Est-il un diable, ou un génie ? Elon Musk, le patron de Tesla et de Space X, est très controversé. Depuis un an, s’il fait parler de lui, c’est souvent en rapport avec Twitter, ou plutôt X. Il y a bientôt un an, le 27 octobre 2022, Elon Musk, addict à Twitter, rachète le réseau social à l’oiseau bleu. Créé en 2006, ce dernier s’est imposé dans les années 2010 comme un réseau social incontournable. Part intégrante de la vie médiatique, propice à la diffusion d’informations et aux débats, Twitter a toujours eu une histoire mouvementée. Dissension, trahisons internes, rachats avortés, la plateforme a aussi été régulièrement pointée du doigt pour son manque de modération et la prolifération de faux comptes et de désinformation. Le rachat par Elon Musk est lui aussi une suite de péripéties dont le commencement se trouve en avril 2022.

Adepte de la liberté d’expression la plus absolue, le milliardaire a profondément changé ce réseau social. Vagues de licenciements, retours des comptes suspendus, désinformation et prolifération de contenus violents et haineux, Twiiter, déjà chaotique, l’est devenu encore plus. Ajoutez à cela la fuite des annonceurs, principale source de revenus d’une plateforme qui peinait déjà à gagner de l’argent, et vous obtenez un cocktail explosif. Sans oublier l’abonnement payant, l’arrivée d’une nouvelle PDG, le projet de super application… À l’occasion des un an d’Elon Musk à la tête de X, Siècle Digital passé en revue l’histoire du réseau social, ses changements sous l’ère Musk, ainsi que son avenir avec Damien Leloup, journaliste pour LeMonde.

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En 2022, 37,4 millions de Français jouaient aux jeux vidéo. Depuis des années, ces mondes virtuels suscitent la convoitise, la polémique, mais surtout, ils séduisent. Grâce à la diversité des jeux proposés d'une part, mais également au nombre de support. Certains jeux permettent évidemment de jouer en réseaux, avec des amis ou des inconnus. Une fonctionnalité qui attire, surtout quand elle se transforme en compétition. À ce sujet, vous avez forcément déjà entendu parler d’Esport. Mais c’est quoi au juste l’esport ? La réponse vous sera donnée dans ce podcast.

L’Esport, c’est aujourd’hui une industrie en plein boom, qui représente plus de 1,3 milliard de dollars. Des équipes du monde entier s’affrontent régulièrement, dans des compétitions toujours plus suivies, avec des fans toujours plus nombreux et engagés. Malgré cette santé a priori florissante, son modèle économique est encore instable. Cela peut étonner pour un secteur apparu dès les 70. Alors pour analyser ce marché, Siècle Digital s'est adressé à des experts : Matthieu Dallon, fondateur de l’Electronic Sports World Cup et de Trust Esport Venture ; Antoine Billy alias TPK, commentateur Esport, streamer, expert en jeux de combat ; Nicolas Besombes, sociologue du sport et ancien Vice-président de France Esport ; Nicolas Maurer, CEO de Vitality, l’un des plus grands clubs français.

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Vous en avez forcément déjà entendu parler. Le DSA, pour Digital Services Act, est un texte européen ambitieux et historique. Comme son nom l’indique, il doit encadrer les services numériques au sein de l'Union européenne. Bien des responsables politiques européens ont résumé son principe ainsi : rendre ce qui est illégal hors ligne, illégal en ligne. Toutefois, que va changer cette réglementation, concrètement, dans nos vies ? Traçage publicitaire, transparences des algorithmes, modération, protection des mineurs, nos quotidiens pourraient incessamment être impactés par le DSA. Aussi, quelles sont les entreprises concernées ? Depuis son entrée en vigueur le 25 août dernier, toutes les plateformes dépassant les 45 millions d’utilisateurs en Europe doivent s'y conformer. Qu'elles se nomment Google, Amazon, TikTok, YouTube, Facebook, Instagram ou bien X. 19 mastodontes du Web sont touchés.

