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By Jérôme Sorrel
The podcast currently has 267 episodes available.
Une vache kenyanne se cache sur la photo, la trouveras-tu ?
En transition, c’est ce qui arrive à Gilles Brossier. Cette émission fut enregistrée une semaine avant sa première diffusion. Gilles est en pause. En vacances. Parce que Gilles a beau avoir 50 (ou à peu près) il est étudiant. Gilles a décidé de changer de métier. Il était formateur dans l’informatique. Gilles passe de l’autre côté du pupitre. Une formation pour obtenir le diplôme de mécanicien vélo. Est-ce pour autant qu’il souhaite devenir “mécano vélo” ? Le champ des possibles est devant lui. Cet épisode, c’est l’histoire d’une transition, en cours.
Pourquoi changer ? Pourquoi apprendre ? D’ailleur, pourquoi le vélo ? Est-ce facile de retourner sur les bancs de l’école à son âge ? Est-ce facile de passer des journées debout devant un pied d’atelier.
Un témoignage à faire tourner auprès de tous ceux et toutes celles qui envisagent une reconversion, dans le vélo.
Envie d’être la prochaine invitée ? Le prochain à causer dans le micro. Contactez-moi, sur Linkedin, X, Instagram, ici via l’onglet contact de la radio aussi : [email protected]. Vous pouvez aussi nous contacter simplement pour nous dire tout le mal ou le bien que vous pensez de Rayons Libres.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Cette émission fut enregistrée cet été, dans le courant du mois d’août. Le micro est tendu à Littlecelt, pendant ses vacances dans les Landes. En donnant la parole à un auditeur, fidèle, fidèle de chez fidèle, il y a bien entendu, une part d’égo-trip. Identifiée a posteriori.
Ces Rayons Libres existent parce que nous aimons les faire. Parce que nous aimons ce média qu’est la radio. Bien entendu parce qu’il y a une notion de rencontres, d’échanges. Aussi, l’ambition de Rayons Libres n’est pas de s’écouter parler. Au contraire, vous écouter. Entendre vos mots, vos émotions quand vous évoquez le vélo.
Toutes les personnes à qui nous tendons le micro nous nourrissent. Nous éclairent. Nous permettent de nous construire une culture “sociologique” de la place du vélo dans votre quotidien ou votre semaine ou vos vacances.
Bien entendu, quand en plus, ceux et celles qui nous écoutent nous disent que “rayons libres, est comme un bonbon dans ma [leur] semaine” ; nous, nous buvons du petit lait.
Envie d’être la prochaine invitée ? Le prochain à causer dans le micro. Contactez-moi, sur Linkedin, X, Instagram, ici via l’onglet contact de la radio aussi : [email protected]
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Le premier rayons libres de la saison 24/25 donnait la parole à Arthur Brossard. Qui est gérant d’Electribe. Il a fait le choix de faire travailler, dans le vélo, des personnes en situation de handicap… Cette semaine, nous donnons la parole à Sylvie Ribreau, directrice de cet ESAT Berthier et surtout Jean-Jacques Roucou. Lui-même, membre de cet ESAT, il a les mains dans le cambouis…
(Un ESAT est un Établissement et service d’aide par le travail).
Cette semaine, du vélo à la portée de tous, de toutes. Avec Sylvie Ribreau, qui a décidé de proposer et d’accompagner le développement de ses pensionnaires, avec du vélo. Jean-Jacques Roucou, qui est l’une des trois personnes qui posent, au sein de cet ESAT, vos vélos, nos vélos sur un pied d’atelier. Pour les préparer, les réparer. Ils n’ont pas forcément d’ambitions olympiques mais peut-être voient-ils comme l’un des héritages de ses jeux paralympiques une formidable opportunité de décloisonner, d’explorer, d’amener le vélo, ailleurs ?
Émission enregistrée début septembre 2024, les Jeux Paralympiques battaient leur plein.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Pourquoi Hugo Dékrypte ? Parce que l’invité du jour s’appelle Hugo. Qu’il est le co-fondateur de la marque australienne Knog. Que cette marque s’annonce désormais être “Technically UnKonventional” alors ici chez Rayons Libres on tente le jeu de mots.
Ceci étant dit, vous le savez. Être une lumière ne vous a jamais permis d’être vu sur votre vélo la nuit. Comme, être une lumière ne vous a jamais permis de voir où vous posez vos roues de vélo. En cela l’éclairage à vélo ne devrait pas être dans la catégorie accessoires. D’ailleurs, stricto senso, l’éclairage à vélo aux yeux de la loi est obligatoire. S’il est obligatoire, comment expliquer qu’il soit dans la catégorie accessoires ? Parce qu’il y a des accessoires, pas si accessoires, élevés au rang d’indispensable ? Comme la paire de mitaines finalement ?
