Ce fut très vite le tour de Julien, Alistair et Selim de passer en mains nues sur le tapis numéro 2. C’était étrange de les voir réaliser sur ce tapis les enchaînements qu’ils avaient tellement travaillés devant nous, au stade. Le stress change la donne quand même et on pouvait sentir la lutte se jouer pour s’en dégager, reprendre le contrôle de son corps. 

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Avant de rejoindre mon groupe dans les gradins, j’ai repéré une tête connue sur le tapis d’échauffement : Juliette Vauchez, championne de France. Un dynamisme de folie !

Voilà, tout le monde était là : Julien, Alistair, Selim, Paul, Thomas, Pierre et moi, avec pour nous entourer Capucine et Anthony. J’ai regardé mon téléphone : ah, vous étiez déjà là, vous m’envoyiez des messages de soutien. C’était super chouette ! 

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Hier, au moment de m’endormir, j’ai lu le chapitre consacré à la compétition et à la peur du livre Judoka de Thierry Frémaux. Je me suis bien reconnue dans cette description de la peur, surtout la peur de la peur. Thierry Frémaux est le directeur l’Institut du cinéma Lumière à Lyon, il est aussi le délégué général du Festival de Cannes. Dans ce livre, qui me plaît énormément, il raconte sa découverte du judo à l’âge de neuf ans et le parcours qui l’a mené jusqu’à la ceinture noire. 

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Nous sommes à nouveau Chez Ninon, la pâtisserie salon de thé rue du Cardinal Lemoine à Paris. Est-ce que vous êtes prêts pour le portrait à l’aveugle ? Avez-vous sous la main une feuille et un crayon ? 

Cela nous ferait très plaisir à Estelle et à moi si vous partagiez vos dessins ! Sur Instagram ou sur Facebook avec le #baladedessinée

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Vous allez entendre mon amie Estelle qui est professeure d’arts plastiques. Vous connaissez peut-être ses dessins de Paris que je partage parfois sur mon compte Instagram. 

Pour cet épisode, nous étions dans un charmant salon de thé parisien, Chez Ninon. C’était un après-midi pluvieux à Paris. Nous étions ravies d’être bien au chaud avec notre thé et nos pâtisseries. 

La balade dessinée fera l’objet de deux épisodes. Dans ce premier épisode, Estelle va nous expliquer l’exercice qu’elle nous propose. 

Dans l’épisode de mercredi, ce sera le moment d’avoir sous la main une feuille de papier et un feutre. 

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Voilà, il y a quelques jours, Micaela a fêté ses seize ans. Donc, le podcast, lui, fête ses 15 ans. Joyeux anniversaire, chers auditeurs !

J’ai l’impression que c’était hier. Si mes souvenirs sont bons, le premier épisode s’intitulait « Les dents du bonheur » parce que je vous parlais des dents de Micaela — un an à l’époque. Ses deux incisives du haut étaient bien écartées, on appelle ça les dents du bonheur ! Maintenant, ses dents définitives sont bien rangées l’une à côté de l’autre. Mais le bonheur est toujours là !

Aujourd’hui, nous retrouvons Nathalie Valamary, la créatrice des carnets Louise Carmen. Dans l’épisode de lundi, Nathalie nous a expliqué l’élément déclencheur de sa marque : un voyage d’un an autour du monde. Aujourd’hui, nous parlons de l’utilisation des carnets et nous nous posons la question des carnets « trop beaux ».  

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Ce sont des compagnons qui ne nous quittent pas : les carnets ! Je suis une utilisatrice de carnets. Vous aussi ? 

Les carnets, c’est le thème des prochains épisodes. J’ai rencontré pour le podcast des utilisatrices de carnets. La première a créé sa propre marque, la seconde les utilise pour dessiner.

Les carnets sont aussi un excellent outil lorsqu’on apprend une langue étrangère. Ou lorsqu’on se lance un défi. Je viens d’ailleurs d’en ouvrir un pour suivre mon défi en cours ! Vous savez, ma participation à la compétition de kung-fu, le 4 décembre. À ce propos, vous êtes quelques-uns à m’avoir confié vos défis liés à l’apprentissage du français. Vous n’avez pas de défi ? Et si vous commenciez un carnet de français ? Nous en parlerons vendredi. Au fait, vendredi, c’est l’anniversaire du podcast. Cela fera 15 ans jour pour jour que le podcast a commencé !

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Des nouvelles du kung-fu : j’ai commandé ma tenue, j’ai reçu mon passeport sportif et je m’entraine à améliorer mon Tornado kick. 

— Tiens, un gant ! ai-je dit en ramassant un gant en laine beige dans les escaliers du musée de l’Orangerie. Françoise et moi venions de quitter la fresque de David Hockney et nous remontions vers le rez-de-chaussée. 

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— Bonjour, Françoise !

— Bonjour, Laetitia !

— Vous connaissez Françoise. Nous sommes toutes les deux à la marche nordique tous les dimanches matins. Vous vous souvenez peut-être que je vous ai déjà parlé d’elle parce que, au mois de janvier de cette année, nous étions allées voir à la galerie Lelong une exposition de peintures de David Hockney à propos de son année en Normandie.

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