Enfin, les plateformes ont-elles joué le jeu ? La Commission est-elle prête ? Certaines sociétés ont déjà entamé des procédures en justice pour contester leurs présences dans la liste. Finalement, une seule chose est sûre : le DSA va radicalement changer le numérique européen. Pour bien le comprendre, plongez dans les entrailles du Digital Services Act, avec les explications de Geoffroy Didier, eurodéputé français, membre du parti populaire européen et rapporteur du DSA.

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Arm est un géant des semi-conducteurs très discret. Cette société britannique détenue par le conglomérat Japonais SoftBank est derrière 99% des smartphones, derrière ⅔ tiers des objets connectés et plus de 40% des voitures. Près de ¾ de la population mondiale utiliserait au moins un produit basé sur sa technologie. Pourtant son histoire est loin d’être un long fleuve tranquille. Histoire qui vient d’ailleurs de connaître un tournant : une entrée en Bourse en plein marasme sur les marchés financiers.

Devant une telle actualité, Siècle Digital a estimé qu’un épisode sur cette société s’imposait. Nous allons revenir sur son histoire et sa domination du marché. Comment Arm est passé de la Bourse britannique au giron d’un grand groupe japonais ? Pourquoi ce dernier a-t-il voulu s’en débarrasser, pour finalement finir par la réintroduire en Bourse ? Comment Arm est parvenu à dominer le marché des semi-conducteurs ? Accompagnés de Benjamin Terrasson, journaliste à Siècle Digital, nous répondrons à toutes ces questions, et vous raconterons les péripéties qui ont émaillé l’histoire de ce mastodonte.

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Après 3 ans de procédure, assiste-t-on au procès du siècle ? La section antitrust du département de la Justice américain fait face à Google devant un tribunal fédéral. Le procès a commencé le 12 septembre à Washington DC et il pourrait tout simplement changer la façon dont sont régulés les géants du numérique. Il est reproché à Google d’avoir passé des accords à plusieurs milliards avec d’autres sociétés comme Apple. Le but : faire de Google leur moteur de recherche par défaut. En 2023, Google, c’est déjà 90 % des recherches aux États-Unis, 91 % dans le monde.

Mais bien au-delà de ce qui est reproché à la plateforme, ce procès, c’est finalement l’antitrust tentant de contrer l’influence sur l’économie et le politique des entreprises monopolistiques. Souvent comparée au procès historique contre Microsoft, de 1998, cette affaire contient des implications allant bien plus loin qu’on ne le pense. Pour en analyser les tenants et ses aboutissants, Siècle Digital s'est entretenu avec le professeur d’économie Olivier Bomsel.

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En 2023, la transformation digitale est un passage obligé pour les entreprises, afin de répondre aux grands enjeux de compétitivité, de vitesse et de croissance. Alors que le numérique est partout, est-ce pour autant facile d'effectuer sa transition ? Selon une étude menée par McKinsey en 2022, 70 % des projets de digitalisation seraient un échec. En cause ? Un manque de communication, des délais non tenus et une prise en compte trop légère du facteur humain.

Pour réussir sa transformation numérique, de plus en plus d'organisations mettent en place une Digital Factory. Cette structure intègre toutes les compétences de la chaîne de valeur digitale et les technologies de pointe. Elle permet de créer des produits digitaux, rapidement et avec un réel suivi dans la durée, tout en apportant de la valeur aux utilisateurs. Un dispositif unique et efficace, que Siècle Digital

a décidé d'expliquer dans cet épisode sponsorisé, avec Emmanuel Valluche, Directeur conseil chez Kaliop et Benoît Salmon, Tribe Lead Tech chez Accor.

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Comment écoutez-vous votre musique ? Comme de plus en plus de personnes, il est probable que cela passe par des plateformes de streaming. Ce modèle a bouleversé l’industrie musicale de ces 20 dernières années, allant peut-être même jusqu'à la sauver... Le streaming musical, c'est une révolution pour les artistes, les auditeurs et les fans du monde entier. Plus besoin d’acheter un MP3, des CD, de quoi écouter ces CD. De nos jours, depuis un smartphone, il est possible d'écouter toutes les musiques ou presque, et à volonté. C’est tellement séduisant et avantageux que ce secteur n’en finit pas de progresser : en France, le marché de la musique enregistrée a affiché en 2022, une progression de 6,4 % de son chiffre d'affaires. Le nombre de plateforme se multiplie également : Spotify, Deezer, Amazon Music ou encore Apple Music, elles sont légion.

