C’était l’une des promesses de campagne du candidat républicain Donald Trump : mettre un terme aux politiques de discrimination positive dans le pays. Sitôt président, le milliardaire applique sa promesse et met un terme aux programmes de DEI – pour diversité, équité, inclusion. Concrètement, les minorités ne bénéficieront plus d’avantages dans l’accès aux universités, aux programmes de recherche ou à l’emploi. Mais cette politique, mise en place dans les années 1960, avait pour objectif de rééquilibrer une société marquée par son passé ségrégationniste. Cette harmonisation s’était ensuite étendue aux autres minorités : de sexe, de genre ou encore ethniques.