
Sign up to save your podcasts
Or
Le président américain et le Premier ministre britannique Keir Starmer ont annoncé plus de 280 milliards de livres d’investissements croisés - un record pour le Royaume-Uni -, concentré dans la tech, le nucléaire et la finance. Mais Londres n’a pas obtenu la suppression des droits de douane sur l’acier et l’aluminium.
La visite d’État de Donald Trump au Royaume-Uni se traduit par une pluie d’annonces économiques. Downing Street a dévoilé hier soir 150 milliards de livres d’investissements américains promis au Royaume-Uni — le montant le plus élevé jamais généré lors d’une visite officielle.
Ces capitaux concerneront des secteurs stratégiques. Dans la technologie : Microsoft investira 22 milliards de livres dans un supercalculateur et des centres de données géants, Google 5 milliards dans un site d’IA neutre en carbone, et Nvidia prévoit de déployer 120 000 processeurs pour faire du Royaume-Uni un pôle mondial de l’IA. Dans le nucléaire civil, Washington et Londres s’engagent à développer des réacteurs modulaires avancés avec l’appui d’investisseurs privés américains. Dans la finance : Blackstone prévoit à lui seul 90 milliards de livres sur dix ans, dans l’immobilier, les infrastructures et les énergies vertes.
En miroir, les entreprises britanniques annoncent 130 milliards de livres d’investissements aux États-Unis. Le gouvernement de Keir Starmer s’engage par ailleurs à acheter pour 60 milliards directement auprès d’entreprises américaines.
Au total, près de 280 milliards de livres (plus de 300 milliards d’euros) d’investissements croisés sont annoncés.
Un record pour Londres, mais pas pour le monde : Donald Trump avait déjà engrangé plus de 1 000 milliards de dollars de promesses lors de sa tournée dans le Golfe au printemps.
Sur le volet commercial en revanche, c’est un revers pour Downing Street. Londres espérait obtenir la suppression des droits de douane sur l’acier et l’aluminium exportés vers les États-Unis. Mais Donald Trump a refusé. Les tarifs de 25 % restent en vigueur, avec pour seule concession américaine la promesse d’un plafond stable. Le grand traité de libre-échange promis au moment du Brexit reste, pour l’heure, hors de portée.
Le président américain et le Premier ministre britannique Keir Starmer ont annoncé plus de 280 milliards de livres d’investissements croisés - un record pour le Royaume-Uni -, concentré dans la tech, le nucléaire et la finance. Mais Londres n’a pas obtenu la suppression des droits de douane sur l’acier et l’aluminium.
La visite d’État de Donald Trump au Royaume-Uni se traduit par une pluie d’annonces économiques. Downing Street a dévoilé hier soir 150 milliards de livres d’investissements américains promis au Royaume-Uni — le montant le plus élevé jamais généré lors d’une visite officielle.
Ces capitaux concerneront des secteurs stratégiques. Dans la technologie : Microsoft investira 22 milliards de livres dans un supercalculateur et des centres de données géants, Google 5 milliards dans un site d’IA neutre en carbone, et Nvidia prévoit de déployer 120 000 processeurs pour faire du Royaume-Uni un pôle mondial de l’IA. Dans le nucléaire civil, Washington et Londres s’engagent à développer des réacteurs modulaires avancés avec l’appui d’investisseurs privés américains. Dans la finance : Blackstone prévoit à lui seul 90 milliards de livres sur dix ans, dans l’immobilier, les infrastructures et les énergies vertes.
En miroir, les entreprises britanniques annoncent 130 milliards de livres d’investissements aux États-Unis. Le gouvernement de Keir Starmer s’engage par ailleurs à acheter pour 60 milliards directement auprès d’entreprises américaines.
Au total, près de 280 milliards de livres (plus de 300 milliards d’euros) d’investissements croisés sont annoncés.
Un record pour Londres, mais pas pour le monde : Donald Trump avait déjà engrangé plus de 1 000 milliards de dollars de promesses lors de sa tournée dans le Golfe au printemps.
Sur le volet commercial en revanche, c’est un revers pour Downing Street. Londres espérait obtenir la suppression des droits de douane sur l’acier et l’aluminium exportés vers les États-Unis. Mais Donald Trump a refusé. Les tarifs de 25 % restent en vigueur, avec pour seule concession américaine la promesse d’un plafond stable. Le grand traité de libre-échange promis au moment du Brexit reste, pour l’heure, hors de portée.
16 Listeners
200 Listeners
37 Listeners
10 Listeners
16 Listeners
50 Listeners
26 Listeners
5 Listeners
3 Listeners
48 Listeners
32 Listeners
3 Listeners
1 Listeners
19 Listeners
5 Listeners
1 Listeners
2 Listeners
3 Listeners
2 Listeners
0 Listeners
7 Listeners
0 Listeners
9 Listeners
26 Listeners
46 Listeners
1 Listeners
29 Listeners
0 Listeners
0 Listeners
9 Listeners
1 Listeners
2 Listeners
1 Listeners
0 Listeners