
Sign up to save your podcasts
Or
A l’époque où je travaillais comme journaliste mode, elle était déjà incontournable dans le milieu. Je me souviens, elle travaillait pour Prada. Aujourd’hui elle occupe le poste hautement stratégique de chargée des relations publiques chez Christian Dior. Mathilde Favier est un peu l’ambassadrice de l’excellence de la haute couture, son métier lui demande d’incarner au quotidien l’élégance à la française.
Alors forcément, moi qui sais que la ménopause freine beaucoup d’entre nous au travail, je me demande comment ça a pu se passer pour Mathilde Favier dans le milieu sans pitié de la mode ?
J’ai réussi à l'attraper au vol entre le Festival de Cannes et un shooting à Venise. Et, à l’abri des paillettes et des tapis rouges, j’ai découvert une femme douce et solaire, qui, comme nous toutes, a dû trouver des ressources pour faire face aux imprévus du corps et de la vie.
Lorsqu’elle a appris qu’elle était atteinte d’un cancer et que la chimiothérapie précipiterait sa ménopause alors qu'elle avait 46 ans, le plus important était de vivre. En affrontant la maladie, elle s'est frayé un chemin vers plus de tolérance, plus de recul aussi.
Elle nous raconte.
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
5
1010 ratings
A l’époque où je travaillais comme journaliste mode, elle était déjà incontournable dans le milieu. Je me souviens, elle travaillait pour Prada. Aujourd’hui elle occupe le poste hautement stratégique de chargée des relations publiques chez Christian Dior. Mathilde Favier est un peu l’ambassadrice de l’excellence de la haute couture, son métier lui demande d’incarner au quotidien l’élégance à la française.
Alors forcément, moi qui sais que la ménopause freine beaucoup d’entre nous au travail, je me demande comment ça a pu se passer pour Mathilde Favier dans le milieu sans pitié de la mode ?
J’ai réussi à l'attraper au vol entre le Festival de Cannes et un shooting à Venise. Et, à l’abri des paillettes et des tapis rouges, j’ai découvert une femme douce et solaire, qui, comme nous toutes, a dû trouver des ressources pour faire face aux imprévus du corps et de la vie.
Lorsqu’elle a appris qu’elle était atteinte d’un cancer et que la chimiothérapie précipiterait sa ménopause alors qu'elle avait 46 ans, le plus important était de vivre. En affrontant la maladie, elle s'est frayé un chemin vers plus de tolérance, plus de recul aussi.
Elle nous raconte.
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
89 Listeners
159 Listeners
100 Listeners
114 Listeners
59 Listeners
12 Listeners
4 Listeners
76 Listeners
21 Listeners
15 Listeners
6 Listeners
9 Listeners
9 Listeners
1 Listeners
18 Listeners