Y'a plus de saisons

François Ruffin est clairement l’un des être humains préférés de Swann. Le premier debout pour boire du Ricard et nous émouvoir, il est l’un des seuls hommes politiques qui la fascine par sa persévérance et son honnêteté.  Pendant près d’une heure trente, Swann et lui parlent de la position debout comme seul remède contre la sciatique et Macron, de comment chanter hatchik hatchik hatchik pendant un débat politique, et de l’intérêt des mégaphones en bas des tours. Ruffin nous raconte pourquoi il n’utilise plus les expressions que Macron utilise, pourquoi il faut ré-apprendre à fabriquer des machines à laver en France, l’endroit de la France qu’il choisit toujours pour ses vacances (et pour uriner apparemment), et comment une entreprise devrait être dirigée par les patrons, les salariés, et des ONG. Comment trouver un bon lasso pour attraper les tigres qui ne payent pas d’impôts ? Les riches sont-ils loyaux envers la France ? Nos enfants entendront-ils les hirondelles chanter ? Et entre le Roi Soleil et Macron, qui écoute le moins le peuple ? Les machines sont-elles au service du bonheur ? 

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La journaliste économique revient sur la scène de « don’t look up » qu’elle a vécue, sur le vrai titre de « j’irai où tu iras », qui aurait dû être « j’irai n’importe où, mais pas ici », et sur à quel point les journalistes de BFM sont, eux, des militants.

Swann s’est replongée dans ses cours d’économie de terminale ES pour pouvoir recevoir Salomé Saqué dans Y’a plus de saisons comme il se doit, et il y a de quoi se réjouir. Cette dernière nous explique comment s’enfuir d’Ardèche en terrorisant les conducteurs de voiture, pourquoi on n’était pas obligés de faire travailler les Français jusqu’à 64 ans, et comment quand « un tiers des Français sont favorables à la réforme chômage », ça veut dire que deux tiers ne le sont pas ! La cheffe du service de réanimation de la France nous guide sur pourquoi, selon elle, la plupart des média ne mettent pas en valeur d’alternatives économiques, sur le mythe de la méritocratie, et sur comment, en tant que jeune, se faire aider pour prendre soin de sa santé mentale dans une société difficile.

Dans cet épisode, vous allez apprendre comment obtenir des interviews même pendant un enterrement, ce qu’il ne faut absolument pas faire quand on se perde dans la neige, et ce que se dit Swann quand elle croise quelqu’un qu’elle ne reconnaît pas.

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Le journaliste et militant Hugo Clément revient sur les plans à 3 qu’il n’a pas su éviter, sur les membres de la famille de bambi répartis en tatouage sur les bras de sa famille, et sur les poussières d’étoile.

Swann a bravé les agressions verbales des anti écolo et de son public woke pour pouvoir inviter Hugo Clément sur Y’a plus de saisons, et il y a de quoi se réjouir. Il nous explique pourquoi c’est important de sortir de ses réseaux pour toucher un public non acquis à la cause, nous apprend plein de choses sur l’intelligence des animaux, et sur pourquoi il continuera à débattre avec l’extrême droite. Swann arrive même à lui arracher un petit « il faut taxer les riches pour une société plus égalitaire », mais d’un autre côté; quant à lui, il fait avouer Swann devant tout le monde la chose la plus honteuse de sa vie,  qui lui coûtera peut être sa carrière après la publication de ce podcast…

Dans cet épisode vous allez apprendre que Swann a déjà accompagné un chasseur sachant chasser, qu’Hugo a longtemps rêvé de devenir commissaire de police, que le crush écolo de Swann est en fait un écureuil, et que « A69 » est un super nom pour un club libertin.

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