Le Cantique des cantiques est une allégorie de l’histoire d’amour entre Dieu et les siens. Considérez ce verset : "Que tu es belle, ô mon amie, tu es parfaitement belle, sans un défaut" (Cantique des cantiques 4.7).

Dieu vous aime et voit ce qui est beau en vous. N’est-ce pas merveilleux ? Voilà assurément de quoi être reconnaissant ! Dieu vous voit déjà tel que vous serez ; il ne s’appesantit pas sur vos défauts. Il les connaissait déjà tous quand il vous a invité à entrer dans une relation intime avec lui.

Tout ce que Dieu attend de vous, c’est que vous l’aimiez et ayez le désir de grandir en lui. Votre présence est un cadeau pour le monde. Vous êtes un être unique, il n’en existe aucun autre comme vous. N’oubliez jamais, pas même un seul jour, combien vous êtes spécial !

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Parviendrez-vous à vous percevoir au travers du regard de Dieu, au travers de son amour ? Prenez le temps d’écouter ce que Dieu veut vous dire à ce sujet. 

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme avec un ami qui peut tout entendre. Voici un exemple de prière : "Père, je te remercie parce que ta Parole me montre combien tu m’aimes. Quoi que disent les autres, ou quoi que je ressente, je choisis de croire que tu m’aimes d’un amour profond et que tu as fait de moi une créature merveilleuse."

Louer Dieu, c’est lui manifester notre gratitude et le remercier. Dieu vous voit comme quelqu’un d’unique et de précieux. Son amour vous donne une valeur immense. Jésus vous a aimé au point de donner sa vie pour vous. Comment ne pas louer Dieu pour la manière dont il vous voit ?

À présent, comment allez-vous appliquer ce que Dieu vous a dit ? Déclarez à voix haute ce qu’il dit de vous dans sa Parole : vous êtes une créature merveilleuse, un enfant de Dieu, cohéritier avec Christ, et tellement d’autres choses. Vous pourriez aussi encourager quelqu’un d’autre avec ces vérités.

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

"Mon Dieu, personne n’a posé un regard si bon sur ma vie. Merci pour la valeur que tu m’accordes. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !"

Il y a pas mal d’années, j’habitais encore dans un immeuble. Nos enfants étaient amis avec ceux du dessous. Le bâtiment étant mal insonorisé, on profitait malgré nous de la vie familiale des voisins. Notre petite voisine, alors âgée de 6 ou 7 ans, détestait les shampoings. On entendait ses hurlements de protestation. On savait aussi quand elle voulait absolument quelque chose : "Si j’ai envie, j’ai envie !"

Notre vie est souvent ponctuée de ces "j’ai envie" ou "je n’ai pas envie". Comme David, nous pouvons "parler à notre âme" : "OK, tu as envie de ça, mais en as-tu vraiment besoin ?" Même si la réponse est non, nous pouvons parfois céder, s’il s’agit simplement d’une tablette de chocolat. En revanche, si la dépense risque de mettre en péril le budget familial, en général la réflexion s’arrête là.

À l’inverse, nous devons faire certaines choses sans en avoir envie, mais alors pas du tout envie ! Dans ces cas-là, je parle aussi à mon âme : "Tu n’en as pas envie, OK. Alors maintenant tu t’y colles !" L’exemple typique est le papier à remplir ou la démarche administrative à effectuer dans un délai court. Voire le coup de fil à sa belle-mère… Vous l’avez compris, je parle en connaissance de cause !

Dans les deux cas, nous devons reconnaître en vérité notre "état d’âme" puis décider de la suite à donner, en demandant le conseil du Seigneur*. Je vous assure, ça marche !

Dans nos vies de femmes, souvent, voire toujours bien remplies, je le revendique : nous avons le droit d’avoir ces hésitations, sans y associer systématiquement de la culpabilité ! 

Être en vérité avec nous-mêmes et nous confier au Seigneur quand nous sommes troublées nous permet de continuer la marche dans la paix, l’esprit tranquille.

*Ne soyez pas trop spirituelle : pas pour une tablette de chocolat, quand même !

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Vous arrive-t-il de vous sentir incapable de prendre LA bonne décision ? Prenez le temps aujourd’hui d’écouter Dieu vous rassurer à ce sujet.

