Les dégénérescences lobaires fronto-temporales (DLFT), souvent appelées démences fronto-temporales (DFT), se caractérisent par la mort progressive des neurones au niveau du lobe frontal et de la partie antérieure du lobe temporal du cerveau, zone qui permet la pensée abstraite, l’adaptation du comportement et certains aspects du langage. Elles sont dues à une accumulation anormale de protéine TDP-43 ou de protéine tau et concernent 10 000 à 20 000 personnes en France.

Après un 1er épisode de PODC'ALZ, avec le Dr Isabelle Le Ber, neurologue et chercheuse spécialiste en génétique, au cours duquel nous avons abordé les spécificités de cette pathologie (symptômes, diagnostic, prise en charge, traitements....), cette fois nous évoquons l'état des lieux et les avancées de la recherche.

Pour en savoir plus sur les travaux du Dr Isabelle Le Ber soutenus par la Fondation : https://alzheimer-recherche.org/projets-2023/mieux-diagnostiquer-les-dft/

Pour en savoir plus sur les maladies dites "apparentées" à Alzheimer : https://alzheimer-recherche.org/maladies-apparentees/

L'association France DFT : https://www.france-dft.org/page/274401-notre-association

Le 11 février est la journée internationale des femmes et des filles de science. Quoi de mieux pour célébrer cette date que de donner la parole à une jeune et brillante chercheuse afin qu’elle nous parle de son parcours et de son métier ?

Un grand merci Arabella Bouzigues d’avoir accepté de témoigner dans cet épisode de PODC’ALZ le podcast de la Fondation Recherche Alzheimer.

Arabella Bouzigues travaille au FrontLab à l’Institut du Cerveau, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris.

Dans cet entretien, Arabella évoque avec passion sa vocation, son parcours d'étudiante puis de jeune chercheuse sur les maladies neurodégénératives. Elle partage son enthousiasme pour cette carrière qui la passionne sans pour autant cacher les aspects plus difficiles de ce métier.

Un épisode de podcast qui suscitera, nous l'espérons, d'autres vocations !

Pour en savoir plus sur le projet de thèse d'Arabella Bouzigues : https://alzheimer-recherche.org/arabella-bouzigues/

La maladie d’Alzheimer touche actuellement un million de personnes en France. Avec le vieillissement démographique, ce chiffre devrait connaître une hausse significative dans les années à venir. À ce jour, aucun traitement curatif n’existe, seuls certains médicaments permettent d’atténuer voire ralentir les symptômes. La recherche s’attache donc à améliorer la prévention et à retarder l’apparition de la maladie en identifiant les facteurs de risque et en développant des stratégies pour en limiter les effets. Parmi ces facteurs, le sommeil suscite un intérêt croissant.

En effet, certaines études suggèrent qu’un sommeil de mauvaise qualité pourrait accroître le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Un lien largement relayé dans les médias, parfois de façon un peu sensationnaliste.

Pour faire le point sur les interactions entre sommeil et maladie d’Alzheimer, la Fondation Recherche Alzheimer a fait appel à la chercheuse Géraldine Rauchs, Directrice de recherche à l'INSERM, Equipe Neuropresage GIP Cyceron à Caen et experte du sujet.

Géraldine Rauchs a également accepté la direction de la rédaction du premier numéro de Syn’Alz, une revue annuelle de la Fondation Recherche Alzheimer, consacré au même sujet.

📌Syn'Alz est disponible ici : https://www.helloasso.com/associations/fondation-pour-la-recherche-sur-alzheimer/boutiques/boutique-en-ligne-fondation-recherche-alzheimer

Les dégénérescences lobaires fronto-temporales (DLFT), souvent appelées démences fronto-temporales (DFT), se caractérisent par la mort progressive des neurones au niveau du lobe frontal et de la partie antérieure du lobe temporal du cerveau, zone qui permet la pensée abstraite, l’adaptation du comportement et certains aspects du langage. Elles sont dues à une accumulation anormale de protéine TDP-43 ou de protéine tau et concernent 10 000 à 20 000 personnes en France.

Dans ce nouvel épisode de PODC'ALZ, nous abordons avec le Dr Isabelle Le Ber, neurologue et chercheuse spécialiste en génétique, les spécificités de cette pathologie, des symptômes au diagnostic, de la prise en charge aux traitements.

Pour en savoir plus sur les maladies dites "apparentées" à Alzheimer : https://alzheimer-recherche.org/maladies-apparentees/

Pour en savoir plus sur les travaux du Dr Isabelle Le Ber soutenus par la Fondation : https://alzheimer-recherche.org/projets-2023/mieux-diagnostiquer-les-dft/

En savoir plus sur France DFT : https://www.france-dft.org/page/274401-notre-association

En 2024, la Fondation Recherche Alzheimer a fêté ses 20 ans d’existence. Dans ce dernier épisode de PODC’ALZ de l’année, les 2 fondateurs, le Dr Olivier de Ladoucette et le Pr Bruno Dubois, reviennent sur ces 20 années de lutte contre la maladie d’Alzheimer et  abordent les perspectives d’avenir de la recherche.

Créée en 2024, reconnue d'utilité publique en 2016 et labellisée IDEAS en 2024, la Fondation est désormais le 1er financeur privé de la recherche sur Alzheimer en France. Elle a pour mission de soutenir la recherche sur la maladie d'Alzheimer, les maladies dites « apparentées » et de faire évoluer les connaissances sur le sujet notamment grâce à la recherche clinique, c'est-à-dire centrée sur le patient. Depuis sa création, la Fondation a apporté un soutien financier de 24 millions d'euros à plus de 175 chercheurs en France et en Europe, ayant pour objectifs principaux la mise au point d'un diagnostic précoce et des traitements efficaces.

