Le nombre de joueurs en Afrique subsaharienne explose depuis ces dernières années. Selon une étude du cabinet Newzoo, le nombre de joueurs est passé de 77 millions en 2015 à 186 millions en 2021, soit une augmentation multipliée par 2 et demi en seulement 7 ans… et la tendance ne fait que s’accentuer.
Face à un tel engouement, les studios de jeux vidéo se développent de plus en plus sur le continent, même s’il faut l’avouer, ils peinent encore à se faire une place sur le marché mondial. (Rediffusion)

Quelles sont les nouvelles tendances en termes de jeux et de pratiques ? Quelle place est accordée à la culture afro dans le gaming ? Comment les studios africains peuvent se développer malgré les contraintes inhérentes au continent ?

En studio :

• Jennifer Lufau, chroniqueuse RFI  « Bienvenue dans le game », gameuse, consultante spécialisée notamment autour des questions d’inclusion dans les jeux vidéo
• Medhi Debbabi Zourgan, enseignant dans une ecole de game design et psychologue.

Au téléphone :

• Olivier Madiba, fondateur du studio Kiro’o au Cameroun 
• Teddy Kossoko, fondateur de Masseka Game Studio. 

Selon un rapport du REFELA (le Réseau des femmes élues locales d'Afrique), plus d’une Africaine sur deux subit des violences physiques ou sexuelles. Un chiffre qui peut monter jusqu’à 65 % en Afrique centrale. Comment expliquer la persistance de ces pratiques ? Quelles sont les conséquences pour les victimes ? Et comment lutter contres ces violences ? (Rediffusion)

Invitées : 

- Evelyne Naoussi. fondatrice et la présidente de l’association Sunshine

- Khadija Azougach, avocate et secrétaire générale de l’association Lawyers for women

- Maïmouna Coulibaly, auteure du livre « Je me relève ».

AODQ vous consacre un épisode sur l'humour ! L'art du rire prend une place grandissante sur le continent africain, attirant de jeunes talents qui aspirent à devenir des maîtres de la comédie. La Côte d'Ivoire s'est particulièrement démarquée, ces dernières années, en développant sa scène humoristique avec brio. Priss K, Le Magnific, Boukary ont été placés sous le feu des projecteurs, grâce aux diverses plateformes, à travers des spectacles, des émissions télévisées, ou encore au sein de festivals.

Les réseaux sociaux sont également devenus un moyen incontournable pour se faire connaître du grand public. Quel est le modèle économie de ce secteur en Afrique ? Quelles sont les coulisses du métier d’humoriste ? Comment forger son art sur le continent ? Peut-on réellement rire de tout ? (Rediffusion)

Invités : 

• Prince Calixte, producteur
• Tangé, humoriste. 

Fil rouge : 

• Mamane, humoriste, producteur et chroniqueur 
• Priss K, humoriste. 

Aujourd'hui, dans « Alors on dit quoi », nous avons décidé de donner la parole à 3 militantes. Des femmes qui œuvrent pour faire bouger les lignes et faire valoir leurs droits, pour dénoncer mais aussi mieux énoncer les violences dont elles sont victimes au quotidien.

Invitées : 

• Rokhaya Diallo, journaliste, documentariste, essayiste, et l’autrice du podcast « Kiffe ta race »… 
• Félicité Esther Zeifman, avocate au Barreau de Paris, et secrétaire du réseau international des femmes avocates
• Camille Aumont Carnel, autrice, leadeuse d’opinion et fondatrice du compte Instagram « Je m’en bats le clito ».

Ils font de l’humour, parlent de cuisine, de mode, de beauté, d’entreprenariat ou ils partagent tout simplement leur mode de vie… Les créateurs de contenus investissent les réseaux sociaux et attirent souvent des milliers, voire des millions de followers. Des hommes et des femmes, souvent jeunes, qui suscitent la curiosité et l’admiration de la génération Z qui rêve elle aussi de gagner sa vie en générant du clic. Cependant, la réalité est souvent moins idyllique qu'elle ne semble l'être.

Invités : 

• Cerise Daily, créatrice de contenus
• Anthony Bah, co-fondateur de Totem expérience 
• Salma El-Bourkadi, maîtresse de conférence en Sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lille. 

Focus sur l’éducation en Afrique. Un enjeu majeur pour le développement économique du continent qui, depuis les années 2000, a accompli d’importants progrès, notamment en matière d’accessibilité. Selon un rapport de l’UNICEF, la proportion d’enfants non scolarisés parmi ceux en âge de fréquenter l’école primaire a été divisée par deux en 2019. Passant ainsi de 35 % à 17 %. Les chiffres sont certes encourageants, mais de fortes disparités persistent d’un pays à l’autre du continent. (Rediffusion)

Alors comment faire, pour permettre une éducation gratuite et de qualité à toutes et à tous ? Comment parvenir au 4ème objectif de développement durable fixé par les Nations unies d’ici 2030 ?