Prier, c’est parler à Dieu avec simplicité et confiance, car il peut tout entendre. Vous pouvez lui dire : "Seigneur, par moments je ne sais pas où donner de la tête. Je me sens dépassée et je ne sais plus si je peux céder à une petite envie ou remettre à plus tard quelque chose qui me rebute. S’il te plaît, viens me redonner l’énergie et la sagesse dont j’ai besoin. Amen !"

Célébrer Dieu par la louange, c’est lui offrir notre sincère reconnaissance, pour le salut qu’il nous a offert, et pour sa précieuse présence dans nos vies de femmes. Combien de fois nous aurions envie de tout abandonner, et il vient avec douceur nous redonner la capacité de continuer notre route !

À présent, comment approfondir ce que Dieu vous a dit aujourd’hui ? Vous pouvez déjà reconnaître que vous faites pour le mieux, alors arrêtez de vous culpabiliser pour tout et pour rien. Posez-vous et laissez le Seigneur vous visiter et vous apaiser. Les fruits ne vont pas tarder à se voir !

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

"Merci, mon Dieu, pour ton immense amour, qui me nourrit chaque jour ! A toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !

Avez-vous déjà eu l’impression d’être défavorisée, seule face à une montagne infranchissable ? C’est ce que j’ai ressenti lorsque j’ai repris mes études en communication après une période difficile. Je devais trouver une alternance.

Lors d’un atelier CV, une étudiante a mentionné qu’elle n’avait pas à s’inquiéter : son père, cadre supérieur, lui avait déjà trouvé un poste. J’ai encaissé le coup. Issue d’un milieu modeste, sans réseau ni relations influentes, je me suis sentie abandonnée, comme si l’avenir était une impasse.

Alors j’ai crié à Dieu. Parfois, il n’y a rien d’autre à faire que de se tourner vers lui avec nos doutes et nos peines. Et il a répondu.

Contre toute logique, je n’ai envoyé que deux CV (j’avais dit au Seigneur que je n’avais pas le temps d’envoyer 200 courriers, que je devais le servir à l’église, ah, ah) et j’ai été prise dans une petite entreprise. Non pas grâce à un piston, mais parce que Dieu avait déjà un plan.

Cette expérience a été une école d’apprentissage intense. J’y ai appris l’excellence, la persévérance, la soumission. J’ai compris que Dieu n’agit pas toujours comme nous l’attendons, mais qu’il crée des solutions inédites.

Peut-être traversez-vous une saison où tout semble bloqué. Ne laissez pas le manque de visibilité éteindre votre espérance.

Travaillez chaque jour en direction du rêve que Dieu a mis en vous. Soyez fidèle et persévérante. Lorsque le temps de Dieu arrivera, il vous faudra être prête !

Anticipez, préparez-vous, avancez avec foi et discipline. Dieu est fidèle.

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Avez-vous parfois l’impression que le malheur prend trop de place dans votre vie ? Prenons ensemble le temps d’écouter ce que Dieu veut nous révéler aujourd’hui.

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme à un ami très proche, en toute sincérité et avec confiance. Voici un exemple de prière : “Seigneur, j’ai besoin de plus de toi dans ma vie. Viens dénouer tout ce qui est bloqué dans ma vie, pour que je croie de nouveau dans les rêves que tu as mis en moi. Je désire de tout mon cœur que tout dans ma vie te glorifie. Amen !”

Exprimer sa reconnaissance à Dieu, c’est une manière de lui rendre hommage. Quels sont les moments de joie pour lesquels vous voulez le remercier aujourd’hui ? Dès que vous le pouvez, prenez un temps pour en remercier le Seigneur. Louez-le par vos paroles, ou en chantant pour lui.

Après ce que le Seigneur vous a révélé aujourd’hui, quels actes allez-vous poser pour croire de nouveau en votre avenir et restaurer votre espérance ? Vous pouvez déjà lire et relire le verset de référence. Peu à peu, il se gravera dans votre cœur, et il façonnera vos pensées et vos actes !

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

​​“Merci, Seigneur, de me redire aujourd’hui que tu veux me donner un avenir et de l’espérance ! À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Quand nous sommes en difficulté, nous avons parfois l’impression d’être au milieu d’une tempête, comme un bateau malmené par la mer et le vent. Notre premier réflexe est souvent de nous plaindre, et de nous poser en victime face à des éléments incontrôlables.