En quelques années seulement, le streaming est devenu le moteur de l’industrie musicale. Selon la Fédération internationale de l’Industrie phonographique, le streaming musical représente 67 % des revenus mondiaux de la musique enregistrée, soit l’équivalent de 17,5 milliards de dollars. Malgré tous ces bienfaits, le streaming musical ou plutôt son modèle économique, est critiqué. Alors Pourquoi ce modèle est-il tant remis en cause ? Pourquoi les artistes s’estiment parfois mal rémunérés ? Pourquoi les plus grandes plateformes ne sont-elles toujours pas rentables ? Beaucoup de questions auxquelles nous allons répondre avec le journaliste spécialisé et cofondateur du média LesJours, Sophian Fanen.

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Depuis le Covid, de plus en plus de personnes utilisent presque quotidiennement des services de livraisons de nourriture et de chauffeurs VTC. Des services proposés notamment par des géants bien connus, comme Deliveroo ou encore Uber. Mais savez-vous réellement ce qui se cache derrière ces livraisons ? Des hommes, des femmes, dont le statut est celui d’autoentrepreneur, d’indépendant. Au début du mois de février, le Parlement européen a justement voté en session plénière une présomption de salariat pour ces travailleurs de plateformes. Les enjeux et les questions autour de ce sujet sont nombreux. C’est tout de même plus de 20 millions de travailleurs européens qui sont concernés. Mais cette présomption de salariat, qu’est-ce que cela signifie exactement ? Est-ce vraiment la solution ? Est-ce une revendication majoritaire chez les chauffeurs et livreurs ? Pour répondre à ces questions, et tenter d’esquisser un état des lieux autour de la présomption de salariat, Siècle Digital s'est entretenu avec plusieurs acteurs concernés. Vous entendrez ainsi l’eurodéputée LFI Leïla Chaibi, mais aussi le Commissaire européen à l’Emploi et aux Droits Sociaux, Nicolas Schmit. Siècle Digital a également échangé avec Uber, ainsi qu’avec Ludovic Rioux, livreur et membre de la CGT Transport.

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Imaginez pouvoir répliquer un objet, une voiture, un bâtiment et même une ville numériquement. Une réplique précise, en ligne et surtout qui contiendrait des informations sur son pendant physique en temps réel. Une entreprise pourrait alors obtenir des informations en temps réel sur les opérations en cours sur l’objet répliqué numériquement. S'ajoute à cela une vision précise, détaillée des effets des décisions sur l’objet physique en question. L’optimisation des performances et l’augmentation de la production seraient alors facilitées. Faire tout cela, c’est déjà possible. Possible grâce à la technologie des jumeaux numériques. Une technologie qui, comme son nom l’indique, permet de prendre un objet, et d’en créer son jumeau virtuel. Dans cet épisode, nous allons donc explorer cette technologie, en quoi ça consiste, ce que cela permet de faire, mais aussi l’état du marché des jumeaux numériques. Le tout en compagnie de Michel Morvan, cofondateur de CosmoTech, entreprise française spécialisée dans les jumeaux numériques, ainsi que de Florence Verzelen, Directrice Générale adjointe en charge des Industries, du Marketing, et du Développement Durable de Dassault Systèmes.

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À l'ère du numérique, le marketing se transforme, une métamorphose dans le fond et la forme. Les nouveaux acteurs dans ce secteur sont désormais bien connus : les influenceurs.

Ces stars d’Internet créent du contenu, racontent leur quotidien, donnent des conseils de mode ou encore de bricolage, sur des plateformes telles que Youtube, Instagram et TikTok. À l'apogée des réseaux sociaux, ce nouveau métier de l'influence commercial s'impose et semble incontournable.

Toutefois, dans l'influence, il n’existe pas de règle précise. Un manque de réglementation pouvant amener à des conséquences néfastes. Quelques-uns profitent même de ce vide juridique pour maximiser les bénéfices. Par conséquent, les plaintes pour escroquerie se multiplient ces dernières années, poussant les parlementaires et le gouvernement français à s'emparer de cette problématique. Une loi devrait bientôt être définitivement adoptée.

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