Invités : 

- Aissata Assane Igodé, sociologue de l'éducation

- Alfred Sawadogo, docteur en Télécommunications et leader d’un think tank sur les opportunités de développement au Burkina Faso. 

Au tel : 

- Mona Laroussi, directrice de l’Institut de la Francophonie pour l'Éducation et la Formation à Dakar 

-  Salifou Coulibaly, professeur. 

Aujourd'hui, dans « Alors on dit quoi », nous parlons de musique, en mettant en lumière les faiseurs de tube. Beatmakers, topliners, compositeurs, arrangeurs... Ces artistes de l'ombre composent des « prods », c'est-à-dire des instrumentaux et des rythmes, pour les stars du hip-hop et de la chanson. Julio Masidi, producteur et compositeur de renom, s'est distingué grâce à ses collaborations avec des artistes tels qu'Aya Nakamura, Tayc, Jason Derulo, Fally Ipupa et Booba. (Rediffusion)

Stellone Pitchi, beatmaker, arrangeur et ingénieur du son talentueux, a marqué son empreinte aux côtés d'artistes comme Mokobé et Gradur. Il a également contribué à la création du hit « Ambassadeur » avec Dadju. Comment trouver l'inspiration ? Comment s'adapter aux exigences des artistes et des maisons de disques ? Comment être rémunérés équitablement pour son travail ? 

Invités :

- Julio Masidi, producteur et compositeur.

- Stellone Pitchi, beatmaker, arrangeur et ingénieur du son.

Au téléphone : 

Blick Bassy, artiste, auteur-compositeur et producteur.

Aujourd’hui, on estime qu’environ 440 millions d’utilisateurs actifs scrollent sur les sites et les applications de rencontre dans le monde. Que ce soit pour trouver le grand amour ou tout simplement pour passer un bon moment… Un marché en pleine expansion donc avec une offre de plus en plus diversifiée. Comment faire le tri parmi ces plateformes ? Quels sont les avantages et les dérives de leur utilisation ? Qu’est-ce qu’elles ont changé dans la relation à l’autre et au couple ?

Invités :

• Martial Liboutet, fondateur d’Afrosmeet
• Franz Jiofack, fondateur de l’application Heyama
• Elydjah Meyo, sexologue et thérapeute de couple
• Erica Abia dit Erica the sparkle, créatrice du podcast « Hope is the new black ».

Le nombre de joueurs en Afrique subsaharienne explose depuis ces dernières années. Selon une étude du cabinet Newzoo, le nombre de joueurs est passé de 77 millions en 2015 à 186 millions en 2021, soit une augmentation multipliée par 2 et demi en seulement 7 ans… et la tendance ne fait que s’accentuer.
Face à un tel engouement, les studios de jeux vidéo se développent de plus en plus sur le continent, même s’il faut l’avouer, ils peinent encore à se faire une place sur le marché mondial.

Quelles sont les nouvelles tendances en termes de jeux et de pratiques ? Quelle place est accordée à la culture afro dans le gaming ? Comment les studios africains peuvent se développer malgré les contraintes inhérentes au continent ?

En studio :

• Jennifer Lufau, chroniqueuse RFI  « Bienvenue dans le game », gameuse, consultante spécialisée notamment autour des questions d’inclusion dans les jeux vidéo
• Medhi Debbabi Zourgan, enseignant dans une ecole de game design et psychologue.

Au téléphone :

• Olivier Madiba, fondateur du studio Kiro’o au Cameroun 
• Teddy Kossoko, fondateur de Masseka Game Studio. 

Focus sur l’éducation en Afrique. Un enjeu majeur pour le développement économique du continent qui, depuis les années 2000, a accompli d’importants progrès, notamment en matière d’accessibilité. Selon un rapport de l’UNICEF, la proportion d’enfants non scolarisés parmi ceux en âge de fréquenter l’école primaire a été divisée par deux en 2019. Passant ainsi de 35 % à 17 %. Les chiffres sont certes encourageants, mais de fortes disparités persistent d’un pays à l’autre du continent.

Alors comment faire, pour permettre une éducation gratuite et de qualité à toutes et à tous ? Comment parvenir au 4ème objectif de développement durable fixé par les Nations unies d’ici 2030 ?

Invités : 

- Aissata Assane Igodé, sociologue de l'éducation. 

- Alfred Sawadogo, docteur en Télécommunications et leader d’un think tank sur les opportunités de développement au Burkina Faso. 

Au tel : 

- Mona Laroussi, directrice de l’Institut de la Francophonie pour l'Éducation et la Formation à Dakar 

-  Salifou Coulibaly, professeur.