Savez-vous que le pire pour un marin n’est pas toujours d’affronter la tempête ? Ce qu’un skipper déteste souvent au plus haut point est au contraire le calme plat, où il ne se passe rien, absolument rien. Il faut alors attendre, et attendre encore, que le vent se lève pour recommencer à avancer.

De la même manière, un avion ne peut décoller que s’il fait face au vent. Si le vent est à l’arrière, l’appareil et ses occupants sont en danger.

Concrètement, dans notre vie quotidienne, à la maison, au travail, avec notre famille, nous apprécions les moments de calme et de repos, c’est certain. Mais, il y a un “mais”, c’est quand nous sommes face à des défis, voire de grosses difficultés, que nous mûrissons et grandissons dans notre marche avec le Seigneur. 

Si vous acceptez l’idée que vous êtes responsable de votre vie et décidez de prendre le taureau par les cornes, avec sagesse et discernement, vous élargirez l’espace de votre tente. Vos proches, votre famille, vos collègues de travail… seront peut-être surpris, car ils ne vous connaissaient pas si combattant. 

De votre côté, vous serez fière d’avoir osé croire que vous pouviez traverser cette période si difficile en gardant la tête haute et les regards fixés sur votre Seigneur bien-aimé !

“Élargis l’espace de ta tente ! Qu’on déplie les toiles qui te servent d’habitation : n’en retiens rien ! Allonge tes cordages et renforce tes piquets !” (Ésaïe 54.2). Eh oui, vous êtes responsable de votre barque !

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Avez-vous parfois, voire souvent, l’impression de subir votre vie, sans possibilité de la diriger ? Faisons silence pour écouter ce que Dieu veut nous enseigner aujourd’hui.

Prier, c’est comme parler à l’un de vos amis proches. Dieu vous aime et peut vraiment tout entendre. Voici un exemple de prière : “Seigneur, depuis que je suis née, j’ai l’impression de ne jamais avoir eu la possibilité de prendre ma vie en charge. S’il te plaît, Seigneur, viens m’aider à me positionner en tant que femme de valeur responsable. Amen.”

Louer le Seigneur, c’est manifester notre reconnaissance pour tout ce qu’il fait. Prenez quelques minutes pour réfléchir à ses bienfaits et le remercier. Si votre environnement le permet, vous pouvez mettre de la louange et chanter pour lui de tout votre cœur.

À présent, prenez un moment pour méditer ce que vous avez reçu. Que pouvez-vous entreprendre pour appliquer ce que Dieu vous a dit ? Si vous n’avez pas d’idée, vous pouvez lire tout le chapitre d’Ésaïe 54. Ce merveilleux passage biblique vous revigorera et vous encouragera.

Notre méditation quotidienne s’achève. Élevons nos voix en prière pour célébrer notre Dieu.

​​“Mon Dieu, tu es vraiment le plus merveilleux des coachs ! À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Dieu utilisera les femmes dans les derniers temps de manière surprenante. Il les rassemblera et les connectera à son cœur, à tel point qu’elles sauront répondre à son appel. Quand une femme se lève dans l’intercession et comprend que c’est dans le lieu secret que sont gagnées les batailles de sa vie, elle devient un pont entre le ciel et la terre, un pont entre Dieu et sa propre famille.

C’est lorsque la femme est accompagnée dans la guérison de ses entrailles, dans la confrontation de ses secrets douloureux (abus sexuels, pertes de grossesse volontaire ou non) qu’elle peut se lever, libérer sa voix et devenir cette messagère de bonne nouvelle qui rejoindra l’armée. Il faut du courage pour confronter les blessures du passé, mais quand une femme marche sur ce chemin et se laisse transformer par Dieu, tout son entourage est touché et la vie est libérée.

Notre corps est le temple du Saint-Esprit et nos entrailles sont le lieu très saint du tabernacle que nous sommes. Il s’agit du lieu de la vie et l’endroit de résidence de notre esprit. Pour cette raison, l’ennemi fera tout son possible pour atteindre nos entrailles le plus tôt possible dans notre vie pour y déposer la mort.

Ainsi, nous devons récupérer ce lieu très saint, c’est-à-dire laisser Dieu guérir nos profondeurs pour que notre destinée nous soit restituée. Une femme, une épouse ou une mère guérie dans ses entrailles est une arme puissante entre les mains de Dieu pour libérer ses enfants, son mari et son entourage dans leur destinée. Sa bouche est pleine de vie et elle prophétise leur avenir.

