Lundi après-midi, j’ai eu la chance d’accompagner une classe du collège, des troisièmes, à la visite de l’Assemblée nationale organisée par leur professeur de français. 

Cette visite me faisait très plaisir, car je n’ai jamais eu la chance de visiter l’Assemblée nationale. Pietro, Micaela et Felicia l’avaient visitée à l’occasion du mandat des filles au Conseil Municipal des Jeunes. 

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Nous n’étions pas encore arrivées au magasin de thé. Mais au-delà du croisement de la rue de Charonne et de la rue Faidherbe, après avoir dépassé le Palais de la femme, un bâtiment qui vaut le détour, nous avons remarqué la boutique d’un marchand d’ustensiles et de petits meubles en bois. J’ai aperçu des spatules en silicone avec manche en bois présentées sur le mur au fond du magasin. 

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Le livre des balades sociologiques a été écrit il y a vingt ans, je me demandais si la cour Bedel serait toujours comme décrite dans le livre. Nous avons vite repéré le bel immeuble qui en abrite l’entrée, rue du faubourg Saint-Antoine. Les beaux immeubles, c’est un peu notre spécialité à Anne-Laure et moi ! Nous avons passé le magnifique porche. C’est vrai que c’est peu commun d’avoir une entrée si haute à Paris. 

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Il y a quelques semaines, Anne-Laure et moi nous sommes retrouvées pour une balade dans le 11e arrondissement de Paris. C’était juste avant les vacances. Nous avions décidé de partir à la découverte des cours et des passages d’artisans typiques du quartier du Faubourg Saint-Antoine. Ce quartier est connu pour être celui des fabricants de meubles. Cela date du Moyen Âge. www.onethinginafrenchday.com

Vendredi matin, nous sommes sortis, Pietro, Lisa et moi faire du vélo. J’avais envie d’aller jusqu’à la Seine, vers le pont de Bezons. C’est une promenade que je connais grâce à mon amie Maryam. 

Lisa a un peu râlé pour la forme. 

— Je suis sûre qu’il fait froid en plus. 

— Un temps de 11 novembre. N’oublie pas tes gants ! ai-je ajouté. 

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Il est donc temps de rependre le cours de notre visite. Nous avons visité Le Printemps, les Galeries Lafayettes, le Bon marché, le BHV. La Samaritaine est le dernier magasin sur notre liste. Il est temps, enfin, aussi, d’évoquer l’écrivain du XIXe siècle qui parla si bien des grands magasins : Émile Zola. Les grands magasins lui ont inspiré son plus joyeux roman : Au bonheur des dames. Pour l’occasion, il avait imaginé avec le futur architecte de la Samaritaine, justement, un magasin fictif. 

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Enfin, mercredi matin est arrivé ! Les filles avaient tellement hâte de retrouver Anne, les poneys et les chevaux au centre équestre Jura sud ! Lorsque nous sommes venues les chercher, elles avaient ce sourire heureux aux lèvres qui me fait tant plaisir. 

— Maman, j’ai monté Ruby !a dit Felicia. Tu sais qu’il est complètement accro aux carottes ! Il devient fou s’il sait que tu en as une dans ta poche. 

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J’avais annoncé à la propriétaire que nous arriverions entre seize heures et dix-sept heures. 

Nous sommes arrivés à seize heures quarante-cinq ! Nous étions partis à huit heures et demie. 

Il faisait vingt-cinq degrés dans le Jura, vingt-cinq degrés au mois de novembre presque ! C’est le propriétaire qui nous a accueillis. On se connaît bien maintenant. 

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Aujourd’hui, nous retrouvons Émilie, qui tient le théâtre de marionnettes d’Issy-les-Moulineaux. Le jour où je me suis rendue à la représentation du samedi après-midi, j’ai pu voir le conte « La sorcière Matuvuchuipala ». J’ai tout d’abord assisté à la représentation dans le public et ensuite dans les coulisses. Quelle chance de voir l’arrière du décor et l’habileté d’Émilie à manipuler ses marionnettes à gaine ! 

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Aviez-vous une petite idée du chargement d’Émilie Renard, de son travail ? Oui ? Non ? 

Aujourd’hui, nous allons lever le mystère et nous allons lever le rideau : vous allez faire la connaissance d’Émilie et de ses marionnettes. On y va ? Je vous emmène dans un endroit très français, très parisien : le théâtre de marionnettes. 

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