Paul conclut sa Lettre aux Romains avec une vision magnifique de l’Église : une humanité offerte à Dieu dans l’Esprit. Il exhorte les forts à porter les faibles, à s’accueillir mutuellement comme le Christ nous a accueillis. L’espérance devient le fil conducteur : Dieu est le Seigneur de la patience, du réconfort et de la paix. Paul confie ensuite son ministère — service liturgique et sacerdotal — d’annoncer l’Évangile pour que les nations deviennent une offrande agréable à Dieu. Enfin, il salue longuement ses compagnons et bénit l’Église : l’évangélisation n’est pas une tâche solitaire, mais une grande liturgie d’amour.

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