Laissons les mitaines de côté, intéressons-nous à l’éclairage. Avec Hugo on n’a ni une approche politique, ni légaliste de l’éclairage à vélo. On explore ensemble l’histoire d’une entreprise qui a 22 ans. Qui vend des dizaines de millions de lampes de vélo, tous les ans. Dans plus de 50 pays dans le monde. Atteindre ce volume de production implique des responsabilités écologiques, environnementales. Comment continuer à croitre économiquement tout en maîtrisant (réduisant c’est mieux) son impact environnental. Hugo Davidson est l’un des deux cofondateurs de la marque australienne Knog. Hugo est aussi venu nous raconter au micro pourquoi une nouvelle identité de marque ? Un nouveau logo ? Pour finir, si une fois l’émission écoutée, vous avez l’impression que mes questions n’ont aucunement éclairé votre lanterne alors vous êtiez déjà une lumière. Et si vous voulez vous plaindre du contenu de cette émission, vous pouvez réagir, ici.
Tellement qu’il n’y a pas d’agenda, parce que l’émission fut enregistrée le lundi 16/09, sans véritable réflexion sur la date de sa première diffusion. Notez malgré tout, le vélo cargo festival de Lyon que j’ai annoncé par erreur se tenir les 21 et 22 septembre aura lieu les 28/29.
Réjouissance. Politique ? Oui, l’actu de la politique vélo le permet.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
La population française vieillit. En 20240, un français sur 7 aura 75 ou plus. Pour notre premier ministre, c’est en 2026 qu’il aura 75 ans. Est-ce pour lui ou pour nous qu’il veut faire du grand âge une priorité de son gouvernement. D’ailleurs, le grand âge c’est quel âge ? Visiblement le grand âge, ce n’est pas une question d’âge mais d’état physique et psychologique. Deux personnes peuvent avoir 70 ans le même jour. L’une est entrée dans le grand âge parce qu’elle n’est plus autonome. L’autre, virevolte, va et vient. Va faire ses courses à vélo ou participe à des courses de vélo. Elle n’est pas dans le grand âge. On ne va pas aborder l’intérêt du vélo pour retarder cette entrée dans le grand âge. On aurait pu.
Notre Rayons Libres du jour est sur Les séniors et le vélo. Nous nous appuyons sur une étude commandée par le forum des vies mobiles, pilotée par l’institut BVA Xsight pour faire un premier état des lieux et les solutions pour que les séniors -les personnes de 60 ans et plus- pédalent. Encore, plus, plus longtemps. Quels sont les enjeux, quelles sont les solutions ? Pour évoquer cela, Adrien Bonnet, qui a piloté cette étude pour le forum des vies mobiles. L’étude est là.
Evoque-t-il les changement d’orientations professionnelles, ou évoque-t-il une autre façon d’écouter, d’utiliser Rayons Libres ? Cette émission radio serait-elle 262 photographies des cyclistes, 262 photographies de la place du vélo dans nos vies ? Un travail sociologique ? Peut-être. L’émission évoquée par Abel, avec Philippe Genty, elle est là.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Notre invitée du jour est investie depuis le début dans une association. La NWC. La Nicola Werner Challenge. Une journée, à vélo, ouverte à tous, toutes. Pour lever des fonds pour la recherche contre le papillomavirus. Un virus transmissible par contact sexuel notamment.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Notre invitée du jour est investie depuis le début dans une association. La NWC. La Nicola Werner Challenge. Une journée, à vélo, ouverte à tous, toutes. Pour lever des fonds pour la recherche contre le papillomavirus. Un virus transmissible par contact sexuel notamment.
Nicola Werner est décédée d’un cancer de l’utérus. Moritz son mari, depuis 2016 organise ce challenge, pour lever des fonds, pour sensibiliser le public à ce fléau le HPV. Et pourquoi Sandra s’investit-elle dans cette cause ? Pourquoi, selon elle, le vélo est un outil formidable pour soutenir cette cause ? Et concrètement, elle fait quoi dans cette association. Voyons tout cela avec elle.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
A propos de vélo, on nous dit souvent que le vélo est une industrie, une filière économique qui offre du travail inclusif. A tous. Peu importe tes origines, ta formation, tes compétences, tes petites ou grandes différences.
