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Avec un objectif : que la guerre à Gaza prenne fin. Des pressions venues de toutes parts. En Suisse, où le Temps raconte que le pays « s’est joint à une déclaration commune de nombreux pays enjoignant Israël de mettre un terme immédiat à ses opérations meurtrières à Gaza ». Depuis le Royaume-Uni, le Guardian décrit « le désespoir et l’horreur grandissants au sein du cabinet travailliste » en Australie, où le Sydney Morning Herald pointe que « le gouvernement d’Anthony Albanese veut la fin de la guerre à Gaza ».
Ce nouveau sursaut d’indignation internationale est lié – notamment – aux récentes révélations, rappelle Le Monde, sur « les ordres donnés aux soldats de tirer sur les Palestiniens qui se pressent tous les jours pour l’aide humanitaire ». Mais si le Sydney Morning Herald croit savoir que « la plupart des Israéliens aussi » en ont assez de la guerre à Gaza, le titre nuance : ces demandes « ne sont pas vraiment liées à l’empathie pour le peuple palestinien ».
En réalité, les raisons sont « essentiellement internes : sécuriser la libération des otages restants, et mettre un terme à la mort des soldats israéliens ». Et un spécialiste de la société israélienne interrogé par Le Monde abonde : certes, « depuis quelques semaines, des voix émergent dans la société israélienne pour attirer l’attention sur le fait que des choses intolérables sont en train de se produire », mais « cela reste très limité ».
Outre ce soutien, Israël peut aussi, toujours, compter sur Washington, car, s’exaspère L’Orient – Le Jour, malgré des « accès d’impatience, d’agacement, et de nervosité », l’administration Trump ne « rabroue » Benyamin Netanyahu que lorsqu’il « en vient à compliquer ou mettre en péril les desseins » de Washington.
À lire aussiGaza: «Aujourd’hui, les Palestiniens ont le choix: mourir sous les balles ou mourir de faim»
Washington tombe dans la marmite de Coca-ColaC’est la dernière lubie en date de Donald Trump, raconte Le Monde : le président américain « pousse Coca-Cola à utiliser du sucre de canne », au lieu de sirop de maïs. Car ce sucrant, explique le quotidien, « à haute teneur en glucose (…) est dans le collimateur de Donald Trump et de son ministre de la Santé Robert Kennedy Jr, qui a fait de son combat contre la malbouffe sa priorité ». Mais l’effet de cette mesure sur la santé sera limité. Une diététicienne américaine interrogée par le journal détaille : « passer du sirop de maïs au sucre de canne apportera un léger avantage : vous ne verrez pas le même problème d’insulino-résistance. Mais ça ne doit pas être un feu vert pour boire plus de soda ».
Les producteurs de maïs, qui, rappelle le Monde, « constituent la base électorale [de Donald Trump] dans les États du Midwest comme l’Iowa », craignent en revanche des conséquences bien réelles sur l'économie. Pour eux, ce remplacement « coûterait des milliers d’emplois dans l’industrie agroalimentaire américaine » et « stimulerait les importations de sucre étranger ». Mais de toute façon, « le revirement de Coca-Cola n’est que très partiel pour l’instant, conclut Le Monde, la firme ayant l’intention de proposer son produit à base de canne à sucre en complément ».
La mort du « prince des ténèbres », Ozzy OsbourneQui est nul autre qu’Ozzy Osbourne, chanteur de Black Sabbath, décédé mardi à 76 ans. Un « ivrogne épique » aussi bien qu'un « clown adorable » pour la Suddeutsche Zeitung, un « visionnaire » selon le Washington Post, mais aussi « le grand-père du heavy metal », selon le Soir, chacun y va de son hommage à cette figure qui ne laissait personne indifférent.
Il laisse, en revanche, un immense héritage musical : « Sans Sabbath, il n’y aurait pas eu de Metallica », rappelle ainsi le Soir, et « il n’y aurait pas probablement pas eu le grunge non plus ». Ozzy Osbourne a tout simplement contribué, poursuit le New York Times, à « forger les sonorités, le look, et l’attitude du metal », tout en étant particulièrement « attendrissant » grâce à « sa détermination, même affaibli » par la maladie, son « humour » et sa « vulnérabilité hors de la scène ».
