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... moreBy Richard Fremder
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La famille des Brunhoff, d’origine alsacienne et issue de la bourgeoisie protestante, s’est installée à Paris à la fin du XIXe siècle, choisissant la nationalité française.
Avant la Première Guerre mondiale, elle a vécu dans un milieu aisé, imprégné de culture et d’art. Maurice de Brunhoff, le patriarche, dirige une maison d’édition et évolue dans les cercles intellectuels de la capitale.
Bourgeois parisiens, les Brunhoff vont être également attentifs aux grands débats de leur époque, comme les tensions croissantes en Europe et les bouleversements technologiques et culturels du début du XXe siècle.
Ce climat familial, centré sur l’éducation et la littérature, va influencer les générations suivantes, notamment Jean de Brunhoff, futur créateur de Babar.
En 1914, comme beaucoup, la famille ne mesure pas encore l’ampleur des bouleversements que la guerre va provoquer. Dirigeant Vogue en France, entre autre, ils vont s’en relever, et l’histoire va devenir merveilleuse, avec la création du petit éléphant que nous connaissons tous, Babar.
Cette première partie ira jusque là, avant d’aborder les années terribles, celle de la seconde guerre mondiale.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "Timeline 5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo
Naissance de la liberté : une autre histoire du XVIIIe siècle.
13 février 1689. Réunis au palais de Whitehall, les membres du Parlement d'Angleterre procèdent à l'intronisation de Guillaume d'Orange et de son épouse Marie. Une révolution est à l'œuvre : lue devant le couple princier, la Déclaration des droits réaffirme solennellement les privilèges parlementaires menacés par les empiètements de la prérogative royale. Appelé à séduire l'Europe des Lumières, le modèle politique anglais a vu le jour.
4 juillet 1776. Par la voie de leurs représentants au Congrès de Philadelphie, les colons britanniques rompent les amarres avec la mère patrie. L'acte de naissance des États-Unis d'Amérique, la Déclaration d'indépendance, fait voler en éclats le modèle politique conçu sur les rives de la Tamise et pose les fondements de la république.
Tournée contre l'absolutisme, cette nouvelle manière d'appréhender la chose publique a tôt fait de trouver des adeptes sur le Vieux Continent. " Nulle autorité politique qui, créée hier ou il y a mille ans, ne puisse être abrogée dans dix ans ou demain ", observe Denis Diderot. Un ordre immémorial vacille. Il ne tardera pas à trouver son nom de baptême : l'Ancien Régime.
Edmond Dziembowski, notre invité par téléphone, en explore les soubresauts avec talent et livre une synthèse magistrale racontant cet autre Grand Siècle, celui des révolutions, qui prit source en Angleterre et s'acheva en France, en passant notamment par les États-Unis.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante.
Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire.
Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
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Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon.
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Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée.
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En compagnie de l’historien Thierry Sarmant, nous découvrons Catherine II de Russie, ou Catherine la Grande.
Catherine, c’est l'impératrice qui a transformé la Russie en un empire puissant et influent au XVIIIe siècle.
Née en Allemagne, elle arrive en Russie pour épouser le tsarévitch Pierre III. Son destin bascule lorsqu’elle prend le pouvoir en 1762 après un coup d'État contre son propre mari, devenant l'une des femmes les plus puissantes de son époque.
Visionnaire, elle modernise le pays, développe les arts et la culture, et s'entoure des plus grands penseurs des Lumières, comme Voltaire et Diderot. Sa vie est marquée par des passions, des alliances stratégiques, et une ambition sans limite.
Mais derrière l'image de l’impératrice éclairée se cache une dirigeante implacable, prête à tout pour défendre son empire.
Catherine la Grande, c’est l’histoire d’une femme fascinante, à la fois réformatrice et conquérante, qui laisse un héritage impressionnant et inspire encore aujourd'hui.
Bibliographie
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« Nous savons comment retrouver les terroristes et les tuer. Mais il y a une chose sur laquelle nous n’avons pas travaillé : comment empêcher les terroristes de devenir des terroristes. » Leon Panetta, ancien directeur de la CIA
Tout le monde pense connaître la Central Intelligence Agency. Pourtant les méthodes de l’Agence ont été profondément transformées par les événements du 11 septembre 2001.
L'auteur, Antoine Mariotti, notre invité en studio, nous ouvre les coulisses passionnantes de ce monde empreint de secrets et de paradoxes.
Le journaliste est allé aux États-Unis à la rencontre d’anciens espions et directeurs de la CIA qui lui ont raconté leurs missions, leurs succès, leurs désillusions et parfois leurs échecs.
Un récit vivant qui nous embarque directement sur le terrain : la traque de Ben Laden et autres leaders d’Al-Qaïda et de l’État islamique, les écoutes téléphoniques, les raids nocturnes, le face-à-face avec Saddam Hussein, les dessous du célèbre discours de Colin Powell sur l’Irak à l’ONU, la torture, les prisons secrètes, la diplomatie parallèle mais aussi les doutes dans les bureaux de Langley, les trahisons et les ordres politiquement incorrects.
De l’Afghanistan à la Corée du Nord en passant par la Syrie, la Chine, l’Ukraine, la Maison-Blanche et les rapports tempétueux entre la CIA et Donald Trump ou encore les collaborations des Américains avec la DGSE, voici plus de vingt-cinq ans d’histoires édifiantes qui ont façonné le monde de ce début du XXIe siècle.
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