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Or
Neutraliser une manifestation ne se fait pas forcément dans la violence.
Cela, les autorités néo-zélandaises le prouvent en dispersant des manifestants... d'une manière aussi inventive que singulière.
Répulsif acoustique
La crise sanitaire du Covid-19 a fatalement engendré son lot de manifestations.
Excédés par les nombreuses restrictions qui les frappaient, des Néo-Zélandais ont donc pris la rue ; à l'instar de nombreux autres peuples qui protestaient – eux aussi - à travers le globe.
Les manifestants de ce petit archipel océanien ont toutefois un léger avantage par rapport à tous leurs homologues du reste du monde : leur police semble privilégier des méthodes alternatives (et moins brutales) pour les dissiper.
En France, par exemple, l'on peut déplorer certaines violences policières (comme celles qui ont causé de terribles mutilations, au cours de la crise des "Gilets Jaunes").
En Nouvelle-Zélande, par contre, les seuls dégâts à souligner seraient à trouver... du côté des tympans des victimes !
En fait : après avoir eu recours aux arroseurs automatiques du parc où se trouvaient les riverains, les policiers kiwis ont décidé de passer aux choses sérieuses.
Dans un mécontentement général, ont été diffusées.... les musiques les plus impopulaires du pays (à savoir "Baby Shark" ou encore "Libérée Délivrée" du film "La reine des neiges") !
Le chant du départ
Certes : si certains parents – excédés par ces chants pour enfants qu'ils ne connaissaient que trop bien - ont fini par quitter les lieux, des âmes téméraires... n'ont toutefois pas entendu les choses de cette oreille !
Plutôt amusés par de telles méthodes, des manifestants se sont ainsi amusés à entamer des chorégraphies synchronisées ; tandis que les haut-parleurs de la police crachaient les sons honnis à plein volume.
Ces images insolites sont notamment visibles, sur des vidéos diffusées par le journal "BBC News".
Mais peu importe : pour la police, ce pari burlesque s'est avéré payant.
Aussi, même si quelques irréductibles kiwis persistaient à rester dans les parages ; la plupart des insurgés ont bien fini par plier bagage.
Le tout, "sans arme, ni haine, ni violence".
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Neutraliser une manifestation ne se fait pas forcément dans la violence.
Cela, les autorités néo-zélandaises le prouvent en dispersant des manifestants... d'une manière aussi inventive que singulière.
Répulsif acoustique
La crise sanitaire du Covid-19 a fatalement engendré son lot de manifestations.
Excédés par les nombreuses restrictions qui les frappaient, des Néo-Zélandais ont donc pris la rue ; à l'instar de nombreux autres peuples qui protestaient – eux aussi - à travers le globe.
Les manifestants de ce petit archipel océanien ont toutefois un léger avantage par rapport à tous leurs homologues du reste du monde : leur police semble privilégier des méthodes alternatives (et moins brutales) pour les dissiper.
En France, par exemple, l'on peut déplorer certaines violences policières (comme celles qui ont causé de terribles mutilations, au cours de la crise des "Gilets Jaunes").
En Nouvelle-Zélande, par contre, les seuls dégâts à souligner seraient à trouver... du côté des tympans des victimes !
En fait : après avoir eu recours aux arroseurs automatiques du parc où se trouvaient les riverains, les policiers kiwis ont décidé de passer aux choses sérieuses.
Dans un mécontentement général, ont été diffusées.... les musiques les plus impopulaires du pays (à savoir "Baby Shark" ou encore "Libérée Délivrée" du film "La reine des neiges") !
Le chant du départ
Certes : si certains parents – excédés par ces chants pour enfants qu'ils ne connaissaient que trop bien - ont fini par quitter les lieux, des âmes téméraires... n'ont toutefois pas entendu les choses de cette oreille !
Plutôt amusés par de telles méthodes, des manifestants se sont ainsi amusés à entamer des chorégraphies synchronisées ; tandis que les haut-parleurs de la police crachaient les sons honnis à plein volume.
Ces images insolites sont notamment visibles, sur des vidéos diffusées par le journal "BBC News".
Mais peu importe : pour la police, ce pari burlesque s'est avéré payant.
Aussi, même si quelques irréductibles kiwis persistaient à rester dans les parages ; la plupart des insurgés ont bien fini par plier bagage.
Le tout, "sans arme, ni haine, ni violence".
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