On est bombardés de message contradictoires : 

D’un côté on entend qu’il faut “s’écouter, être bienveillant avec soi-même, faire ce qui nous fait du bien”.

Mais en même temps, si on s’écoute trop, on risquerait de se laisser aller. “No pain, no gain, il faut être discipliné, travailler dur et correspondre aux normes sociales”. 

Résultat, on ne sait plus bien ce qu’il faut faire. On est tiraillé.

• Est-ce que je m’écoute et je quitte ce job qui ne me convient pas, ou en fait c’est moi le problème et je dois prendre sur moi ?

• Est-ce que je dois m’écouter et me lâcher la grappe, ou est-ce que je dois “me faire violence” et quand même faire cette séance de sport ? 

• Est-ce que je dois faire ce que j’ai envie, ou ce que je dois faire ?

Bon, j’aimerais bien vous dire “qu’il faut toujours vous écoutez, vous avez la clef en vous” bla bla bla…

Mais la réalité n’est pas si simple. 

Oui, c’est important d’être à l'écoute de ses émotions. De ne pas minimiser ce que l'on ressent.

Mais ça ne veut pas dire qu’il faut toujours suivre nos émotions et s'écouter 100% du temps. 

Dans ce nouvel de J’ai peur donc j’y vais, je vous propose plusieurs clefs pour savoir quand s'écouter (et quand ça vaut le coup de se forcer un peu ;)). 

Hâte d'avoir vos retours !

Belle écoute,

Stef

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