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Or
Ce n’est pas encore le grand « cessez-le-feu » tant espéré par Donald Trump, mais après 48h de pourparlers séparés sous l’égide des États-Unis, en Arabie Saoudite, les belligérants ukrainiens et russes ont accepté un arrêt des hostilités en mer Noire.
Après le moratoire annoncé la semaine passée sur les frappes visant les infrastructures énergétiques, il s’agit donc à nouveau d’une trêve limitée visant à permettre la reprise de la navigation commerciale en mer Noire et les exportations de produits agricoles ukrainiens. Un nouveau petit pas dans le bon sens, mais qui reste lui aussi très fragile, le Kremlin conditionnant l’entrée en vigueur de cette trêve à la levée de certaines sanctions occidentales. Une ligne rouge pour les Européens et le président Zelensky qui dénonce de son côté les « manipulations de la Russie ». À quoi joue donc Moscou ? Sinon à gagner du temps ? Les médiateurs américains dans ce conflit sont-ils trop clairement favorables au Kremlin ?
Avec nos invités :
- Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie, ancien directeur des départements d’Europe et d’Asie au Quai d’Orsay
- Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors.
Ce n’est pas encore le grand « cessez-le-feu » tant espéré par Donald Trump, mais après 48h de pourparlers séparés sous l’égide des États-Unis, en Arabie Saoudite, les belligérants ukrainiens et russes ont accepté un arrêt des hostilités en mer Noire.
Après le moratoire annoncé la semaine passée sur les frappes visant les infrastructures énergétiques, il s’agit donc à nouveau d’une trêve limitée visant à permettre la reprise de la navigation commerciale en mer Noire et les exportations de produits agricoles ukrainiens. Un nouveau petit pas dans le bon sens, mais qui reste lui aussi très fragile, le Kremlin conditionnant l’entrée en vigueur de cette trêve à la levée de certaines sanctions occidentales. Une ligne rouge pour les Européens et le président Zelensky qui dénonce de son côté les « manipulations de la Russie ». À quoi joue donc Moscou ? Sinon à gagner du temps ? Les médiateurs américains dans ce conflit sont-ils trop clairement favorables au Kremlin ?
Avec nos invités :
- Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie, ancien directeur des départements d’Europe et d’Asie au Quai d’Orsay
- Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors.
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