— Alors, pour dire la vérité, nous ne sommes pas lundi, mais nous sommes dimanche, en début de soirée. Je suis avec Micaela, nous sommes toutes les deux dans sa chambre, et elle va vous raconter un peu comment s’est passé le bac. Alors, je vais lui poser quand même quelques questions. Est-ce que tu as vraiment passé « le » bac la semaine dernière, lundi et mardi ? 

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Il y a quelque chose dont j’ai oublié de vous parler mercredi, quelque chose que j’ai oublié de vous dire. C’est la délicieuse odeur de la boutique L’instant cacao, elle vous surprend dès que vous passez la porte de la boutique. Les effluves du cacao, je ne sais pas, ça met dans de bonnes dispositions. 

Vous allez l’entendre, Marc Chinchole et sa mère aiment bien accueillir les clients. Anne-Laure et moi pouvons en témoigner. Et vous savez combien je pense que l’accueil peut changer une dégustation. Ici, vous serez dans les conditions idéales pour découvrir de nouvelles saveurs du cacao. 

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Chaque rencontre a une histoire, vous êtes d’accord. Celle-ci est arrivée d’une drôle de manière. Tout a commencé fin 2022 alors que je prenais le train à Bécon. Deux vieilles dames sur le quai discutaient. 

— Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu. 

— Oui, on ne se croise plus. 

Et ainsi de suite. Les deux dames avaient l’air de se connaître, mais pas intimement. 

Je suis montée derrière elles dans le train. 

— Si vous permettez, je vais m’asseoir avec vous, a dit l’une à l’autre. 

— Oui, bien sûr. Ainsi, vous allez acheter des chocolats. Où allez-vous ? 

Et là, la conversation a pris un tour très intéressant. 

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Samedi matin, un peu après 8 h 30, nous étions Francine, Nadège et moi sur le parking du CFDAS d’Eaubonne. C’est le centre sportif qui va accueillir la délégation des USA pendant les J.O. Nous avons aperçu Josépha de loin qui arrivait aussi. Voilà, toutes les quatre, nous participions aux championnats de France de kung-fu. Cette année, avec le changement de fédération, il n’y a pas eu de qualifications et j’ai pu y participer. 

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Mercredi, nous avons fait la connaissance des deux créateurs des sauces Papillon, Alexandre Juvin et Mathis Pellerin. Leurs recettes à base de légumes respectent les saisons et il s’agit de sauces fraîches, pas de conserves. Comment arrivent-ils à ce résultat ?

C’est ce que nous allons découvrir aujourd’hui.

La partie technique vaut vraiment la peine d’être comprise selon moi parce que je trouve qu’on se pose parfois assez peu de questions sur ce que nous mangeons et comment cela a été élaboré.

Je profite de cette introduction pour remercier Simon du magasin Les saisonniers à Levallois qui m’a encouragée à contacter les créateurs des sauces Papillon.

Chers auditeurs, aujourd’hui je vous emmène dans les coulisses de la création d’une très belle entreprise, les sauces papillon. Les sauces papillon valent à elles seules de ressentir l’impatience de venir à Paris. Derrière ces jolis bocaux remplis de légumes cuisinés avec goût et recherche, ils sont deux : Alexandre Juvin et Mathis Pellerin. Ce sont deux amoureux des produits frais qui se sont rencontrés à la fin de leurs études, à l’occasion d’une colocation à Bali pendant un stage. On imagine déjà des moments conviviaux dans leur cuisine. 

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La semaine dernière, Felicia n’a pas eu cours de français, car les élèves de première de son lycée passaient le bac blanc de français et tous les professeurs de français du lycée étaient mobilisés. Ce sera son tour l’année prochaine. Mais, elle avait anticipé le travail que lui avait demandé son professeur pour aujourd’hui : répondre à deux questions sur les chapitres 1 et 2 de la deuxième partie de Bel-Ami de Guy de Maupassant. 

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Combien d’agrumes connaissez-vous ? Et en français ? 

Les agrumes, c’est le sujet du dernier livre d’Anne Etorre dans lequel je vous invite à vous plonger. J’ai eu la chance de la rencontrer à la librairie de Nathalie Iris, Mots en marge, à La Garenne-Colombes. Un grand merci à Nathalie d’avoir organisé cette rencontre à l’occasion d’une dédicace. Et un grand merci à Anne Etorre d’avoir si gentiment accepté de répondre à quelques questions pour vous, chers auditeurs. 

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Dimanche soir, nous avons dîné devant la télé pour faire durer encore un peu la sensation de vacances. Les filles n’avaient pas hâte de retourner à l’école. Le rythme tranquille des deux dernières semaines leur plaisait bien, même si le bac approche pour Micaela.

— Et vous êtes partis ? nous a demandé Isabelle (de la marche nordique) qui est venue dimanche avec sa famille déjeuner avec nous.

— Nous sommes partis en week-end. Nous avons visité le Louvre Lens et Compiègne, ça nous a beaucoup plu.

Deux petites choses à vous dire avant de commencer : les archives de 2022 sont disponibles ! Vous pouvez vous procurer l’ensemble des textes et des fichiers audio pour 15 euros sur www.onethinginafrenchday.com

Deuxième chose : les vacances de février commencent ce soir, si vous êtes abonné au transcript, vous recevrez pendant deux semaines de courts épisodes enregistrés sur le vif. C’est donc un autre format que le podcast habituel. Pour compléter cette expérience j’ouvre un forum sur lequel vous pourrez commenter les épisodes pendant cette période. 

Pour les autres auditeurs, le podcast sera en pause pendant deux semaines. 

L’année dernière, Nathalie Iris m’a recommandé la lecture d’un petit livre qui lui avait énormément plu : Encabannée. C’est l’histoire, largement autobiographique, d’une jeune femme qui décide de quitter l’univers très urbain de Montréal pour aller vivre dans une cabane dans la forêt. C’est rude, mais en même temps, c’est pour elle une manière de se guérir. Alors, lorsque l’occasion s’est présentée de rencontrer à la librairie Gabrielle Filteau-Chiba, l’autrice québécoise de ce roman écologiste, eh bien, je n’ai pas hésité : j’ai rejoint Nathalie, Coline et les lecteurs venus à sa rencontre un soir du mois de février pour lui poser quelques questions. Ecouter Gabrielle Filteau-Chiba, c’est aussi l’occasion d’écouter l’accent du Québec sur les ondes du podcast.