
Sign up to save your podcasts
Or
Chanteuse et comédienne, Viktor Lazlo est aussi l’autrice de plusieurs romans, dont « La femme qui pleure » (Albin Michel, 2010, prix Charles-Brisset) et « Les Passagers du siècle » (Grasset, 2018). Avec sa nouvelle fiction « Ce qui est pour toi, la rivière ne l'emporte pas », elle continue d'explorer les pans sombres de l'histoire et long chemin vers l'abolition de l'esclavage à travers le portrait d'une femme héroïque.
« Elle s’appelle Olvidia. Elle porte un nom où l’on entend l’oubli. L’oubli de l’humain à travers des siècles d’esclavage. »
Martinique, vers 1752, domaine des Bois-Tranchés. Une fillette à la peau trop claire attire déjà les regards. Enfant d’esclave, elle n’a que sept ans lorsqu’elle est arrachée à sa mère pour se retrouver au service de Madame de Lalung. On la surnomme alors « Olvidia ».
Si travailler dans la grande maison lui permet d’échapper à la corvée des champs, il lui faut néanmoins se plier aux exigences de sa maîtresse qui cultive la douceur autant que la cruauté, et aux sollicitations répétées de son maître pervers. Jusqu’à ce que, à nouveau, le destin s’en mêle. Bientôt, Olvidia devra quitter sa terre natale et découvrir une Europe au bord de la Révolution… (Présentation des éditions Robert Laffont)
5
22 ratings
Chanteuse et comédienne, Viktor Lazlo est aussi l’autrice de plusieurs romans, dont « La femme qui pleure » (Albin Michel, 2010, prix Charles-Brisset) et « Les Passagers du siècle » (Grasset, 2018). Avec sa nouvelle fiction « Ce qui est pour toi, la rivière ne l'emporte pas », elle continue d'explorer les pans sombres de l'histoire et long chemin vers l'abolition de l'esclavage à travers le portrait d'une femme héroïque.
« Elle s’appelle Olvidia. Elle porte un nom où l’on entend l’oubli. L’oubli de l’humain à travers des siècles d’esclavage. »
Martinique, vers 1752, domaine des Bois-Tranchés. Une fillette à la peau trop claire attire déjà les regards. Enfant d’esclave, elle n’a que sept ans lorsqu’elle est arrachée à sa mère pour se retrouver au service de Madame de Lalung. On la surnomme alors « Olvidia ».
Si travailler dans la grande maison lui permet d’échapper à la corvée des champs, il lui faut néanmoins se plier aux exigences de sa maîtresse qui cultive la douceur autant que la cruauté, et aux sollicitations répétées de son maître pervers. Jusqu’à ce que, à nouveau, le destin s’en mêle. Bientôt, Olvidia devra quitter sa terre natale et découvrir une Europe au bord de la Révolution… (Présentation des éditions Robert Laffont)
116 Listeners
59 Listeners
20 Listeners
219 Listeners
66 Listeners
54 Listeners
299 Listeners
22 Listeners
57 Listeners
114 Listeners
45 Listeners
3 Listeners
12 Listeners
1 Listeners
1 Listeners
0 Listeners
29 Listeners
1 Listeners
19 Listeners
4 Listeners
1 Listeners
4 Listeners
2 Listeners
3 Listeners
0 Listeners
110 Listeners
26 Listeners
1 Listeners
0 Listeners
1 Listeners
0 Listeners
0 Listeners
17 Listeners
0 Listeners
0 Listeners