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Une rue commerçante du 7e arrondissement de Paris. On franchit une grande porte bleue et on se dirige à gauche au fond de la cour. Sandrine Kiberlain nous reçoit, à l'occasion de la sortie du film Le Parfum vert de de Nicolas Pariser, chez elle, dans un espace « intime » auquel peu de gens accèdent et qui lui ressemble.
La comédienne âgée de 54 ans évoque le quatuor formé pendant son enfance avec ses parents et sa sœur à Saint-Mandé dans le Val-de-Marne, ses grands-parents rescapés de la Shoah, les personnages qu'elle s'inventait pour jouer, son amour pour la musique de Françoise Hardy et de Michel Berger, son initiation à la scène grâce à Francis Huster, son adoration pour Ingrid Bergman, Diane Keaton, Meryl Streep ou Isabelle Huppert. l'évolution de ses personnages au fil de sa carrière et ses rôles dans les derniers films d'Emmanuel Mouret ou de Nicolas Pariser.
Elle revient également sur ses dégoûts comme la familiarité – « je peux paraître froide au début, j'aime pas quand les gens font semblant de vous connaître alors qu'ils ne vous connaissent pas » – ou l'incompétence – « je ne supporte pas, ça me rend dingue, mais je le dis même pour moi ».
Depuis quatre saisons, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.
Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)
préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Imène Benlachtar
Réalisation : Emmanuel Baux
Musique : Gotan Project
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
By Le Monde4.6
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Une rue commerçante du 7e arrondissement de Paris. On franchit une grande porte bleue et on se dirige à gauche au fond de la cour. Sandrine Kiberlain nous reçoit, à l'occasion de la sortie du film Le Parfum vert de de Nicolas Pariser, chez elle, dans un espace « intime » auquel peu de gens accèdent et qui lui ressemble.
La comédienne âgée de 54 ans évoque le quatuor formé pendant son enfance avec ses parents et sa sœur à Saint-Mandé dans le Val-de-Marne, ses grands-parents rescapés de la Shoah, les personnages qu'elle s'inventait pour jouer, son amour pour la musique de Françoise Hardy et de Michel Berger, son initiation à la scène grâce à Francis Huster, son adoration pour Ingrid Bergman, Diane Keaton, Meryl Streep ou Isabelle Huppert. l'évolution de ses personnages au fil de sa carrière et ses rôles dans les derniers films d'Emmanuel Mouret ou de Nicolas Pariser.
Elle revient également sur ses dégoûts comme la familiarité – « je peux paraître froide au début, j'aime pas quand les gens font semblant de vous connaître alors qu'ils ne vous connaissent pas » – ou l'incompétence – « je ne supporte pas, ça me rend dingue, mais je le dis même pour moi ».
Depuis quatre saisons, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.
Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)
préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Imène Benlachtar
Réalisation : Emmanuel Baux
Musique : Gotan Project
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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