Ici, chez Rayons Libres, on le sait. Le vélo est un objet formidable. Qui rassemble. Qui rassemble celles ou ceux qui se ressemblent. Celles ou ceux qui ne se ressemblent pas. On a reçu des cyclistes en situation de handicap, Sébastien Bichon, unijambiste et ultra-distance, ou encore Frédéric Leroy ou Emmanuelle (épisode 206). On a reçu Etienne en formation mécanique même s’il est non-voyant. On reçoit aujourd’hui Arthur Brossard, lui a décidé de travailler avec des personnes en situation de handicap. Il a monté son atelier au sein d’un ESAT. Comment ? Pourquoi ? Qu’est-ce que ça lui apporte ? Qu’est-ce que ça signifie dans l’organisation du travail ? Voilà quelques-unes des questions que nous allons aborder avec Arthur Brossart.
L’antenne de colombes de MDB Jeudi 5 septembre 20 h 30 min – 22 h 30 min Colombes – Atelier de réparation au local 20 h 30 min – 22 h 30 min Colombes – Réunion d’antenne
A lire sur LE Monde, article qui date un peu le parcours d’Eyereu Gebru, d’une série de portraits “athlètes en exil” (article payant)
A faire, venir au 22 rue Bernard Dimey, vendredi soir, 19h00 pour la désormais célèbre et incontournable soirée “portes ouvertes” “apéro radio” de Cause Commune, chaque premier vendredi du mois.
Musique : Blondie One Way or another
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Ne pas confondre contention et compression. Quand la contention est un dispositif médical, la compression est une technique pour accompagner les sportives et sportifs.
Peut-être, êtes-vous comme moi. Quand vous vous équipez pour aller rouler, faire du sport, choisissez-vous vos chaussettes avec une certaine désinvolture ? Tant qu’elles sont assorties au cuissard ou au jersey, elles conviendront. Elles peuvent être en fil d’Ecosse ou en coton ou en mérinos, vos chaussettes vous importent peu. Et pourtant. Dans les sports à impact (Trail, triathlon) la technique du textile compressant fait des émules. La compression accompagne les sportifs avant, pendant et après l’effort. Pour une meilleure thermorégulation, pour un meilleur retour veineux. Pour un meilleur aérodynamisme. Ce qui est bon pour les participant.e.s à l’Ultra Trail du Mont Blanc ne peut pas être mauvais pour les cyclistes, un peu ou très sportifs que nous sommes, que vous êtes..
Sylvain Laur, fondateur de Compressport vient nous expliquer pourquoi vous devriez considérer ce type de produits. Au-delà des gains marginaux (à moins que vous ne cherchiez à gagner le Tour de France ou le prochain Biking Man), il nous explique qu’il y a une notion de confort et de récupération. Cerise sur le gâteau, les chaussettes proposées par Compressport ne sont pas plus chères que les chaussettes en fil d’Ecosse. Autre cerise sur le gâteau, ses produits sont fabriqués en Europe. Enfin, vous apprendrez que ce type de produits est aussi tout à fait adapté pour les cyclistes qui partent sur de longues distances, ou tout simplement, en itinérance, sacoches au porte-bagage. Ce qui est bon pour Remco Evenpoel ne peut pas être mauvais pour vous.
Abel fait une pause cette semaine.
Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
Pour toutes les infos sur Compressport, c’est ici.
Cette semaine Abel Guggenheim reprend du service. Au lendemain du premier tour des élections législatives, quelle place pour l’associatif, quelle place pour le vélo, son développement dans un Parlement qui basculerait à l’extrême droite ? Olivier Schneider, co-président de la FUB, en charge notamment des relations avec les Parlementaires vient expliquer comment la Fédération des Usagers et Usagères de la bicyclette agit et se positionne. Le vélo est un moyen de transport populaire. Le RN n’est absolument pas pro vélo. Il préfère soutenir la voiture individuelle, en baissant les taxes sur le pétrole, en relâchant la pression sur les infractions commises par les conducteurs de véhicules motorisés.
Olivier Schneider s’appuie, factuellement, sur la place du vélo dans les pays Européens qui sont gouvernés par l’extrême droite. En résumé, avec l’extrême droite au pouvoir ce serait plus de voitures, beaucoup plus de voitures. Et le vélo, c’est quoi le vélo ?
Les médias vélos, au service d’une vision, d’une industrie, d’un écosystème. Comment peuvent-ils être mieux considérés, plus impliqués ?
Musique : Purrs to be enjoyed
Réalisation : Jérôme Sorrel et Jean-Philippe Clément / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.
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