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Le 1er janvier 2025, l’Ukraine a coupé les robinets des gazoducs permettant d’acheminer le gaz russe vers l’Europe. Kiev a décidé de ne pas renouveler un accord quinquennal avec le géant russe Gazprom et, désormais, plus un seul mètre cube de gaz ne transite à travers le pays. L’Ukraine veut ainsi saper l’effort de guerre russe, puisque le manque à gagner devrait s’élever à 6,3 milliards d’euros par an. Mais cela va aussi engendrer des problèmes d’approvisionnement pour les Européens. L’Union européenne, qui avait infligé des sanctions contre le pétrole et le charbon russes, ne s’était pas attaquée au gaz, car elle en est encore trop dépendante. Pourquoi l’Europe ne s’est-elle pas encore affranchie du gaz russe ? Pourquoi cet arrêt de livraisons met tout le continent sous pression ? Quelles alternatives s’offrent à lui ?
Avec notre invitée Anne-Sophie Corbeau, chercheuse au Centre global de politique de l’énergie, à l’université Columbia (États-Unis).
À lire aussiFin du gaz russe via l'Ukraine: inquiétude en Slovaquie et «situation difficile» en Transnistrie
Le 1er janvier 2025, l’Ukraine a coupé les robinets des gazoducs permettant d’acheminer le gaz russe vers l’Europe. Kiev a décidé de ne pas renouveler un accord quinquennal avec le géant russe Gazprom et, désormais, plus un seul mètre cube de gaz ne transite à travers le pays. L’Ukraine veut ainsi saper l’effort de guerre russe, puisque le manque à gagner devrait s’élever à 6,3 milliards d’euros par an. Mais cela va aussi engendrer des problèmes d’approvisionnement pour les Européens. L’Union européenne, qui avait infligé des sanctions contre le pétrole et le charbon russes, ne s’était pas attaquée au gaz, car elle en est encore trop dépendante. Pourquoi l’Europe ne s’est-elle pas encore affranchie du gaz russe ? Pourquoi cet arrêt de livraisons met tout le continent sous pression ? Quelles alternatives s’offrent à lui ?
Avec notre invitée Anne-Sophie Corbeau, chercheuse au Centre global de politique de l’énergie, à l’université Columbia (États-Unis).
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