Une fragilité mise en exergue lors de son dernier concert avec Black Sabbath, il y a moins de trois semaines. Personne spectacle d’adieu qui personne n'attendait être aussi proche de son décès, s'attriste le Soir, que « des adieux à la scène, au métier. » Même si, derrière le décorum, « son trône tout noir » et « ses petites lunettes rondes », le quotidien est bien forcé de l’admettre : ce jour-là, « il y avait comme une drôle d’émotion dans sa voix ».
À lire aussiOzzy Osbourne, chanteur de légende du groupe Black Sabbath, est mort à l'âge de 76 ans
By RFI4.2
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Avec un objectif : que la guerre à Gaza prenne fin. Des pressions venues de toutes parts. En Suisse, où le Temps raconte que le pays « s’est joint à une déclaration commune de nombreux pays enjoignant Israël de mettre un terme immédiat à ses opérations meurtrières à Gaza ». Depuis le Royaume-Uni, le Guardian décrit « le désespoir et l’horreur grandissants au sein du cabinet travailliste » en Australie, où le Sydney Morning Herald pointe que « le gouvernement d’Anthony Albanese veut la fin de la guerre à Gaza ».
Ce nouveau sursaut d’indignation internationale est lié – notamment – aux récentes révélations, rappelle Le Monde, sur « les ordres donnés aux soldats de tirer sur les Palestiniens qui se pressent tous les jours pour l’aide humanitaire ». Mais si le Sydney Morning Herald croit savoir que « la plupart des Israéliens aussi » en ont assez de la guerre à Gaza, le titre nuance : ces demandes « ne sont pas vraiment liées à l’empathie pour le peuple palestinien ».
En réalité, les raisons sont « essentiellement internes : sécuriser la libération des otages restants, et mettre un terme à la mort des soldats israéliens ». Et un spécialiste de la société israélienne interrogé par Le Monde abonde : certes, « depuis quelques semaines, des voix émergent dans la société israélienne pour attirer l’attention sur le fait que des choses intolérables sont en train de se produire », mais « cela reste très limité ».
Outre ce soutien, Israël peut aussi, toujours, compter sur Washington, car, s’exaspère L’Orient – Le Jour, malgré des « accès d’impatience, d’agacement, et de nervosité », l’administration Trump ne « rabroue » Benyamin Netanyahu que lorsqu’il « en vient à compliquer ou mettre en péril les desseins » de Washington.
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Les producteurs de maïs, qui, rappelle le Monde, « constituent la base électorale [de Donald Trump] dans les États du Midwest comme l’Iowa », craignent en revanche des conséquences bien réelles sur l'économie. Pour eux, ce remplacement « coûterait des milliers d’emplois dans l’industrie agroalimentaire américaine » et « stimulerait les importations de sucre étranger ». Mais de toute façon, « le revirement de Coca-Cola n’est que très partiel pour l’instant, conclut Le Monde, la firme ayant l’intention de proposer son produit à base de canne à sucre en complément ».
La mort du « prince des ténèbres », Ozzy OsbourneQui est nul autre qu’Ozzy Osbourne, chanteur de Black Sabbath, décédé mardi à 76 ans. Un « ivrogne épique » aussi bien qu'un « clown adorable » pour la Suddeutsche Zeitung, un « visionnaire » selon le Washington Post, mais aussi « le grand-père du heavy metal », selon le Soir, chacun y va de son hommage à cette figure qui ne laissait personne indifférent.
Il laisse, en revanche, un immense héritage musical : « Sans Sabbath, il n’y aurait pas eu de Metallica », rappelle ainsi le Soir, et « il n’y aurait pas probablement pas eu le grunge non plus ». Ozzy Osbourne a tout simplement contribué, poursuit le New York Times, à « forger les sonorités, le look, et l’attitude du metal », tout en étant particulièrement « attendrissant » grâce à « sa détermination, même affaibli » par la maladie, son « humour » et sa « vulnérabilité hors de la scène ».
Une fragilité mise en exergue lors de son dernier concert avec Black Sabbath, il y a moins de trois semaines. Personne spectacle d’adieu qui personne n'attendait être aussi proche de son décès, s'attriste le Soir, que « des adieux à la scène, au métier. » Même si, derrière le décorum, « son trône tout noir » et « ses petites lunettes rondes », le quotidien est bien forcé de l’admettre : ce jour-là, « il y avait comme une drôle d’émotion dans sa voix ».
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