Un jour, on a dit à Théo :

Alors avec Théo, on a arrêté le temps. 

Ou on l’a peut-être juste pris pour lui donner une autre dimension. Finalement il suffit simplement de le prendre ce fameux temps, de lui laisser de la place en mettant le reste sur pause. De sortir de ce que l’on croit être urgent quand ça n’est que des automatismes, parce que la seule urgence est finalement de ralentir.  

C’est avec la musique que Théo ralentit, et qu’il nous invite joyeusement à faire de même. Il emporte et il adoucit un monde qui va trop vite. Il balade sa guitare des couloirs de métro aux plages landaises, trouve son équilibre entre la vitesse de la ville et la lenteur de la nature. Parce que tout n’est finalement qu’une question de dosage. 

Avec Théo Isambourg, on parle de stabilité, de l’âge adulte, de créativité et de musique.

Belle écoute ! ☀️

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🎶 Les musiques sont du bel artiste Tim Dup (invité de l'épisode 14 pour les curieux) 

"Soleil Noir";

"Fin Août Instrumental";

"Le visage de la nuit".

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