient procéder à des émissions de billets de capital à recours limité totalisant 16,7 milliards de dollars au cours des prochaines années. Si cet argent devait servir au rachat d'actions privilégiées, cela forcerait les fonds communs d'actions privilégiées à redéployer ce capital dans un marché peu liquide.
Cela provoquerait un déséquilibre entre l'offre et la demande et ferait grimper la valeur des actions privilégiées de manière significative.
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GESTIONNAIRES EN ACTION. Un nouveau titre de dette a fait son apparition au Canada cet été et il pourrait provoquer de grands bouleversements dans le secteur des actions privilégiées au pays, croit Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret.
M. Fournier note que la Banque Royale, la CIBC et la Banque Nationale ont procédé à des émissions de billets de capital à recours limité (limited recourse capital notes) cet été. Selon lui, cette nouvelle catégorie de titre de dette, autorisée par le Bureau du surintendant des institutions financières, a le potentiel de remplacer à terme les émissions d'actions privilégiées, boudées depuis quelques années en raison des faibles taux d'intérêt au pays.
Il précise que les grandes banques canadiennes pourraient procéder à des émissions de billets de capital à recours limité totalisant 16,7 milliards de dollars au cours des prochaines années. Si cet argent devait servir au rachat d'actions privilégiées, cela forcerait les fonds communs d'actions privilégiées à redéployer ce capital dans un marché peu liquide.
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