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Votre cœur est-il meurtri par des blessures qui ont besoin d’être guéries ? Prenez le temps d’écouter ce que Dieu veut vous dire à ce sujet. 

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme avec un ami très proche. Voici un exemple de prière : "Père céleste, je viens devant toi avec tout ce que je porte en moi. Tu vois mes blessures, mes luttes et mes douleurs profondes. Je te les remets aujourd’hui pour que tu guérisses mon cœur et mes entrailles. Fais de moi une messagère de ta vie et de ta paix pour mon entourage."

Louer Dieu, c’est lui manifester notre gratitude. Aujourd’hui, prenez un temps pour remercier le Seigneur. Il est le seul qui vous connaît mieux que vous-même, et qui est capable de guérir vos blessures les plus profondes. Laissez-le prendre la place sur le trône de votre adoration. Exaltez son nom.

À présent, quelles actions concrètes pouvez-vous mettre en place afin d’appliquer ce que Dieu vous a dit ? Confiez à Dieu dans la prière une blessure dont vous avez conscience. Aujourd’hui vous pouvez aussi encourager quelqu’un de votre entourage, particulièrement une femme.

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

"Seigneur, je te rends gloire, car seul ton amour guérit, relève et restaure. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !"

Êtes-vous perdu face à un Goliath, une situation qui vous paraît insurmontable ? Alors vous êtes au bon endroit.

Goliath, dans l’histoire biblique, est un géant qui a paralysé toute une armée. Aujourd’hui, votre Goliath est probablement une situation, un problème qui semble grandir chaque fois que vous y pensez : "Cette situation va me détruire", "Je ne m’en sortirai pas." En lui donnant trop d’importance, vous lui laissez prendre le contrôle de vos pensées et de votre vie.

Ce qui vous effraie peut ainsi devenir une idole, une obsession qui prend la place de Dieu dans votre vie. Quand une situation accapare toutes vos pensées, pilote vos émotions et contrôle vos choix, elle devient votre "veau d’or". Elle prend une importance démesurée, plus grande que Dieu lui-même.

David, face à Goliath, ne s’est pas laissé impressionner. Il a affirmé sa confiance en Dieu, en déclarant : "Tu marches contre moi avec l’épée, la lance et le javelot ; moi, je marche contre toi au nom de l’Éternel, le maître de l’univers, au nom du Dieu de l’armée d’Israël que tu as insultée. Aujourd’hui l’Éternel va te livrer entre mes mains" (1 Samuel 17.45-46).

En plaçant Dieu au-dessus de la situation, David a remis Goliath à sa juste place.

Pour affronter vos propres défis, commencez par reconnaître que votre problème n’est pas plus grand que Dieu. Refusez de lui donner la première place dans vos pensées.

Engagez-vous dans l’adoration en fixant vos yeux sur Dieu. Vous comprendrez que, face à lui, votre Goliath est bien plus petit. Votre problème ne disparaîtra peut-être pas immédiatement, mais il retrouvera sa juste place et sa juste taille. Soyez encouragé aujourd’hui, votre Dieu combat à vos côtés et vous donne la victoire !

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Quelles sont ces situations insurmontables, qui vous semblent plus grandes que votre Dieu ? Prenons le temps d’écouter ce que Dieu veut nous dire. 

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme avec un ami proche. Voici un exemple de prière : "Seigneur, mes problèmes prennent trop de place dans mes pensées et m’empêchent de voir ta grandeur. Aujourd’hui, je choisis de tourner mes regards vers toi et de te faire confiance. Je refuse de laisser la peur me diriger, car tu es avec moi et tu me donnes la victoire. Amen."

Louer Dieu, c’est lui manifester notre gratitude. Aujourd’hui, prenez un temps pour remercier le Seigneur. Dieu est bien plus grand que tous vos problèmes, il mérite d’être élevé au-dessus de chacun d’eux. Il a combattu et surmonté toutes vos adversités. Louez-le de tout votre cœur.

À présent, pour approfondir ce que vous avez reçu, mettez en place des actions concrètes que vous pouvez faire. La prière qui précède l’action est celle qui rend toutes choses possibles. Confessez vos craintes à Dieu, priez pour une situation particulière et attendez-vous à l’aide de Dieu.

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu

"Seigneur, je déclare que tu es plus grand que mes défis, et je choisis de fixer mes yeux sur toi. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !"

