Plus de 30 % des hospitalisations de personnes âgées fragiles est reliée à un problème relié à la pharmacothérapie et plus de 55% de ces problèmes sont jugés évitables. Un sondage éclair conduit par l’A.P.E.S. à l’automne 2017 a révélé que les patients en CHSLD prenaient, en moyenne, quatorze médicaments différents, soit onze médicaments réguliers et trois au besoin. Dans ce contexte, Trait Pharmacien reçoit Sabrina Almassy, pharmacienne au CISSS de la Montérégie-Centre - Hôpital du Haut-Richelieu pour discuter déprescription.

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La thrombose est plus fréquente qu’on le pense chez nos patients souffrant de cancer. En effet, environ 1 patient sur 5 cancéreux va développer une thromboembolie veineuse et près d’un événement thrombotique sur 5 est relié au cancer. Il est donc important d’en prévenir l’apparition et de bien les traiter le cas échéant. Pour en discuter, Trait Pharmacien reçoit M. Denis Brouillette, pharmacien à l’Institut de cardiologie de Montréal et chargé de cours à la faculté de pharmacie de l'Université de Montréal.

En avril 2019, la Global Initiative for Asthma a publié de nouvelles recommandations qui pourraient être considérées comme le changement le plus fondamental dans la gestion de l’asthme depuis 30 ans. Pour en parler, nous recevons Marie-France Beauchesne, pharmacienne au CIUSSS de l’Estrie-CHUS et Responsable des programmes, perfectionnement professionnel au Centre FOCUS de la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal.

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Les patients vulnérables, particulièrement en oncologie, reçoivent-ils les bons vaccins au bon moment? Pour en discuter, Trait Pharmacien reçoit Jean-Philippe Adam, pharmacien en oncologie au CHUM et détenteur d’une double certification américaine de spécialiste en oncologie (BCOP) et en pharmacothérapie (BCPS).

En décembre prochain, le Centre anti poison du Québec utilisera un nouveau protocole pour l’antidote N-acétylcystéine suivant une intoxication à l’acétaminophène. Pour en parler, Trait Pharmacien reçoit Audrée Elliott, pharmacienne au CIUSSS de la Capitale-Nationale.

Références:

Centre antipoison du Québec, section professionnels de la santé

https://www.ciusss-capitalenationale.gouv.qc.ca/centre-antipoison-du-quebec/capq-professionnels-sante

Guide canadien des antidotes en toxicologie d’urgence

https://www.ciusss-capitalenationale.gouv.qc.ca/antidotes

Pour nous aider à mieux comprendre cette maladie affective bipolaire et son traitement, Trait Pharmacien reçoit Karolann Arvisais, pharmacienne à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal du CIUSSS de l'Est-de-l'île-de-Montréal. Karolann est également impliquée dans l’enseignement des étudiants à la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal et enseigne la psychopharmacologie à l’Université McGill, l’Université du Québec en Outaouais et à l’Université du Québec à Rimouski Elle est aussi membre du Regroupement de pharmacien expert en psychiatrie de l’A.P.E.S.

L’avancement de la profession, la reconnaissance des expertises et la possibilité d’effectuer de nouvelles activités, cela concerne tout le monde, tant le pharmacien d’établissement que le pharmacien communautaire. Dans cet épisode, Trait Pharmacien vous propose un survol de ce qui se fait ailleurs en termes de pratique avancée et de spécialisation. Ces concepts sont d’autant plus pertinents qu’ils risquent d’être discutés dans la foulée des nouvelles activités associées à la Loi 31, actuellement en discussion au Québec.

Le délirium est un problème répandu, mais malheureusement trop peu reconnu. Les pharmaciens devraient s’y intéresser, car il est associé à une augmentation de la morbidité et de la mortalité chez nos patients. Le délirium sévit en CHSLD, lors des séjours à l’urgence ou sur l’unité de soins, particulièrement après une chirurgie. Il est peut-être moins connu que le délirium survient le plus fréquemment chez les patients hospitalisés aux soins intensifs. Pour en parler, nous recevons David Williamson, pharmacien en soins critiques à l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal.

Est-ce que la pharmacie telle que nous la connaissons est menacée par l’intelligence artificielle ou est-ce que les pharmaciens devraient y voir une opportunité? Pour faire le point sur la question, nous recevons Maxime Thibault, pharmacien au CHU Ste-Justine

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Il est bien connu que l’obésité est de plus en plus présente dans les pays industrialisés. En 2015, l’INSPQ constatait qu’un (1) québécois sur 4 était obèse par rapport à 14 % en 1978. Par ailleurs, on sait que les échecs aux traitements antibiotiques sont plus fréquents qu’auparavant; échecs très souvent attribués à la résistance. Serait-ce possible que chez les patients obèses ces échecs au traitement antibiotique soient davantage reliés à un dosage inadéquat compte tenu de leur masse corporelle? Pour éclaircir la question, nous avons invité Julie Perron, pharmacienne à l’hôpital de Granby du CHU de l’Estrie-CHUS.

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