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« En Haïti, Macron fait un petit pas, mais un pas important » réaction de l'un des principaux journaux du pays Le Nouvelliste. L'Élysée a publié une déclaration ce jeudi. Annonçant la création d'une commission franco-haïtienne d'historien pour étudier l'impact de la très lourde indemnité financière imposée par la France à son ancienne colonie en échange de son indépendance.
Emmanuel Macron pour le moment ne fait aucune mention d'une éventuelle réparation financière. Mais « les choses n’ont jamais été dites aussi clairement par un officiel français, même si toutes les précautions sont prises pour qu’un mot ne dépasse pas l’autre », réagit Le Nouvelliste. « Ce n’est pas une invitation avec force de loi, mais elle ouvre une fenêtre plus grande que la “dette morale” reconnue par le président François Hollande en 2015 », ajoute le journal. Le titre haïtien prévient enfin : « Attention, une commission par-ci, un comité par-là, une commission mixte, l’addition des structures, la multiplication des initiatives, tout cela peut cacher la pauvreté des avancées. Il n’y a pas meilleur moyen de noyer un poisson, un gros poisson, que de créer une commission emmaillotée de bonnes intentions ».
Pour le président Libanais, 100 premiers jours « rassembleurs »Quel bilan pour les 100 premiers jours du président Libanais ? La nomination de Joseph Aoun a été le signe d'un espoir de renaissance après des mois d'incursions, de bombardements israéliens et des années de crise politique et économique. L'Orient-le-Jour titre « un président rassembleur » citant un commentateur. « Pour une bonne tranche de la population et selon plusieurs observateurs, Joseph Aoun donne le sentiment d’édifier un État libanais digne de ce nom. L’impression donnée est que l’État peut agir », commente le rédacteur en chef du blog Diwan, Michael Young.
Un seul point d'interrogation selon L'Orient-le-jour : la passivité de Joseph Aoun face aux tensions frontalières. Aussi bien face à la Syrie qu'avec Israël. Préférant les contacts diplomatiques aux affrontements inutiles avec Damas. Concernant les bombardements « quotidiens au Liban-Sud et le non-retrait complet des troupes israéliennes du territoire, en violation de l’accord de cessez-le-feu, le président libanais dit multiplier les contacts diplomatiques pour garantir la souveraineté » indique L’Orient-le-Jour. Sans que cela n'ait pour le moment le moindre effet.
Envoyé par erreur au SalvadorÀ la Une de la presse américaine, l'histoire d'un homme envoyé par erreur dans une prison salvadorienne par d'administration Trump. Il s'appelle Kilmar Abrego Garcia. Il est bien né au Salvador mais cela fait 10 ans qu'il vit aux États-Unis. Accusé d'être membre d'un gang, il a été envoyé avant que son jugement ne soit terminé dans une prison salvadorienne. Où il a été placé avec de nombreux criminels. Finalement, sa femme a gagné son procès et la Cour puprême américaine a fait annuler son expulsion. Mais trop tard : les autorités salvadoriennes alliées de Donald Trump pour le moment, refusent tout rapatriement. Son cas est devenu symbole chez les démocrates américains. Un sénateur du Maryland s'est rendu au Salvador pour lui rendre visite. La photo de la rencontre est en Une des sites internet du Washington Post et du New York Times.
By RFI4.2
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« En Haïti, Macron fait un petit pas, mais un pas important » réaction de l'un des principaux journaux du pays Le Nouvelliste. L'Élysée a publié une déclaration ce jeudi. Annonçant la création d'une commission franco-haïtienne d'historien pour étudier l'impact de la très lourde indemnité financière imposée par la France à son ancienne colonie en échange de son indépendance.
Emmanuel Macron pour le moment ne fait aucune mention d'une éventuelle réparation financière. Mais « les choses n’ont jamais été dites aussi clairement par un officiel français, même si toutes les précautions sont prises pour qu’un mot ne dépasse pas l’autre », réagit Le Nouvelliste. « Ce n’est pas une invitation avec force de loi, mais elle ouvre une fenêtre plus grande que la “dette morale” reconnue par le président François Hollande en 2015 », ajoute le journal. Le titre haïtien prévient enfin : « Attention, une commission par-ci, un comité par-là, une commission mixte, l’addition des structures, la multiplication des initiatives, tout cela peut cacher la pauvreté des avancées. Il n’y a pas meilleur moyen de noyer un poisson, un gros poisson, que de créer une commission emmaillotée de bonnes intentions ».
Pour le président Libanais, 100 premiers jours « rassembleurs »Quel bilan pour les 100 premiers jours du président Libanais ? La nomination de Joseph Aoun a été le signe d'un espoir de renaissance après des mois d'incursions, de bombardements israéliens et des années de crise politique et économique. L'Orient-le-Jour titre « un président rassembleur » citant un commentateur. « Pour une bonne tranche de la population et selon plusieurs observateurs, Joseph Aoun donne le sentiment d’édifier un État libanais digne de ce nom. L’impression donnée est que l’État peut agir », commente le rédacteur en chef du blog Diwan, Michael Young.
Un seul point d'interrogation selon L'Orient-le-jour : la passivité de Joseph Aoun face aux tensions frontalières. Aussi bien face à la Syrie qu'avec Israël. Préférant les contacts diplomatiques aux affrontements inutiles avec Damas. Concernant les bombardements « quotidiens au Liban-Sud et le non-retrait complet des troupes israéliennes du territoire, en violation de l’accord de cessez-le-feu, le président libanais dit multiplier les contacts diplomatiques pour garantir la souveraineté » indique L’Orient-le-Jour. Sans que cela n'ait pour le moment le moindre effet.
Envoyé par erreur au SalvadorÀ la Une de la presse américaine, l'histoire d'un homme envoyé par erreur dans une prison salvadorienne par d'administration Trump. Il s'appelle Kilmar Abrego Garcia. Il est bien né au Salvador mais cela fait 10 ans qu'il vit aux États-Unis. Accusé d'être membre d'un gang, il a été envoyé avant que son jugement ne soit terminé dans une prison salvadorienne. Où il a été placé avec de nombreux criminels. Finalement, sa femme a gagné son procès et la Cour puprême américaine a fait annuler son expulsion. Mais trop tard : les autorités salvadoriennes alliées de Donald Trump pour le moment, refusent tout rapatriement. Son cas est devenu symbole chez les démocrates américains. Un sénateur du Maryland s'est rendu au Salvador pour lui rendre visite. La photo de la rencontre est en Une des sites internet du Washington Post et du New York Times.

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