Le perfectionnisme, bien qu’il puisse être perçu comme une quête de l’excellence, peut devenir nocif lorsqu’il est excessif ou rigide. L’un de ces dangers est le stress chronique. Les perfectionnistes se mettent constamment sous pression pour atteindre des objectifs souvent inatteignables. Cette tension permanente peut mener à l’anxiété, à la peur de l’échec et à un sentiment d’épuisement.

La Bible met en garde contre le perfectionnisme en affirmant que personne n’est parfait et que notre valeur ne réside pas dans nos propres efforts, mais dans la grâce de Dieu (Romains 3.23-24). Elle enseigne qu’il faut se reposer en Dieu plutôt que chercher à tout contrôler (Matthieu 11.28-30) et met l’accent sur l’humilité, rappelant que Dieu résiste aux orgueilleux (Jacques 4.6). Enfin, la Bible place l’amour et les relations humaines au-dessus de la quête de perfection, nous exhortant à la grâce envers nous-mêmes et envers les autres (1 Corinthiens 13.1-3).

En s’imposant des attentes irréalistes, les perfectionnistes en attendent également parfois trop des autres. Cette attitude critique peut créer des tensions dans les relations personnelles et professionnelles, car les autres se sentent jugés ou insuffisants. La difficulté à déléguer, parce que personne ne fait les choses aussi bien qu’eux, renforce souvent ce problème.

Le perfectionnisme peut conduire à un épuisement émotionnel et au burnout. La pression constante pour tout maîtriser parfaitement engendre une fatigue psychologique et physique. Les perfectionnistes ont en outre souvent du mal à savourer leurs réussites, se focalisant uniquement sur ce qui aurait pu être amélioré. Cette insatisfaction permanente peut, à terme, engendrer des troubles de santé mentale, comme la dépression.

Le manque de résilience est également un danger majeur. Les perfectionnistes luttent pour accepter les erreurs et l’échec, les voyant comme des reflets de leur valeur personnelle. Ils peuvent devenir rigides dans leur approche et éviter de prendre des risques, craignant de ne pas réussir parfaitement. Cette peur de l’échec peut limiter leur croissance et leur créativité.

Bien que le perfectionnisme puisse parfois encourager le dépassement de soi, ses dangers incluent le stress, l’anxiété, la procrastination, les conflits relationnels, le burnout et la difficulté à accepter l’échec, freinant ainsi le bien-être général.

La solution : venir à Jésus !

“Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et accablés, vous qui êtes déprimés, parce que vous ployez sous un fardeau trop lourd, et je vous donnerai du repos” (Matthieu 11.28).

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Avez-vous tendance à être dur envers vous, ou à manquer de satisfaction dans ce que vous faites ? Prenez le temps d’écouter ce que Dieu veut vous dire à ce sujet.

Prier, c’est simple. Parlez à Dieu comme avec un ami proche qui vous aime et peut tout entendre. Voici un exemple de prière : “Père céleste, je reconnais que je cherche parfois à tout contrôler et que cela m’épuise. Aide-moi à lâcher prise et à me reposer en toi. Apprends-moi à accepter mes limites et à m’appuyer sur ta grâce plutôt que sur mes propres forces. Amen.”

Louer Dieu, c’est lui manifester notre gratitude. Aujourd’hui, quels sont vos sujets de reconnaissance ? Son amour ne dépend pas de vos performances. Il est patient envers vous. Il est désireux de vous accorder sa paix au lieu du stress et de l’anxiété. Réjouissez-vous dans l’adoration à votre Dieu !

À présent, approfondissez ce que vous avez reçu en mettant en place des actions concrètes. Vous pouvez prendre un temps de réflexion et écrire les domaines où votre perfectionnisme vous pèse et vous empêche de vous reposer en Dieu. Engagez-vous à lâcher prise dans ces domaines.

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d’honorer notre Dieu.

​​“Mon Dieu, toi seul es parfait, je le reconnais. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !”

Ce verset nous encourage, n’est-ce pas ? Pourtant si on le remet dans son contexte, il nous inspire beaucoup moins. L’apôtre Paul précise en effet que cette prise de conscience est survenue après que le Seigneur ait refusé trois fois de le délivrer de son "écharde".

Nous ne savons pas ce qu’était cette "écharde", mais elle gênait suffisamment Paul dans son ministère pour qu’il supplie avec insistance le Seigneur de l’en libérer. 