Pour en savoir plus sur les actions de la Fondation Recherche Alzheimer : https://alzheimer-recherche.org/

Dans cet épisode de PODC'ALZ, nous avons le grand plaisir de recevoir le Dr Stéphanie Bombois, neurologue à la Pitié-Salpêtrière et vice-présidente de la Fédération française des Centres Mémoire de Ressources et de Recherche (CMRR).

Les CMRR sont des centres d'expertise de la maladie d'Alzheimer et des maladies dites "apparentées" à Alzheimer. Ils viennent en appui des consultations mémoire de proximité et de territoire pour les avis diagnostiques difficiles, les malades jeunes et les maladies rares. Les CMRR proposent également des soins et peuvent aussi être des centres de recherche.

Au cours de cet entretien nous abordons notamment les points suivants :

Qu’est ce qu’un CMRR ?

Comment se passe la prise en charge des patients en CMRR ?

Comment se passe une consultation mémoire ? Quels genre de tests passe-t-on ?

Quelles autres ressources proposent les centres mémoire ?

Comment trouver un CMRR à proximité ?

Pour en savoir plus sur les CMRR et leur maillage territorial, unique au monde :

https://cref-demrares.fr/Le-reseau-des-Centres-Memoire-de-Ressources-et-de-Recherche-CMRR

Dans cet épisode de PODC'ALZ, nous avons le grand plaisir de recevoir Renato Walkowiak, coach sport & santé et créateur de la formidable initiative PING4ALZ, un programme innovant d'accompagnement pour lutter contre la maladie d'Alzheimer.

D'après plusieurs études, le tennis de table est le sport qui stimule le plus le système cognitif, et notamment la zone de l'hippocampe, centre de la mémoire et une des premières zones du cerveau à être touchée par la maladie d'Alzheimer.

Quels sont les différents bienfaits du tennis de table selon les études ? 

Comment se déroule une séance PING4ALZ ? 

Quel est le public de PING4ALZ ?

Un programme pour les malades ... tous les malades ?

Et les aidants ?

Renato Walkowiak répond à toutes nos questions et nous parle aussi des Entretiens Alzheimer qui lui ont permis de tisser des liens utiles pour promouvoir son programme et rencontrer des chercheurs.

Plus d'informations sur PING4ALZ sur le site : https://www.ping4alzheimer.com/

Voir le reportage sur PING4ALZ sur notre chaîne Youtube : 

Prévenir Alzheimer, est-ce possible ?

Selon les chercheurs, plus de 40% des cas de maladies d’Alzheimer pourraient être évités grâce à une prévention adaptée et la prise en compte de certains facteurs de risque modifiables.

Alors que la maladie touche 1 million de personnes en France et qu'il n'existe encore aucun traitement efficace disponible, la prévention de la maladie d'Alzheimer est un enjeu crucial de santé publique.

Dans ce nouvel épisode de PODC'ALZ nous passons en revue ces facteurs de risques modifiables avec le Dr Nicolas Villain, neurologue et chercheur à la Pitié-Salpêtrière, maître de conférences à Sorbonne Université, qui a participé à l'écriture du livre "Alzheimer n'est pas une fatalité" paru chez HarperCollins.

Nicolas Villain revient aussi sur les facteurs de risques génétiques et donne des conseils pratiques pour agir au quotidien en prévention pour repousser la maladie.

Pour en savoir plus sur la prévention du déclin cognitif et de la maladie d'Alzheimer, le livre "Alzheimer n'est pas une fatalité" est un ouvrage collectif sous la supervision du Dr Olivier de Ladoucette et le Pr Bruno Dubois qui fait le point avec les meilleurs experts et offre des pistes concrètes d'action pour chacun : https://www.harpercollins.fr/products/alzheimer-nest-pas-une-fatalite

Julien Raynaud, 27 ans, est accompagnant éducatif et social (AES) auprès de personnes atteintes d’Alzheimer. Le rôle d'un ou une AES est de réaliser les interventions du quotidien pour aider les personnes en manque d'autonomie.

Dans cet épisode de PODC’ALZ il nous parle de son parcours et de son métier qui le passionne.

Quelles sont les spécificités du travail avec les malades d’Alzheimer ?

Comment se déroule une journée type en Unité Alzheimer ?

Julien Raynaud répond à toutes nos questions et raconte également son engagement pour la lutte contre Alzheimer à travers son compte Instagram @alzheimer_facts et ses défis sportifs et solidaires.

Si vous souhaitez contacter Julien pour en savoir plus ou dans le cadre professionnel, envoyez lui un message via son compte Instagram : https://www.instagram.com/alzheimer_facts/

Avec plus de 1 300 000 personnes atteintes de maladies neurodégénératives, on estime à plus de 3 millions d’aidants familiaux en France qui prennent soin de leurs proches malades et sont impactés au quotidien.

Toutes situations confondues, les aidants représentent 11 millions de personnes en France et aux alentours de 60 ans, 1 personne sur 4 est aidante (source DREES).

Dévoués et engagés, ces aidants sont exposés à un risque majeur : l'épuisement physique et moral, aussi appelé burn-out.

Comment reconnaître cet épuisement ? Et surtout, comment y faire face ?

A l'occasion de la journée nationale des aidants du 6 octobre, nous avons demandé au Docteur Olivier de Ladoucette, psychiatre et gériatre,  de nous parler de cet enjeu important pour tous ceux qui prennent soin de leur proche en perte d'autonomie.