Comme beaucoup de petites filles, Margaux s’est retrouvée enfermée dans un carcan de calme et de rigueur. Une envie de toujours bien faire sans faire de vagues, qui l'a conduit à un perfectionnisme destructeur qu’on appelle aujourd’hui « le syndrome de la bonne élève ». 

Un poids qui est devenu de plus en plus difficile à porter une fois devenue adulte et qui n’a pas été sans conséquences sur sa santé mentale et son bien être. 

Et c’est quand elle était au plus mal qu’elle a découvert presque par hasard la course à pied. Mais elle était loin de se douter de l'impact que ce sport allait avoir sur sa vie. 

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