Cet élément inconnu nous permet de nous sentir concernés. Nous avons tous en effet des "échardes", des personnes, des circonstances, des maladies ou des handicaps, qui nous blessent et qui nous freinent dans notre quotidien et dans notre service pour le Seigneur. Et comme nous n’aimons pas souffrir, nous essayons de persuader notre Seigneur bien-aimé que nous serions bien plus efficaces s’il nous en délivrait.

Alors bien sûr, il peut le faire et il le fait, mais pas toujours !
Pourquoi ? Paul nous donne la réponse trois versets avant : pour que nous évitions de nous enorgueillir de nos bons résultats, et que nous en rendions toujours toute la gloire à notre Dieu.

Et non seulement Paul accepte la volonté de Dieu, mais il en est fier : 

"Trois fois, j’ai supplié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Aussi, je me montrerai plus volontiers fier de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi" (2 Corinthiens 12.8-9).

Et non seulement Paul en est fier, mais il s’en réjouit ! Quel défi pour nous, pour moi, aujourd’hui !

"C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car quand je suis faible, c’est alors que je suis fort"
(2 Corinthiens 12. 10). 

Difficile de dire Amen, n’est-ce pas ? 

Alors pour commencer à être victorieux dans notre faiblesse, déclarons comme le prophète Joël :

"Que le faible dise : je suis fort !" (Joël 3.10).

OUI, JE SUIS FORTE ! Et vous ?

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Soyez honnête : appréciez-vous d’être faible et sans force face à de gros défis ? Mettons-nous à l’écoute de ce que Dieu veut nous révéler aujourd’hui.

Prier, c'est simplement parler à Dieu avec respect et confiance, car il vous aime et il peut tout entendre. Vous pouvez vous adresser à lui de cette manière : "Seigneur, je viens vers toi avec toutes mes peurs et mes incertitudes. Je me sens souvent si faible et incapable de faire face aux défis de la vie. Sois mon roc et mon soutien, j’ai tellement besoin de toi !"

Dire merci à Dieu, c’est reconnaître ses actions dans notre vie. Quels sont vos sujets de louange et de reconnaissance aujourd'hui ? Vous pouvez les noter puis prendre le temps de remercier votre Dieu d’amour pour chacun d’entre eux. Bénissez-le en chantant pour lui de tout votre cœur !

Maintenant, comment concrétiser ce que Dieu vous a dit ? Si vous avez tendance à vous dévaloriser et à vous présenter comme quelqu’un de faible, vous pouvez changer de discours. Peu à peu vos paroles accordées à la Parole de Dieu vont porter du fruit visible dans votre vie. Oui, vous êtes fort en Jésus !

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d'honorer notre Dieu.

​​"Seigneur, je le proclame aujourd’hui : avec toi et par ta grâce, je suis fort(e) ! À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !"

En face de ce passage dans ma Bible, j'ai écrit "ajouts". Avez-vous déjà été prêt à terminer l'achat d'un gros article - une voiture, par exemple - lorsque le vendeur arrête le processus et essaie d'ajouter quelque chose à la transaction ? 

Sachant que si certains ajouts pourraient être judicieux, d'autres par contre seraient complètement inutiles. 

Dans Actes 15.1, nous voyons des hommes de Judée qui essaient d'ajouter quelque chose d'inutile au christianisme de base. Ils disent que les païens ne peuvent pas être sauvés s'ils ne sont pas circoncis.

Remarquez que Luc n'a pas écrit que certains hommes ont été envoyés de Judée. Un pasteur ou un dirigeant d'église ne les a pas envoyés, ils sont venus de leur propre gré. Ils pensaient qu'il était de leur devoir de garder Paul et Barnabas en ligne avec "la façon dont cela avait toujours été", mais ils ne comprenaient pas la différence entre l'Ancienne et la Nouvelle Alliance. 

Les gens font la même chose aujourd'hui. Ils pensent qu'il est de leur devoir d'ajouter au christianisme, en créant des règles et des lois humaines. De telles mentalités religieuses empêchent beaucoup de personnes perdues d'accepter Jésus. Elles pensent à tort qu'elles ne pourront jamais suivre toutes les règles d'extension. Elles croient qu'elles doivent sauter à travers les cerceaux chrétiens pour être acceptées par Dieu, mais ce n'est pas ce que dit la Bible. 

Tout ce qu'il faut, c'est de croire dans votre cœur et de dire avec votre bouche : "Jésus est le Fils de Dieu. Il est mort sur la croix pour moi et est ressuscité. Je l'accepte comme mon Seigneur et Sauveur".

N'achetez pas les ajouts au christianisme. Vivre pour Dieu est beaucoup plus simple que beaucoup de gens ne le font. Lisez sa Parole, priez, allez dans une bonne église et vivez ce que vous avez appris.

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Avez-vous parfois du mal à discerner si vous devez accepter tel ou tel ajout non prévu au départ ? Prenez le temps d'écouter Dieu aujourd’hui à ce sujet.

Prier, c'est parler à Dieu tout simplement. Votre Père céleste vous aime et il peut tout entendre. Voici un exemple de prière pour vous aider : "Seigneur, ce n'est pas toujours facile de décider ce qu’on doit accepter ou pas, ce qu’on peut ajouter ou non à une transaction. S’il te plaît, viens me donner la sagesse et le discernement, pour que je fasse les bons choix".

Louer Dieu, c'est lui manifester notre gratitude. Aujourd'hui, quels sont vos sujets de reconnaissance (vous pouvez les lister) ? Prenez un temps pour le remercier pour chacun d’entre eux. Vous pouvez aussi bénir Dieu car il ne change pas. Il va continuer de veiller sur vous et vos bien-aimés.

Maintenant, que pouvez-vous mettre en œuvre pour appliquer ce que Dieu vous a dit ? Notez une action concrète que vous pouvez réaliser dès aujourd’hui. Vous pouvez par exemple faire comme les croyants de Bérée : étudier votre Bible avant d'accepter tout ce qu’on cherche à vous enseigner.

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d'honorer notre Dieu.

​​"Merci Seigneur de me guider chaque jour avec bienveillance. À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !"

Il nous arrive de faire la sourde oreille lorsque Dieu essaie de nous parler. En réalité, le problème ne vient pas de notre manque de communion avec lui, mais de notre manque d’attention.

Quand Dieu souhaite vous parler, il peut le faire directement ou utiliser une personne qui vous délivre un message. Mais très souvent, nous nous attendons à ce que cette personne soit un pasteur de renommée mondiale pour enfin prendre en considération ce que Dieu a à nous dire.

Il y a quelques jours, j’étais au téléphone avec un ami à qui je faisais part de mon regret de ne pas avoir pris au sérieux tout ce qu’il me disait, car cela m’aurait été bénéfique. Heureusement pour moi, la parole qu’il m’avait communiquée de la part de Dieu était encore valable et il n’était pas trop tard pour que je rectifie certaines choses.

Il vous faut comprendre que Dieu n’est pas muet, "il parle tantôt d’une manière tantôt d’une autre". Il tentera constamment de vous interpeller, de vous encourager, de vous donner une direction, de ratifier une promesse. 

Si vous souhaitez être au bénéfice de sa Parole, vous devez garder les oreilles bien ouvertes afin d’être disposé à entendre ce qu’il veut vous dire.

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Est-ce que vous avez l’impression que Dieu ne vous parle jamais personnellement ? Prenez le temps de l'écouter aujourd’hui à ce sujet.

Prier, c'est simplement parler à Dieu avec respect, comme avec votre ami le plus proche qui peut tout entendre. Voici un exemple de prière : "Seigneur, je ne sais pas trop entendre ta voix. Apprends-moi à t'écouter attentivement et à bien discerner ta voix, pour que je puisse avancer dans les projets que tu as préparés depuis toujours pour moi. Amen !"

Louer Dieu, c'est lui manifester notre gratitude. Aujourd'hui, quels sont vos sujets de reconnaissance ? Prenez un temps pour remercier le Seigneur qui est fidèlement présent dans votre vie. Il vous donne la paix en toutes circonstances. C’est merveilleux, n’est-ce pas !

À présent, réfléchissez à ce que vous avez appris aujourd’hui. Comment pouvez-vous appliquer ce que Dieu vous a dit ? Vous pouvez déclarer que Dieu va vous parler personnellement, puis mettre tous vos sens en action pour "entendre" sa parole. Vous allez probablement être surpris !

Notre parcours du jour se termine. Prions ensemble afin d'honorer notre Dieu.

​​"Merci Seigneur pour ta présence active dans ma vie ! À toi soient le règne, la puissance et la gloire, amen !"